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 la boîte à rps ♣ shanleigh & maxime - you can't judge someone

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Frans Van Pieters
Frans Van Pieters
THE BIG BOSS
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♣ messages : 458
♣ métier/études : directeur du centre Giving for Africa


MessageSujet: la boîte à rps ♣ shanleigh & maxime - you can't judge someone   la boîte à rps ♣ shanleigh & maxime - you can't judge someone EmptyVen 24 Juil - 18:06

❝ you can't judge someone  ❞
shanleigh & maxime






Alors que la coupe du monde vient à peine de commencer, Maxime fervent patriote de son équipe est fier de s'afficher avec les couleurs de la France en portant son maillot fétiche. La journée touche à sa fin et maladroitement, Shanleigh finit par lui rentrer dedans en ne regardant pas où elle marche. De mauvaise humeur, elle se moque gentiment du maillot porté par le jeune homme qui ne semble pas enclin à en rire, ne comprenant pas comment une adolescente peut se permettre de faire ce genre de remarques. L'incompréhension semble totale chez les deux inconnus. Allez-vous réussir à vous calmer ? Ou au contraire allez-vous exploser ?

C'est à vous de le décider. Un seul mot d'ordre : Amusez vous !

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MessageSujet: Re: la boîte à rps ♣ shanleigh & maxime - you can't judge someone   la boîte à rps ♣ shanleigh & maxime - you can't judge someone EmptyVen 31 Juil - 6:23


You can't judge someone
Maxime & Shanleigh


« Tu as fait tes échauffements de ballet? Pratiquer ton violon? Tu ne m'as toujours pas envoyé ta dissertation sur Molière pour l'école, tu sais que ton père ne tolérerait pas une mauvaise note de plus, n'est-ce pas, Shanleigh? » Et ainsi allait la conversation téléphonique avec sa mère. Ça durait depuis vingt minutes maintenant. Aoife ne lui avait même pas demandé si elle aimait l'Afrique, si elle appréciait son stage à la réserve ou encore si elle allait bien. Des questions que toutes mères dînent de se nom aurait posé à leur rejeton. Bien qu'agacée, la petite blonde n'était pourtant pas vexée. Elle en avait l'habitude. Depuis qu'elle était ici, chaque fois qu'elle avait l'un de ses parents au téléphone, c'était toujours la même rengaine. Chaque fois, elle mentait. Oui, elle avait fait ses échauffements, comme à tous les jours. Oui, elle avait pratiqué son violon, au point que Rebekah en pouvait plus. Bien sûr qu'elle avait envoyé sa dissertation, tu ne te souviens pas, maman? Tu l'as même lu, la semaine dernière. Au certes, Shanleigh aurait pu simplement leur dire qu'elle n'avait pas envie de jouer du violon, qu'elle détestait le ballet, qu'un a- n'était pas vraiment une mauvaise note, ce n'était juste pas la perfection. Mais elle ne le faisait pas. Et elle ne le ferait probablement jamais. Principalement parce qu'elle avait peur de les déçois. Toute sa vie, elle n'avait eu qu'eux. Eux et leurs espoirs futiles d'avoir l'enfant parfait. Elle n'avait pas souvenir qu'ils avaient été aussi durs avec Rebekah et Declan. Elle avait un jour entendu sa mère dire à une amie que c'était parce que les deux aînés avaient perdu leur mère en bas âge, c'était suffisant comme ça, ils n'avaient pas besoin de plus de pression. Et puis, ils la détestaient, alors elle se voyait mal les obliger à faire des activités parascolaires qu'ils n'aimeraient pas. Mais elle, Shanleigh, elle n'avait pas d'excuse. Elle devait être l'enfant prodige. La gamine qui devait sourire et être aussi charmante et silencieuse qu'une petite poupée de porcelaine. Sois jolie et tais-toi. Soit violoniste, ballerine, top model si ça te chante, mais laisse tomber les jeux vidéo et les bandes dessinées, tu n'es pas un garçon, Shay!

