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 maxyne || What's YOUR problem ?

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MessageSujet: maxyne || What's YOUR problem ?   maxyne || What's YOUR problem ? EmptyMar 7 Avr - 13:59


What's your problem ?

Quand certaine personne mérite d'être remis à leur place, ne te laisses pas faire. Sois gentille montre leur où se trouve leur trou.
Leighton & Maxyne

J'avais pris une douche en me levant ce matin. J'avais espéré très fort qu'en ouvrant les yeux j'aurais vu ma belle chambre tendance. Mais non, mon cauchemar était une réalité. J'étais en Afrique. Non, mais quelle plaie ce pays. Bref, j'avais dû me dépêcher, car ici il y avait de l'eau que pendant un certain temps. Dix minutes de douche. C'était tout. Après, ce dix minutes, je me maquillai et m'habilla d'une jolie robe blanche de chez Chanel. Je m'admirai devant la petite glace, car il n'avait pas de grands beaux miroirs ici. Non, mais c'est normal. Pourquoi suis-je surprise ? Je suis tout de même dans un taudis. Puis, je finis par me dire en me souriant dans la glace: « Parfaite, comme toujours ! » Puis, j'attrapai mon Ipod et sortie.

Le soleil tapait déjà très fort. Il faisait chaud. Normalement, j'aime bien la chaleur, mais je l'aime quand je vais dans des endroits paradisiaque. Ici, ce ne l'est pas.

Je mis mes écouteurs dans mes oreilles et appuya sur jouer. Au moins, j'avais ça. Je ne pourrais pas m'imaginer sans ce bijou. Surtout dans un trou comme ici. Il n'y a pas de club ou de trucs amusants à faire. Enfin, je me suis mise à marcher. J'ai airé, comme cela, pendant environ une demi-heure. Tout ce que je voyais était des gens travaillant et me pointer du doigt. J'esquissai un sourire à cela, car ça voulait dire qu'ils parlaient de moi. Que ce soit en bien ou en mal, je n'en avais rien à faire. L'important, c'est de parler de moi. Puis, j'arrivai passa à côté de ce qui semblait être une école. Non, mais même les pauvres en Angleterre ont de meilleures écoles.

Je regardais à gauche et à droite et tout me semblait très fade. Puis, tout à coup je décidais de m'arrêter, car mon bébé avait plus de batterie. C'était vraiment ma veine. J'enlevai les écouteurs de mes oreilles et là, avant même je ne repars en direction inverse, je reçue quelque chose sur la jambe. Je me baissai pour voir ce qui était dessus. Tout ce que j'espérais c'est que ce n'était pas un gros insecte dégouttant. À mon étonnement c'était de la boue. Pourtant, je n'en avais pas vue tout le long du chemin. J'essuyai la tâche avec un peu de salive. Je n'avais pas le choix. À peine l'avais-je enlevé que d'autre boue vint sur moi, mais cette fois j'en avais reçue beaucoup. Je me levai très vite. J'essuyai avec mes doigts ce qui était tombé sur mon visage. C'est à ce moment que je vis que ma jolie robe avait des tâches de boues. Celui qui avait fait cela allait le regretter et amèrement en plus. Je me retournai pour découvrir des enfants remplies de boue. « Hey ! C'est quoi votre problème ? Ce n'est pas parce que vous êtes pauvres que vous avez tous les droits. Comment allez-vous me rembourser ma robe ? »



Dernière édition par S. Leighton McKinley le Mer 8 Avr - 17:36, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: maxyne || What's YOUR problem ?   maxyne || What's YOUR problem ? EmptyMer 8 Avr - 3:44

What's your problem?
Maxyne & Leighton
After the gates of prophecies A million light years away from me Straight for the eye of destiny Reaching the point of tears. ▬ WOODKID

