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 Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."

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MessageSujet: Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."   Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." EmptyJeu 9 Avr - 17:36


Cooper, Jacob Warren

Malheureusement, j'ai besoin de toi et tu as besoin de moi


nom : Warren. Hérité d'un père principalement absent. ♣ prénom : Cooper. Signification : Tonnelier en anglais (ça vous laisse perplexe ? Oui moi aussi...) date de naissance : le 24 novembre 1984  ♣ âge : 34 ans ♣ nationalité : Américaine ♣ orientation sexuelle : Hétérosexuelle ♣ statut : En instance de divorce ♣ métier/études : Anciennement flic spécialisé dans la disparition d'enfants. Aujourd'hui, il enchaine simplement petits boulots sur petits boulots pour espérer pouvoir finir le mois. ♣ groupe : Traveler ♣ avatar : Jack Gyllenhaal ♣ crédit : Tumblr



« ME, MYSELF AND I »
♣️ Parles nous un peu de toi ? Cooper c’est ce type à qui tout parait sourire. Jeune, il fut très vite diplômé et réussi à obtenir un travail en tant qu’inspecteur spécialisé dans la recherche d’enfant. Boulot qu’il aime par-dessus tout et dans lequel il se trouve être plutôt doué. Investi corps et âme, il ne lâchera rien tant que son objectif n’a pas été atteint. Côté vie privée, il en est de même. Leïla et lui se sont mariés au plus vite, tout en mettant au monde un petit gars dénommé William. Autant dire que ce dernier à fait le bonheur de ses parents. Jusqu’à ce fameux jour funeste. Jusqu’à ce que ni l’un ni l’autre ne se souvienne qui avoir été avant ce drame. De l’homme sur de lui, confiant, sympathique, dynamique, Cooper est devenu l’homme irritable, exécrable, impatient, colérique. Ce revers de situation, bien que conscient, Cooper ne parvient à le surmonté. Pas depuis que la violence a prit possession de lui, pas depuis qu’il se sent obligé d’expier sa culpabilité sur sa femme. Pas depuis qu’il en a constaté les faits. Son émotivité est depuis enfermée quelque part, où seule la présence de Leïla parvient à le ramener. Sans elle et depuis la mort du petit, il est cette machine mise en marche pour effectuer uniquement les gestes de survie. Il reste cloitré chez lui, maudissant la Terre entière, se demandant constamment comment ils aient pu en arriver là, alors que tout semblait leur être due... ♣️ Pourquoi avoir posé tes valises en Afrique du Sud ? « Sans pardon, les vieux comptes ne sont jamais réglés, les vieilles blessures jamais 
guéries » Voilà pourquoi Cooper se retrouve à des kilomètres de chez lui. Leïla. Elle est la seule raison de son arrivée ici. Et tout ce qu’il espère, c’est se racheter de ses fautes passées. Mais comme tout le monde le sait, le pardon est peut être la chose la plus difficile à obtenir. Le problème ? Il a besoin d’elle, il le sait et ça le rend fou. Réussira-t-il à ravaler ses vieux démons pour redevenir l’homme qu’il était quelques années auparavant et faire en sorte que leur mariage ne coule pas ? Pas sur, car il est des blessures que l’on ne peut guérir, et celle de Cooper est certainement bien trop profonde pour être refermée.  



« LET'S SPEAK ABOUT THE WRITER »


♣️ pseudo : Al' ♣️ âge : 23 ans jump ♣️ ton personnage est : Tout droit sortie de l'imagination d'une folle ♥️  ♣️ comment es-tu venu ici ? : Un peu grâce à elle, puis ayant déjà vu de quoié tait capable la fondatrice, ça ne pouvait qu'être du lourd perv  ♣️ tes impressions : Tout est là ! Y'à qu'à voir le nombre d'inscrits en si peu de temps pour s'en rendre compte smile





Code:
[b]Jack Gyllenhaal[/b] ♣️ Cooper J. Warren









Dernière édition par Cooper J. Warren le Jeu 23 Avr - 19:27, édité 13 fois
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Anonymous
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MessageSujet: Re: Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."   Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." EmptyJeu 9 Avr - 17:36

I'll Be a better man today

"Nous ne voyons que ce que nous voulons voir, nous ne croyons que ce que nous voulons croire et ça marche. Nous nous mentons tellement à nous-mêmes que très vite, nos mensonges ont l'apparence de la vérité. Nous sommes tellement dans le déni que nous sommes incapables de reconnaître la vérité quand elle est sous notre nez."







Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." Tumblr_m9lki1ZbeV1qj8xp7o2_r1_250 Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." Tumblr_mhb2aplQDt1rm10dwo5_250
***Il n’y a que très peu de moment dans une vie où l’on peut dire, j’ai été heureux. Heureux au point de sourire continuellement à tout, heureux au point de croire que rien ne pourrait jamais vous arrêter. Ces moments, Cooper se souvient de chacun d’eux. Comme s’ils avaient été ici, seulement pour lui faire prendre conscience de la valeur de la vie. Du fait qu’elle mérite d’être vécue à fond car vient parfois un moment où elle vous reprend tout. Tout ce qu’elle a pu oser vous donner elle vous l’arrache au centuple infligeant en prime une douleur qu’il n’est donné à personne de connaitre.
Ces moments, c’est ce fameux jour où il fut diplômé en tant qu’inspecteur dans la recherche d’enfants disparus. Ce boulot dans lequel il avait tout donné, il allait enfin avoir une réelle raison d’y croire. Il était doué. Réellement doué. Et il ne se laissait jamais de cet instant où les parents retrouvaient leur petit qu’ils avaient bien évidemment cru mort à de nombreuses reprises. Ce travail, allait également lui donné la plus belle réussite de sa vite. Leïla. Vous l’auriez vu que vous n’auriez pu y croire. Ce jour où ce fut elle qui se chargea de lui aux urgences. Ce fameux jour où son sourire a fait naître chez Cooper, des sensations qu’il n’avait jamais encore rencontré et où son humour en prit pour son grade. Elle ressemblait tellement à un ange qu’il aurait été prêt à la demander en mariage sur le champs si les conventions l’aurait permit. D’ailleurs il ne fallut guère de temps avant qu’il ne prenne la décision d’être à elle pour la vie, d’être celui qui la rendrait heureuse jusqu’à la fin de ses jours. Peu importe l’âge qu’ils avaient, peu importe les rêves dont ils se gorgeaient encore et encore. Et puis il y avait eu l’annonce de l’arrivée du petit. Ce petit être qui allait naitre de leur amour, ne pouvait qu’être la cerise sur le gâteau. Comment alors ne pas aimer la vie ? Comment croire une seule seconde qu’elle pouvait être néfaste pour vous ? Pour votre propre santé ? Et pourtant il suffit d’une annonce, d’une phrase, pour comprendre que plus jamais vous ne réussirez à sourire de la même façon qu’auparavant.
 


Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." Tumblr_mwiniuJIYB1s00ervo3_r1_250 Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." Tumblr_mwiniuJIYB1s00ervo4_r1_250 
***De ce jour là, Cooper s’en souviendrait certainement toute sa vie. Il travaillait sur une affaire qui lui prenait le plus clair de son temps. Pourtant, Leïla restait patiente auprès de son mari, prenant son mal en patience. De même pour le petit William, qui voyait son père plus comme un héros de BD que comme un mec qui passait plus de temps dans la paperasse que sur la route à sauver les gentils. Il avait simplement voulu prendre des nouvelles de sa famille, lui annoncer que ce soir là, elle devrait de nouveau manger en compagnie unique du petit. Qu’il s’excusait pour tout ça. Et elle faisant semblant de comprendre lui avait dit de prendre son temps que ce n’était pas grave. Si seulement, il avait su à quel point tout cela avait en effet été grave. A quel point il aurait du être présent pour sa famille plutôt que pour celle des autres. Il n’avait fallut qu’un instant, qu’un bref instant de répit entre les derniers mots échangés avec son fils et la fin définitive de ce tout. Ce fut ce coup de téléphone qui résonna comme le glas. Cette vois tremblante qu’il ne reconnaissait plus et qu’il avait pourtant entendu tellement de fois auparavant. Aujourd’hui, elle résonne encore en lui. Ce cri de détresse, cette partie d’elle qu’on lui enlève à main nue. Jamais plus, il n’espère entendre à nouveau cette douleur métamorphosée. Pourtant, d’après ses collègues, il n’avait guère fait mieux. Sa peau était devenue aussi livide que celle d’un mort, peut être pire même. Et cette façon qu’il a eu de vouloir à tout prix rentré chez lui, personne n’aurait eu l’audace de l’en empêcher, pas après avoir vu l’état dans lequel il avait ravagé son bureau en l’espace de si peu de temps. Le retour s’était fait lentement, du moins l’avait-il cru. Ce fut les lumières bleues clignotantes qui le tirèrent en premier de sa torpeur. Le ramenant doucement sur un rivage trop rocailleux. A chaque pas qu’il faisait, tout ça devenait un peu plus réel. Jusqu’à ce qu’il remarque son petit corps couvert de sans inerte contre celui de Leïla. Qu’il admette les faits. Qu’il réalise que plus rien en sera jamais pareil, que William ne sourira plus. « Monsieur Warren ? » Il n’avait même pas prit le temps d’acquissiez, ou bien même de prendre le temps de répondre. « Monsieur, votre femme. Il faut lui demander de lâcher le petit. » Son corps tout entier s’était contracter, incapable de faire un pas de plus devant ce massacre. « Will’... » Ses yeux, rouges, ne perdirent pas une seule seconde des dernières minutes qu’il lui restait à voir son fils. Quand bien même celui ci n’était plus des leur. « Monsieur, j’insiste. » Cooper avait simplement lancé un de ces regards noirs, avant d’aller lentement vers sa femme. « Leïla, chérie, c’est finie. Il faut que tu le lâches. Tu m’entends ». Elle continuait de sangloter. Incapable de le lâcher. Comment l’aurait-elle pu ? « T’étais pas là Coop’ ! T’aurai du être là, pour lui, pour nous ! » Et ce n’était là que le début des hostilités. Car bientôt ces reproches se transformeraient en haine réciproque, les dévorants tout deux de l’intérieur.
 


Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." 335222leila Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." 774604leila3
***Ca avait commencé par une lettre. Une simple lettre d’excuse. Cooper l’avait à peine lu. A quoi bon ? Le mal était fait, et son fils ne reviendrait certainement pas d’entre les morts, juste pour faire plaisir à cette fille. Cette fille complètement saoul qui leur avait enlevé leur seule raison d’être. Leï’ avait jugé bon de ne donner aucune réponse. Et plus que du déni, c’était là toute la force qu’il lui manquait pour franchir le cap du pardon. Tout deux s’étaient alors mis d’accord sur le fait de ne donner aucune suite hormis les poursuites qui se posaient dans ce genre de situation. Bien entendu, elle passerait certainement la plus grande partie de sa vie en prison mais aux yeux de Cooper, cela ne représentait qu’une infime partie de la douleur qu’il pouvait ressentir à présent. Du manque constant que la perte de son fils avait engendré dans sa vie, de ces petites habitudes qui s’étaient ancrées dans leur routine pour faire de leur quotidien un de ces moments inoubliables. Le plus difficile ? Les réveils. Ne pas le voir gambader jusqu’à leur lit pour les réveiller en sursaut à la lumière matinale, le sourire aux lèvres. Le réveil était cette phase où il était question de réaliser les choses. De se sortir de ces rêves qui l’envahissaient chaque fois que ces yeux s’autorisaient à se fermer ne serait ce que quelques secondes.

Le silence était partie prenante des journées qui s’écoulaient. Leïla ne parvenait à se remettre de la mort de William, tout comme Cooper tombait un peu plus chaque jour dans la dépendance de l’alcool. Le rendant parfois violent sans même qu’il ne s’en rende compte. Bien sur, selon le médecin il n’y avait là rien d’alarmant. Seulement un manque à combler qui s’apaiserait au fil du temps selon lui. Si seulement il pouvait savoir combien il se trompait...