Naïvement, l'adolescente avant cru que mettre 14 593 kilomètres entre eux aiderait les choses. Que ce serait plus facile comme ça. Elle avait tort. Ses parents ne l'avaient pas laissé quitté le foyer familiale en pensant arranger leurs relations, mais parce qu'elle avait eu l'air pitoyable devant eux. Elle s'était battu, bec et ongle, elle les avait menacés, elle leur avait dit que s'ils refusaient, ils se réveillaient un matin et elle n’était plus là, alors il valait mieux qu'ils la laissent partir, comme ça, Rebekah pourrait vieille sur elle. Sauf que Rebekah ne veillait pas vraiment sur elle. Sa sœur se souciait même pas du fait qu'elle avale un repas correct par jour, elle ne lui demandait pas si elle avait passé une belle journée, où elle avait été. À part ce soir-là, quand elle était rentrée trop tard, quand sa sœur lui avait fait une jolie scène dans la cuisine surchauffée du bungalow. Au final, sa famille n'était qu'une catastrophe, que des ruines fumantes. Elle n'avait aucun moyen de réparer les pots cassés. Ce n'était pas à elle de le faire non plus. Elle était la gamine dans cette histoire, la petite fille qui n'avait pas toutes les pièces du puzzle. Elle était pourtant la seule qui avait envie d'arranger les choses. Malgré la vie qu'elle avait eue, malgré le fait que sa sœur et son frère l'avaient mis de côté depuis aussi loin qu'elle ne se souvenait, elle les aimait. Malgré le fait que ses parents étaient de vrais monstres qui attendaient juste le prochain faux pas pour l'attaquer. Pourtant, ces derniers temps, elle ne faisait qu'offrir un silence de plomb à son aînée. Elle répondait à peine à ses tentatives de discussion, elle passait la majorité de son temps avec Anil à la réserve plutôt qu'avec sa sœur, elle sortait jusqu'à tard le soir pour se balader dans le centre ou pour lire dans un coin silencieux de l'école. Elle savait que ce n'était pas la meilleure façon d'agir, mais tant pis.

C'était sans doute cette conversation qu'elle avait eue avec sa mère quelques minutes plutôt qui l'avait rendu de mauvaise humeur. Cette discussion qui n'avait rien à voir avec elle, mais plutôt avec ce qui se passait de bien dans le petit monde d'Aoife. Ça ou alors c'était le fit qu'elle était une adolescente. L'air de rien, c'était son rôle d'avoir des sauts d'humeurs, par principe. Parce que c'était dans son âge. Et puis, elle avait bien le droit non? Plongée dans ses pensées, elle ne réalisa pas qu'elle courrait droit à la catastrophe. Sa masse minuscule entra en contact avec une autre, beaucoup plus imposante, lui faisant perdre l'équilibre. Elle battit des bras de façon très peu gracieuse, essayant de récupérer son équilibre. Ses prunelles se posèrent sur l'inconnu, des éclaires d'agacement dansant dans ses iris. La première chose qu'elle nota fut le t-shirt à l'effigie de l'équipe de Rugby de la France. Bien entendu. Avec la coupe du monde, les gens abordaient les emblèmes de leur équipe fétiche avec une fierté ridicule. Non qu'elle était contre. Shanleigh n'était pas une grande sportive, elle ne comprenait pas vraiment le rugby, elle l'avouait bien, mais elle encourageait son équipe, par patriotisme. Elle avait compris que c'était un moyen de rassembler les gens, quand les choses étaient au plus bas. C'était un coup d'économie et ça ne fait jamais de mal. Enfin, sauf quand il y a des émeutes, de la violence ou si on oubliait les batailles dans les bars ou dans les estrades. « Désolée. » Marmonna-t-elle, avant de hausser les épaules, l'air exaspéré. « Enfin, pas aussi désolée que vous. Vous devez être vraiment désespéré pour encourager la France. » Okay. Elle avait eu une mauvaise matinée. D'accord, elle n'appréciait pas vraiment la France depuis une visite à Paris quelques années plutôt. Ce n'était pas la peine de s'attaquer aux gens pour autant, elle le savait. Elle avait juste besoin de rejeter le stress et son agressivité sur quelqu'un, et malheureusement pour l'inconnu, il était le premier être vivant qu'elle croisait. En dehors des blattes, mais elle aurait sans doute l'air stupide si elle se mettait à hurler sur une blatte.