Maxyne n’avait jamais été de ces gens qui aiment faire la grasse matinée, elle n’avait jamais apprécié paresser au lit comme si le monde allait l’attendre pour continuer à tourner. Elle savait que ce ne serait pas le cas. Que si elle passait trop de temps entre ses draps, le monde tournerait sans elle et elle ne pourrait rien faire pour rattraper le temps perdu. Elle s’était donc levée à l’aube, lorsque le soleil commence doucement à colorer le ciel, lorsque les animaux nocturnes retournent dans leur terrier pour laisser la place à leurs cousins diurnes. Contrairement à certains bénévoles, la brune s’était rapidement adaptée à la vie au Centre, préférant même celle-ci à celle qu’elle avait pu vivre dans le pays de l’oncle Sam. Sans doute parce qu’ici, les gens ne connaissaient pas son passée, ou alors, qu’ils s’en fichaient royalement. Ils étaient là pour rendre le pays meilleur, faire une différence et non pour analyser le passé et les erreurs de tous et chacun. Cela, Max l’avait compris lorsqu’elle avait rencontré Logan pour la première fois. L’ancien soldat ne lui avait pas posé de questions sur sa vie privée, il lui avait simplement demandé si elle était sérieuse dans ses propos, honnête dans son envie d’aider Priam à surmonter la perte de sa mère. Elle avait beau avoir toute la bonne volonté, la jeune femme ignorait encore comment elle pouvait aider l’adolescent. Il n’y avait malheureusement aucun mode d’instruction venant avec une situation semblable.

L’assistance sociale sortit de la maisonnette qu’on lui avait attribuée après avoir enfilé un short de toile beige et gris à l’effigie des Beatles, ses cheveux hâtivement noués en une tresse grossière. Max était de ces gens dont la beauté n’a pas besoin d’artifice pour se révéler, pas de maquillage, pas d’extravagance. Tout chez elle se reflétait dans sa gestuelle, dans ses sourires et dans les façons dont ses yeux brillaient lorsqu’elle s’animait. C’était sans doute ce point qui attirait autant les enfants du Centre, la raison pour laquelle elle se retrouvait si rapidement entourée de petits êtres aux grands sourires éclatants. L’un d’entre eux, Zwali lui semblait-il, lui tendit le ballon cabossé et abîmé avec un grand sourire, lui lançant quelques paroles dans sa langue natale. Paroles qu’elle ne comprit qu’à demi, mais elle répondit d’un sourire amusé en hochant doucement la tête de haut en bas. Elle avait bien un peu de temps à leur accorder avant de retourner travailler. Elle consentait à perdre une ou deux partie avant de s’enfermer dans son bureau à se battre avec ces collègues à l’autre bout de la planète dans le but de trouver une famille prête à adopter un enfant ou encore à discuter d’un cas quelconque avec l’un des professeurs. Si jadis son champ d’expertise était les enfants à problème, les familles dysfonctionnelles dans le pire des cas, ici, elle en voyait de tous les couleurs. Mari abusif, mère négligente, orphelins, enfants vendus. Tout cela était lourd, elle l’avouait, mais pour le moment, cela ne semblait pas être un problème, sans doute grâce à l’appui de ses collègues.

Son pied frappa dans le ballon, l’envoya valser hors du terrain imaginaire. Le ballon rebondit dans une des flaques de boue que le soleil n’avait pas encore asséchées et pendant de longues secondes, elle se demandait pourquoi il y avait de la boue à cet endroit alors qu’il n’avait pas plus depuis… en fait, elle ne se souvenait plus de ce qu’était la pluie. C’était sans doute ce que voulait dire vivre dans un endroit désertique. Deux ou trois enfants jouaient dans cette boue, la manipulant pour en faire de petites boules pour ensuite essayer des lancers le plus loin possible. Maxyne sourit avant de reporter son attention sur le gamin qui venait de lui passer le ballon retourné en jeu. Un rire lui échappa lorsqu’une exclamation impérieuse vient l’interpeller. Son doux visage se tourna vers la jeune femme qui venait d’exprimer son mécontentement, plissant légèrement les yeux pour discerner les traits de la petite princesse qui parlait de sa robe et de remboursement. Elle fronça les sourcils tout en s’approchant de la gamine qui semblait furieuse contre les deux enfants qui se regardaient sans comprendre un traitre mot. Maxyne posa ses mains sur les épaules des enfants, se penchant légèrement vers un pour leur chuchoter quelques mots en zoulou. Elle ne parlait pas vraiment la langue, elle en connaissait quelques brides, suffisamment pour se faire comprendre. Les enfants n’hésitèrent pas très longtemps avant de déguerpir et la brunette se redressa pour planter son regard couleur glace dans ceux de l’inconnue barbouillée de boue. « Vous avez un cerveau, dit? Non parce qu’il faut être relativement stupide pour porter de tels vêtements qui hurle « Kidnappez-moi, je suis riche et blanche! » en Afrique et encore plus pour demander à des enfants incapables d’avoir trois repas respectables par jour de vous rembourser. » Si Maxyne était de nature calme et douce, présentement, elle n’en était rien. Ses poings étaient serrés contre ses flancs et toute chaleur avait disparu de ses prunelles ou de sa voix.