Les lettres avaient continué se transformant petit à petit en appels téléphoniques. S’était Leï’ qui répondait à tous, mais chaque fois Cooper pouvait voir dans son regard comment la douleur ravageait ce qu’elle avait essayé de construire pour barricader son coeur de la brulure omniprésente à l’annonce du prénom du petit. « J’en peux plus Coop’ » Elle avait délibérément laissé tomber le combiné de ses mains, se dernier retombant sur le carrelage dans un bruit sourd coupant nette toute conversation « Il faut qu’elle arrête. On ne pourra pas avancer si elle continue à nous appeler chaque jour comme ça. » Machinalement, Cooper s’était rapproché d’elle, enfermant son corps frêle de ses bras puissants et protecteurs. Ses lèvres s’étaient déposées sur le haut de son crâne dans un geste qui se voulait rassurant. « Je sais Leï’. Je sais. » Que pouvait-il faire, dire de plus ? Plus rien ne ramènerait leur petit. Pas même le fait de déverser tout leur mal être sur cette femme.

Les appels incessants ne s’étaient pas interrompues, simplement le filtrage d’appels était devenu leur quotidien leur permettant de s’enfermer encore un peu plus sur eux mêmes au point de ne plus avoir la force d’ouvrir les volets. Bien entendu, ils recevaient des visites, mais cela ne durait jamais guère longtemps. Sans doute, leur humeur morose y était pour quelque chose. Et puis il fallut d’une fois. Celle de trop. Celle où elle alla jusqu’à oser frapper chez eux. Oser se présenter à cette famille en deuil par sa faute. Ce fut les pleurs de Leïla qui l’alertèrent en premier. Jusqu’à ce que son angoisse se transforme en haine, jusqu’à ce que le verre ingurgité quelques minutes auparavant fasse son effet. « Vous n’avez aucun droit d’être ici ! » Il avait crié, bien avant de se rendre compte qu’elle ne ressemblait en rien à ce qu’il s’était imaginé. Petite, squelettique, son corps était marqué par diverses substances néfastes ingurgitées et Cooper était assez bien placé pour savoir de quoi il retournait. Son travail lui en avait fait assez voir de toutes les couleurs. La femme en face de lui avait essayé de bredouiller quelques mots d’excuses, sans pour autant qu’aucun ne soit assez audible. « Partez maintenant.  S’il vous plait rentrez chez vous, ce sera mieux pour tout le monde. » Ce qui l’avait frappé de prime abord, c’était son âge, le même que le leur à tout casser. Jeune, Cooper n’essaya même pas de chercher le pourquoi du comment. Sans doute avait-elle été trop abîmé par la vie pour essayé de lui sourire. « Ne chercher plus à nous contacter. Vous avez vu dans l’état dans lequel vous mettez ma femme ? Elle n’y arrivera pas si vous continuez ainsi. » Il avait retenu ses mouvements, son envie de fracasser sa tête à coup de poing, son envie de lui attribuer le même sort. Cependant, s’il n’en fit rien, il ne fallut guère de temps avant que la police ne leur annonce que l’assassin de leur fils venait de se suicider par pendaison. Le couple encaissa cette nouvelle, se rendant compte que jamais justice ne sera faite, outre celle d’une vie pour une vie. Après tout ne valait-elle pas mieux ?
 


Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." 479638leila4 Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." 397473Leila2
***Il en avait été persuadé. Tellement. Il avait cru pouvoir être à la hauteur. Certain de réussir là où son géniteur n’avait été que minable. Etre ce mari tout en étant ce père à la fois. Oui, il y avait tellement cru. A tel point d’ailleurs, que chaque fois que son regard se posait sur le reflet du miroir de la salle de bain, il n’arrivait même plus à savoir qui se cachait derrière ces traits. Ses joues étaient devenues creuses, son teint blafard, des cernes remplissaient la moitié de son visage. Et que dire de ses mains. Diantre elles étaient marquées à coup de griffures et d’égratignures autant que pouvait l’être le corps de sa femme. Leïla. Elle qui était si douce. Comment pouvait-elle encore continuer de supporter un type comme lui, un type qui à défaut savait user mieux de la force que de la parole... Tout ça lui donnait la gerbe, où bien était ce encore les effluves de la veille, à vrai dire il ne savait plus. « Coop’ ? » Sa voix, elle résonnait en lui, comme elle l’avait toujours fait à la seule différence prêt, que chaque fois qu’elle prononçait son nom, il ne pouvait s’empêcher de revoir le visage de son fils, William. Et ça, ça s’était l’une des souffrances qu’il ne pouvait plus, qu’il n’arrivait plus à encaisser. Ses mains s’emparèrent du bord du lavabo, la jointure de ses mains devinrent blanches, sa tête, elle, était penchée dans le vide. Comme il aurait aimé revenir dix années en arrière. Oui comme il aurait aimé. Ses yeux s’ouvrirent difficilement sur le miroir, avant d’apercevoir le reflet de Leïla. Elle restait sur le pas de la porte, comme si elle n’osait faire un pas de plus par peur sans doute de ne trop le brusquer. « Quoi ? » Et lui continuait inlassablement d’être ce type détestable, invivable. « Je... Non rien, laisse tombé ». Elle prenait la fuite, une fois de plus. Pouvait-il lui en vouloir ? Non, bien sur que non. Pourtant, c’était plus fort que lui, il fallait qu’il hausse le ton, il fallait que sa voix rauque prenne le dessus.  « Oh je t’en prie Leïla, parle bordel. » C’est là qu’il se souvint, les derniers verres ne remontaient pas à la veille mais bien à quelques heures et ce sentiment de ne plus rien contrôler hormis cette haine reprenait une fois de plus le dessus. Il fallait qu’elle s’en aille, qu’elle sorte hors de son champ de vision. Mais elle n’en fit rien. Comme à chaque fois, Leïla était persuadée que rester auprès de son mari violent, était la meilleure chose à faire pour le calmer. Et lui, qu’il aurait aimé pouvoir lui dire de fuir, de quitter cette maison de malheur une bonne fois pour toute. « Ton plat préféré, il t’attend dans la cuisine. » Elle avait dit ça avec presque un sourire, fière certainement d’avoir pu réaliser un geste qui se serait voulu normal. Et lui, comme il pouvait la détester pour ça. « Et tu crois que ca changera quelque chose hein ? Tu penses que ça le refera revenir peut être ? » Voilà. La machine était en route et dans quelques secondes le premier choc se ferait entendre. Un choc que Cooper n’était prêt à ressentir, au contraire de son corps qui lui s’était retourner vivement vers Leïla. Ses yeux imbibés de sang détaillèrent sa frêle silhouette, tout ça pour se remémorer le fait qu’elle n’avait pas été assez forte ce jour là. Assez forte pour assumer son rôle de mère. Ses traits se tendirent, sa gorge se serra, et sa bouche pâteuse l’accusa de nouveau pour quelque chose qu’elle n’était qu’à demi responsable : « Comment ? Comment tu peux faire semblant que tout va bien alors que tu sais très bien qu’il n’en est rien ! Que plus rien ne serra jamais pareil ?! » Il venait de se rapprocher d’elle, de brandir son index dans sa direction. « Cooper, pas ce soir, s’il te plait, pas ce soir....» Elle avait dit cela dans un souffle, quasiment inaudible. Parce qu’elle savait qu’il se servirait d’elle comme un échappatoire, que cela lui permettrait de ne pas ressentir cette culpabilité qui pourtant le bouffait de toute part. Lui continuait d’hausser le ton, de feindre ses paroles. Ses mains, elles s’agitèrent de plus en plus vite jusqu’à ce que Leïla refuse de se laisser toucher, d’oser pouvoir croire qu’elle avait le droit de se défendre. « T’étais sa mère putain ! T’aurai du le surveiller ! » Ca avait commencé par un poing dans le mur, avant que ce dernier ne finisse sur le corps de sa femme. Pour tout dire, il ne savait comment il en était venu là, mais lorsque son regard s’arrêta sur sa joue, et qu’il aperçu l’hématome rosie, il se mit à fondre en larme. Une énième fois. Et le seul réconfort qu’il y trouva, se furent ses bras. Ses bras qu’il avait tant aimé par le passé, et qu’il aimerait certainement encore pour longtemps. Son visage quant à lui, se trouva niché dans le creux de son cou, humant là une odeur familière, une de celle qui parvenait à le calmer. « Pardonne moi Leïla. Je t’en prie pardonne moi. » Cooper trouva néanmoins la force de relever les yeux, de chercher ceux de sa femme. « M’abandonne pas Leï’... » C’était là un appel à l’aide plus qu’autre chose. Elle le savait tout autant que lui. Mais Leïla n’aurait très certainement pas la force d’être cette bouée qui aurait pu le sauver de sa descente en enfer.
 


Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." Tumblr_inline_na5vemVnPJ1sehoyp  Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." Tumblr_inline_na5vd5LwPD1sehoyp
***Le dossier jauni trainait là, sur la table basse du salon, depuis des jours déjà et pourtant Cooper se sentait toujours incapable de l’ouvrir. Parce que pour l’avoir vu à de nombreuses reprises lorsqu’il était encore flic, il savait ce qu’il renfermait. Il savait aussi que s’il avait la force de l’ouvrir cela mettrait un terme définitif à la moitié de son existence. Et ça, il n’arrivait même pas à en concevoir l’idée. Non le fait de la perdre, elle, c’était au-dessus de ses forces, au-dessus de ce qu’il parvenait à supporter. Alors comme chaque soir depuis que Leïla était partie, il s’asseyait dans ce canapé miteux, un verra à la main, l’alliance de sa femme dans l’autre, essayant de juger le moment opportun pour aller à la dernière page et constater les faits. Mais cette réalité, trop difficile à admettre, ne cessait de s’effacer au fil des heures, la rendant plus amère encore à chaque gorgée de ce liquide qui finissait par finalement avoir constamment le dessus sur lui. Parfois, il réussissait à penser que c’était le meilleur choix à faire. Pour elle surtout, pour qu’elle commence à réapprendre à vivre après ces quelques mois de malheurs, mais pas ce fameux soir. Non, car ce soir-là, ce fut un verre de trop, un qui allait lui faire dépasser cette limite qu’il se refusait d’ordinaire à atteindre. Ce soir-là, il n’était plus maître de rien. Non il était simplement spectateur de ces actions. 

23H48, son poing tambourinait énergiquement contre la porte rouge métallique de la petite maison de banlieue. Les parents adoptifs de Leïla devaient très certainement dormir depuis longtemps déjà. Il ne fallut néanmoins que quelques minutes avant que la porte ne s’entrouvre laissant apercevoir qu’une partie de l’homme de maison. « Cooper? Bordel, t’a vu l’heure qu’il est ? ». Non, à vrai dire, depuis le départ de sa femme, Cooper n’avait plus aucune notion du temps. D’ailleurs, il ne prit même pas le temps de s’excuser pour la gêne occasionnée. « Leïla. Vous savez où elle est ? » Pour tout avouer, Cooper ne s’était jamais imaginer que Leï’ pouvait être autre part qu’ici. Sa meilleure amie et son frère vivaient à des kilomètres d’ici, et les seules personnes en état de comprendre et de l’aider ne pouvaient qu’être ses parents. Il ne fallut guère de temps avant que l’homme devant lui ne se mette à humer l’air. Comprenant très vite que le mari de sa fille n’était pas dans son état normal. « Aller rentre chez toi petit, tu as trop bu. » Il essayait là de protéger sa fille, rien d’autre. Pourtant, l’ex flic sentait parfaitement son cœur taper plus fort dans cette poitrine, qui se voulait trop petite pour encaisser chacune des émotions qui prenaient part en lui. Il sentait aussi ses muscles se contracter contre son propre gré, prêts à encaisser n’importe quoi du moment que cet homme lui avouait où se trouvait sa fille. Le père de Leïla allait s’apprêter à refermer la porte, mais Cooper eu le réflexe de bloquer cette dernière à l’aide de son pied. « Mr le sénateur, dite moi où et votre fille, maintenant. » Sa voix, elle changeait au fil des minutes, devenant plus menaçante, plus criante. « Je ne peux pas Coop’, et tu sais aussi bien que moi pourquoi. » Il voyait rouge, et ce fut son poing qui s’arrêta en premier dans le mur. « J’ai besoin de savoir. Il me faut ma femme, et tout de suite ! » Ce ne fut pas l’homme qui céda le premier, mais bien cette petite femme fluette au loin, celle qui avait très certainement entendu toute la conversation mais avait eu trop peur pour s’en mêler. « Elle a quitté le continent Cooper. Tu ne l’a reverra pas. » Elle en avait assez dit. Trop peut être. Toujours est il que tout devint plus clair sur le moment, comme si l’alcool n’avait jamais été présente pour lui embrouiller les idées. Bien sur, Leïla avait rejoint son frère et sa meilleure amie. Ca n’aurait pu être autrement. « Merci, bonne soirée. » Par la suite, il ne fallut que peu de temps à Cooper pour faire son sac, trouver le carnet d’adresse de sa femme après avoir remué la maison entière, sans oublier le dossier posé sur la table basse. II savait que c’était idiot, que rien n’avait de sens dans ca démarche. Mais il en avait tellement besoin. Besoin de la revoir pour comprendre, pour se faire à l’idée que leur route serait désormais différente et que cela ne ressemblerait pas à ce foutu cauchemar qui réapparaissait chaque jour un peu plus violement. Voilà pourquoi il se retrouva à cet aéroport, voilà pourquoi il tenait dans sa main un billet pour un aller simple vers l’Afrique….