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MessageSujet: Re: la boîte à rps ♣ shanleigh & maxime - you can't judge someone   la boîte à rps ♣ shanleigh & maxime - you can't judge someone EmptyDim 2 Aoû - 15:14


you can't judge someone
maxime feat. shanleigh


Aujourd'hui avait le potentiel d'être une bonne journée. Maxime en avait décidé ainsi quand il s'était réveillé ce matin et que son esprit s'était dirigé vers le match de ce soir. France - Afrique du Sud, le premier match de cette coupe du monde qu'il allait pouvoir suivre au plus près. Avec le contexte de son année 2014, il n'avait pas vraiment pu correctement suivre et apprécier la dernière coupe du monde. Il n'avait pas pu se permettre de faire un aller-retour en France pour voir des matches avec sa sœur aussi tôt après son départ en Afrique du Sud et observer les exploits des -surnoms des équipes- l'avait plus rendu triste et nostalgique qu'autre chose. Mais les choses avaient évolué et cette année, il était bien décider à profiter de l'événement.

De base, le rugby ce n'était pas son sport. L'ancien ingénieur était plutôt football et hand de temps en temps. Mais le rugby était une passion que son grand-père paternel, son père et sa petite sœur avaient toujours partagé. Ça avait toujours été leur truc à eux. Maxime se souvenait encore d'après-midis de son enfance où les deux hommes et la petite fille étaient serrés sur un canapé à suivre le ballon ovale des yeux sur l'écran de la télévision du salon. Alors forcément il n'avait pas pu complètement y échapper et même si il n'avait jamais pratiqué le sport, il en connaissait toutes les règles et était presque incollables sur les équipes internationales et leur palmarès. Quand il était monté à Paris rejoindre sa sœur (il avait déménagé pour le travail mais retrouver Aline avait été un réel plus dans cette nouvelle étape de sa vie), cette dernière avait commencé à l'emmener avec elle voir des matches, ceux du stade français ou des internationaux. Maxime s'était retrouvé un peu plus impliqué dans le sport et en grand patriote, il prenait toujours grand plaisir à supporter le XV de France.

Il s'était préparé dans la bonne humeur. Il avait enfilé son vieux maillot floqué au nom de Damien Traille et avait quitté son appartement avec ce dont il avait besoin avant de rejoindre des amis au golden lions club pour supporter son équipe. Les choses avaient bien commencé. Les français menaient à la mi-temps mais ils avaient fini par se faire rattraper et dépasser. Ils étaient passé à deux doigts de la victoire. Et deux doigts, c'était le cas de le dire car au score final, seuls deux petits points séparaient l'Afrique du Sud de la France. Après le coup de sifflet final Maxime était resté discuté un moment avant de se décider à rentrer au centre, pas d'humeur à poursuivre la soirée en boîte de nuit. Le français avait encore la tête aux actions manquées du match, celles qui si elles avaient bien été effectuées aurait pu leur faire gagner le match, quand il percuta quelque chose. "Désolé." Quelque chose ou plutôt quelqu'un. Aux dernières nouvelles les murs ne réagissaient pas quand ils se prenaient un homme dans la tête.