© Gasmask
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MessageSujet: Re: maxyne || What's YOUR problem ?   maxyne || What's YOUR problem ? EmptyMer 8 Avr - 16:44


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Quand certaine personne mérite d'être remis à leur place, ne te laisses pas faire. Sois gentille montre leur où se trouve leur trou.
Leighton & Maxyne

Normalement, les gens, qui me faisait quelque chose comme salir l'un de mes morceaux de vêtements hautes-coutures, était des gens qui pouvaient me rembourser. Ils ne pouvaient peut-être pas rembourser en totalité en un versement, mais ils y arrivaient tout de même. Alors, que là, ses petits microbes m'avaient éclaboussé de leur boue et ne pouvaient pas payer le moindrement possible, ça me frustra violemment. Non, mais avaient-ils appris ne serait-ce qu'un peu de manière avec les gens de mon statu. Certainement pas, c'était pourquoi je leur avais demandé comment ils comptaient me rembourser ma magnifique robe. Pendant que je leur exprimais ma façon de penser, une espèce d'amateur de Beatles, qui ne faisait nullement guère attention de quoi elle avait l'air - Elle avait l'ai d'une vraie paumée. Autant que ce village de merde -, s'approcha de nous. Elle posa ses mains sur les épaules des enfants et leur chuchota quelque chose. Ils se mirent à courir. Je les regardais partir. Je serai bien partie à la course après eux, mais je ne voulais pas casser un des talons de mes précieux souliers. Puis, je me tournai vers celle qui avait fait partir mes proies. Elle avait des yeux remplie de colère. Cela aurait pu être amusant à voir si je n'étais pas moi-même fâchée. J'allais lui dire ma façon de penser, mais elle parla en premier. Je décidai de l'écouter sans interrompe. Je suis tout de même polie. Elle me demanda d'un ton plein de reproche si j'avais un cerveau. La guenon venait de faire une grossière erreur en commençant par me lancer des couteaux, car tout le monde sait que je suis la meilleure à ce jeu. Puis, elle me dit qu'il fallait être stupide pour porter des vêtements qui criaient de me kidnapper. Je lui souris, car au moins, elle admettait que j'avais plus de valeur qu'elle. Puis, elle continua en me disant qu'il fallait aussi n'avoir rien dans la caboche pour demander à des enfants qui ont de la misère à manger de remboursé. J'attendis quelques secondes, avant de prendre la parole, pour être sûr qu'elle n'avait rien d'autres à dire.

C'est avec joie que je lui répondis, après avoir tapé dans mes mains. Il fallait tout de même applaudir la performance. Puis, d'un ton faussement triste et coupable je lui: « C'était quasiment touchant. Je veux dire que jamais je n'aurais cru voir, un jour, une guenon protéger ses laiderons. » Après, je pris mon ton ordinaire: « Non, mais plus sérieusement. Tu sais que tes yeux ne font pas peur mademoiselle je-ne-sais-pas-comment-m'habiller. » Puis, je m'approchai d'elle et m'essuya un peu les mains dessus son chandail. « Ça ne devrait pas te déranger, car si tu chiales ça reviendrait à dire que tu es une imbécile, non. Tu vois je vais faire semblant d'être ce que tu dis que je suis - une imbécile, en gros - et te demander de rembourser pour ceux que tu viens de sauver. Tu as agi comme une vraie maman et c'est à ce titre que tu devrais ! » Je lui tendis la main pour lui montrer que j'étais vraiment sérieuse. Cela lui apprendra à cette femme de se mêler de mes affaires. Puis, comme j'étais pressée - À quoi ? À rien en fait, j'avais simplement envie de prendre une douche et de me changer -, je m'adressai de nouveau, à elle. « Aller ! Toi-même tu l'as avoué que je valais mon pesant d'or en me disant que je me ferais kidnapper. Alors, sort l'argent. »
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MessageSujet: Re: maxyne || What's YOUR problem ?   maxyne || What's YOUR problem ? EmptyVen 17 Avr - 6:04