Dernière édition par Cooper J. Warren le Jeu 23 Avr - 19:22, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."   Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." EmptyJeu 9 Avr - 17:39

Toi, toi, toi, toi, toi, toi,toi,toi,toi ce message continu jusqu'à l'infinie et dans l'au-delà ; sache que la Leïla en moi t'aime et te déteste, mais JE TAIME tu vas voir on va s'amuser avec eux =>
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MessageSujet: Re: Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."   Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." EmptyJeu 9 Avr - 18:01

Parce que oui, vive BUZZZZZZZ
Enfin vive toi surtout, parce qu'au final tu as toujours les meilleures idées ♥️

Et puis bon, quand elle reverra sa sale bouille de mec complètement paumé de la vie, elle se dire qu'elle a peut être bien fait de l'abandonner puis elle se souviendra de ça  :
Spoiler:
et elle se mettra à culpabiliser d'être partie en demandant le divorce ! (Enfin la j'essai surtout de faire culpabiliser la joueuse que tu es, mais j'y arriverai hero )
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Anonymous
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MessageSujet: Re: Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."   Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." EmptyJeu 9 Avr - 18:04

Nan, mais de toutes façon on est obligée d'être en couple sur les forums, à défaut de l'être dans la vie my love ♥️

Aaaaah non pas cette photo, elle me fait défaillir, je perds ma culotte Sad

mais elle va surtout culpabiliser quand elle verra ça => Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." 903711Leila2

Puis c'est lui le méchant de l'histoire hein snif
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Anonymous
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MessageSujet: Re: Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."   Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." EmptyJeu 9 Avr - 18:13

cutie2 Evidemment 

Tu perds ta culotte ? (ouuuuhh la coquine !)

Il peut pas être le méchant, pas avec cette trogne : ==> Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." Tumblr_inline_mr4xgbT8Md1qz4rgp
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Anonymous
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MessageSujet: Re: Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."   Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." EmptyJeu 9 Avr - 18:17

    Faut ce calmer les enfants ! oh ! (tout ça pour dire que j'aime Jake <3)
    Bienvenue Very Happy
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Anonymous
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MessageSujet: Re: Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."   Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." EmptyJeu 9 Avr - 18:38

Bienvenue parmi nous Smile
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Anonymous
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MessageSujet: Re: Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."   Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." EmptyJeu 9 Avr - 18:54

Bienvenue sur GFA youhou
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MessageSujet: Re: Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."   Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." EmptyJeu 9 Avr - 21:18

Sid : et je ne connais pas ton beau monsieur Very Happy Mais merciiii (et je crois que l'on se connait   perv)

Noa et Ailsa : Merci à vous deux pour l'accueil  ooh
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Felicity Sparrow
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MessageSujet: Re: Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."   Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." EmptyJeu 9 Avr - 23:17

bave
Jake est vraiment trop parfait omg Et avec le métier qu'il faisait, ça me rappelle un des meilleurs films que j'ai vu avec lui siffle
J'ai hâte d'en savoir plus.
En tout cas, bienvenue sur GFA, en espérant que tu t'y plaises ooh Si tu as des questions, n'hésite pas.
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Joos Van Pieters
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LE PETIT SINGE
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MessageSujet: Re: Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."   Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." EmptyVen 10 Avr - 8:27