Maxime essaye de détailler du mieux qu'il le pu la personne en face de lui, la nuit les entourant n'aidant absolument pas. La voix était féminine et le français pouvait distinguer le contour de son visage. L'ancien ingénieur ne lui donnait pas plus de vingt ans, probablement même un peu moins. Elle n'était pas tombée après leur rencontre et c'était presque un miracle au vu du choc et de leur différence de taille. Si on mettait de côté l'énervement présent sur sa figure, la demoiselle avait l'air d'aller bien. "Enfin, pas aussi désolée que vous. Vous devez être vraiment désespéré pour encourager la France." Il ne fallu attendre qu'une poignée de secondes pour que sa première réaction se fasse entendre. "Pardon ?!" Si il avait eu Noah ou un ami supporter d'une autre équipe en face de lui, il aurait simple de répondre un Mais je t'emmerde. avec un rire pour aller avec. Les inconnus, c'était plus difficile de leur répondre. Il fallait savoir rester calme, à peu près poli, faire preuve de répartie. Mais de la repartie à cet instant précis Maxime avait un peu de mal à en avoir quand les images de leur défaite tournaient encore dans sa tête. Ce dernier événement n'était définitivement pas à son avantage.

Et il fallait avouer que ce genre de remarque sortant de la bouche d'une fille de son âge, c'était plutôt inhabituel. "Je sais pas pour qui vous vous prenez mademoiselle mais on aurait mieux fait de vous apprendre à mieux parler à vos aînés plutôt que de vous laisser dehors à cette heure-ci." C'était sans doute trop violent/méchant pour les mots qui lui avait été dits, Maxime devait l'accorder. Mais pour sa défense, il aurait sans doute mieux pris les choses si la remarque avait été dite avec un sourire sur un ton joueur plutôt qu'avec cette expression qui semblait demander pourquoi le monde entier s'accablait sur sa personne.


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MessageSujet: Re: la boîte à rps ♣ shanleigh & maxime - you can't judge someone   la boîte à rps ♣ shanleigh & maxime - you can't judge someone EmptyJeu 27 Aoû - 3:36


You can't judge someone
Maxime & Shanleigh


Shanleigh n'avait jamais été de ces petites pestes à la langue bien pendue. Elle en était loin. De nature calme et timide, il était rare de l'entendre prononcer plus que quelques mots dans une salle de classe. Chaque fois qu'on lui posait une question, ses joues prenaient une couleur pivoine sans qu'elle puisse rien y faire. Ce n'était pas dans sa nature de provoquer le premier venu parce qu'elle avait passé une mauvaise journée. Surtout pas un inconnu. Il n'y avait pas si longtemps que cela, elle aurait balbutié quelques mots d'excuse avant de filer vers le petit bungalow qu'elle partageait avec sa soeur en espérant ne plus jamais croiser l'homme qui lui faisait face de sa vie. C'était un peu excessif, mais c'était dans sa nature. Sa mère avait toujours dit que c'était adorable, que c'était comme ça qu'une vraie Lady devrait se comporter. Venant de sa mère, la petite blonde ne savait pas trop quoi en pensée. C'était probablement le cas au dix-septième siècle, plus aujourd'hui. Il n'en restait pas moins que pour le moment ,elle avait bel et bien attaqué son interlocuteur sans aucune raison apparente. Comme une gamine mal élevée. D'ailleurs, il fallut plusieurs secondes pour que l'homme réagisse. Elle l'avait peut-être pris au dépourvu avec son insulte gratuite, ou alors, il ne s'attendait pas à se faire attaquer comme ça par une enfant qui n'avait même pas l'âge l'égale pour voyager seule sans l'autorisation de ses parents. Il ne lui restait plus qu'à espérer que ce type ne soit pas l'ami de Rebekah ou celui d'Andrew. Ce qui était possible, puisque l'adolescente ne connaissait pas vraiment l'entourage de ses deux aînés. Sa soeur tenait trop à l'avoir loin d'elle pour cela. Elle la tenait à un bras de distance, comme si elle était venimeuse ou quelque chose comme ça. Elle pourrait aussi bien avoir insulté le pape en personne pour ce qu'elle en savait, quoiqu’elle était certaine que le pape était un peu plus vieux que celui-là. Enfin, la dernière fois qu'elle avait ouvert la télévision.