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Maxyne & Leighton
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La petite brune qui lui faisait face avait le visage ravagé par la colère, par un sentiment de répulsion tel que Maxyne en aurait ri si la gamine n’était pas aussi agaçante. Si elle-même n’avait pas été insultée par un tel manque de compassion, de compréhension envers l’enfant, la pauvreté. Que pouvait bien faire une gamine comme celle-là dans un milieu comme celui-ci?  C’était une question qui ne cessait d’aller et venir, sans qu’elle puisse en trouver la réponse. Elle ne connaissait pas beaucoup de petites filles à papa qui viendrait en Afrique faire du bénévolat pour des gens dans le besoin alors qu’elles ont peur de se salir les mains. Non mais que penserait les gens si leurs ongles étaient abîmés? Ce genre de réaction, ça lui donnait envie de vomir. Il y avait longtemps que l’assistante sociale avait perdu sa foi en l’humanité, sans Leïla et Ivy, sans doute aurait-elle plongé dans ce chemin sinistre et inquiétant que son paternel avait dessiné pour elle depuis sa naissance. Il l’avait brisé, il avait fait en sorte de lui retirer l’image de la famille parfaite, de l’homme bon et généreux. Lui, le cardiologue était également le monstre caché sous le lit, n’attendant que le bon moment pour vous trancher la gorge. Elle s’était battu bec et ongle pour se garder un semblant d’espoir en la race humaine, pour se prouver qu’elle n’était pas comme son géniteur. C’était la raison première de sa présence ici. Ici où tout le monde travaillait main dans la main afin d’aider le plus démuni. Enfin, tout le monde sauf la demoiselle couverte de boue. Elle, elle était là pour parader dans sa robe valant plus qu’un mois de salaire pour un travailleur moyen. La voix de la petite princesse s’éleva, moqueuse et agaçante. Maxyne croisa les bras sur sa poitrine, résistant à l’envie de rouler des yeux comme si elle avait affaire à une abrutie, ce qui était un peu le cas, d’ailleurs. Un sourire mauvais étira les lèvres de la jeune femme. «  On ne t’a jamais dit de ne pas agacer les animaux sauvages? Ils pourraient bien te dévisager en un coup de griffes. Ce qui ne serait pas plus triste que ça, d’ailleurs. » C’était méchant. Méchant et gratuite, elle le savait. Ce n’était pas vraiment dans ses habitudes, elle qui ne ferait pas de mal à une mouche, dont la colère se résumait bien souvent à un grognement furieux sans suite. L’inconnue, cependant, pour une raison qu’elle ne pouvait s’expliquer, l’agaçait hautement par son manque de tact et d’humanité. Max ne bougea pas d’un centimètre lorsque son interlocutrice s’approcha d’elle pour essuyer ses mains boueuses sur son t-shirt, se contentant de hausser un sourcil, moqueuse. Qu’est-ce qu’elle essayait de faire, la gamine, la frustrée en la salissant? Elle dont la peau était couverte d’une fine pellicule de poussière à force de courir derrière ce ballon bossé. « Oh vas-y, ne te gêne pas pour moi. » Elle eut un haussement d’épaules, marquant ses propos.  Elle était bien loin de se soucier de ce genre de choses, elle n’en avait rien à faire de son apparence, surtout dans un endroit comme celui-ci. Puis, elle hocha doucement la tête de gauche à droite en claquant la langue de façon désapprobatrice.  « J’ai dit que tes organes valaient leur pesant d’or, toi en revanche, tu ne dois valoir qu’un sou ou deux. » Elle lui offrit un sourire angélique, quelques choses de faussement plaisantes, de légèrement grinçant. Puis, elle plissa légèrement les yeux, la tête doucement inclinée sur le côté, comme une enfant réfléchissant à un problème difficile. «  Te rembourser? C’est faisable, j’imagine. Mais à quoi bon? Tu dois avoir les moyens de la remplacer par toi-même, non? Ou alors papa ne t’aime pas assez pour te continuer à te donner tout ce que tu veux? » Elle aurait eu envie de lui arracher les yeux de leurs orbites et de les donner à manger aux vautours, mais elle se disait que Noah n’aimerait pas vraiment, qu’il devrait expliquer aux parents de la gosse ce qui s’était passé et qu’aucune version de cette histoire ne pourrait être romancée suffisamment pour qu’elle ne finisse pas en cellule à son tour.




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