JAKE c'est trop un canon cutie moi je l'aime trop d'amour omg
Je me réjouis d'en savoir plus smile
Bienvenue ici coeur
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Noah L. Mansfield
Noah L. Mansfield
LE PETIT CON
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MessageSujet: Re: Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."   Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." EmptyVen 10 Avr - 10:01

Jake en mode Prisoners dis donc siffle. Je ne suis même pas étonnée qu'elle t'ait ramené ici en tout cas, ça paraissait évident dès le début angel.
En tout cas j'ai hâte de savoir ce que vous ferez de votre duo ooh
Bienvenue ici keur
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A. Declan Wolf
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MessageSujet: Re: Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."   Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." EmptyVen 10 Avr - 11:29

Prisoners en effet! Ce film est trop cool même s'il m'a traumatisé Laughing

BIENVENUE cheers bon courage pour ta fiche panda
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Anonymous
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MessageSujet: Re: Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."   Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." EmptyVen 10 Avr - 13:54

Bienvenue & bon courage pour ta fichette cute
J'aime le pseudo coeur & puis Jake ne gâche rien au plaisir **
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Reed J. Trevelyan
Reed J. Trevelyan
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MessageSujet: Re: Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."   Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." EmptyVen 10 Avr - 19:22

Jaaaaaake omg c'est un très très bon choix bave
J'ai hâte de voir ce que va donner ce personnage cute

Bienvenue à toi sur GFA & bon courage pour la rédaction de ta fiche lick keur
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Anonymous
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MessageSujet: Re: Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."   Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." EmptySam 11 Avr - 11:06

Merciiii à tous pour cet accueil cute

J'espère qu'il vous plaira ce perso cutie même si à part les gifs et le métier c'est pas vraiment le même que dans Prisoners not here

Noah : Une évidence dès le début ? Razz
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Anonymous
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MessageSujet: Re: Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."   Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." EmptyDim 12 Avr - 19:47

Jake il est trop parfait ouiii
Bienvenue parmi nous & courage pour ta fiche coeur
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Anonymous
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MessageSujet: Re: Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."   Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." EmptyDim 12 Avr - 20:20

Bienvenue !
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Noah L. Mansfield
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MessageSujet: Re: Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."   Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." EmptyJeu 23 Avr - 23:50

C'est quoi ce sadisme encore? oooh . Faut que vous arrêtiez un peu avec les histoires trop horribles je crois hide. J'arrive pas à savoir pour le moment si j'aime Cooper ou pas secret. Il est trop méchant avec Leila snif





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Bravo ! Tu as rejoint l'aventure Giving for Africa ! Maintenant que tu fais parti de l'équipe, peu importe ton groupe, voici quelques conseils pour commencer ton intégration :

♣️ Parce que c'est toujours mieux à plusieurs, commence par te créer une fiche de liens et de rps, n'hésite pas à poster dans celles des membres déjà présents pour trouver des idées.

♣️ N'oublie pas de recenser le métier de ton personnage, c'est à faire .

♣️ Tu peux également inventer tes propres scénarios (ici) ou bien proposer des liens avec des personnages pré-définis (ici).

♣️ Pour te lancer dans le rpg et commencer dès maintenant à faire vivre ton personnage, tu peux aller poster dans la boîte à rps. Nous ferons au mieux pour te trouver un partenaire et une situation folle-dingue pour vos personnages. Ou tu peux directement faire une demande plus simple, ici.

♣️ Et pour finir, tu peux flooder car c'est toujours amusant, et surtout voter pour Giving for Africa : ici, tes votes sont très importants car ils permettront à de nouvelles personnes de nous rejoindre.

Tu es désormais prêt pour rejoindre le reste de l'équipe et découvrir les merveilles de la savane ! En espérant que tu t'y amuseras bien  




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MessageSujet: Re: Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."   Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève." Empty

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Cooper "J’en crève t’imagines pas à quel point j’en crève."

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