Malgré elle, un fin sourire étira ses lèvres devant la réaction du jeune homme. Ce n'était pas sympa de sa part non plus, encore une fois, elle faisait sans doute une bêtise. Pis, elle faisait preuve d'une effronterie écoeurante. Tant pis. Elle aurait dû s'excuser et s'éloigner. Il s'agissait que d'un faux pas comme tant d'autres, ça ne valait pas la peine de se chercher des poux pour autant. Ce n'était pas non plus juste de s'en prendre à lui alors qu'elle en voulait à sa famille. Le sourire de la petite blonde s'effaça devant la réplique de l'homme, croisant les bras sur sa poitrine dans une attitude défensive. Elle l'avait cherché, c'était un fait, mais ça ne voulait pas dire qu'elle appréciait pour autant. Son visage se renfrogna en une grimace boudeuse alors qu'elle le toisait, le menton relevé dans ce qui pourrait être interprété pour du défi. Ce n'en était pas vraiment. C'était plutôt un réflexe quelconque, qu'elle ne pouvait s'expliquer. Aoife lui avait une fois dit qu'elle ressemblait un peu trop à Rebekah quand elle était fâchée, ce que la jeune fille n'arrivait pas à croire. Comment pouvait-elle ressembler à sa soeur? Physiquement parlant, elles n'avaient pas de point commun, que des trucs minuscules, rien d'autre. C'était mieux comme ça. Sa soeur supporterait sans doute pas de lui ressembler, elle finirait peut-être par se faire faire une chirurgie plastique ou par se teindre les cheveux. « Dans ce cas, vous devriez prendre un billet d'avion et aller dire tout ça à mes parents, puisque vous savez si bien vous y prendre.» Chantonna-t-elle d'une voix où perçait la froideur? Si elle avait tapé du pied avec une moue boudeuse, ç'aurait été parfaitement adéquat dans une telle situation. Ce n'était pourtant pas dans ses habitudes et elle n'en fit rien. Elle se contenta de rester là, devant lui, les bras croisés sur sa poitrine.

Shanleigh ignorait tout de l'équipe de Rugby de France, comme elle ignorait tout de celle d'Afrique du Sud ou celle d'Irlande. Elle soutenait cette dernière principalement par patriotisme, parce que papa aurait aimé la voir vêtue du t-shirt de l'équipe nationale. C'était tout. Elle ignorait tout de ce sport, comme c'était le cas pour la majorité des sports en fait. Elle détestait les ballons en tout genre, elle n'appréciait pas la sueur des gymnases et des chants d'équipes qui vous cassaient les oreilles jusqu'à ce que vos tyrans saignent. Elle avait attaqué sur le sujet simplement parce que c'était un sujet épineux pour les gens ces derniers temps, comme si elle parlait de religion ou de politique, ce qui était loin d'être le cas. Et puis, pour ce qu'elle en savait ,la France pouvait bien gagner la coupe. Ce qui rendait son commentaire encore plus ridicule qu'il ne l'état. « Et puis, mon père a toujours dit qu'un vrai homme ne devrait pas être froissé par les propos d'une femme. Encore moins d'une fillette.» C'était plus ou moins vrai. Son père n'était pas vieux jeu à ce point. Il respectait la femme, mais il y avait certains sujets pour lesquels il croyait que le sexe faible n'avait pas le droit de se mêler. La guerre, par exemple. Il ne comprenait pas pourquoi on envoyait des femmes sur le front alors qu'elles étaient la clé du futur. Elles possédaient le don de donner la vie, c'était suffisant pour ne pas les envoyer à leur mort à ses yeux. Ce que Shanleigh comprenait plus ou moins. Une femme ou un homme, quelle importance? Surtout si c'était une question de choix. Qu'importe. D'une façon ou d'une autre, l'homme qui lui faisait face n'allait sans doute pas prendre sa réplique comme un compliment.
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