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 ♣ ALEJANDRO ♣ Nothing behind me, everything ahead of me, as is ever so on the road

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MessageSujet: ♣ ALEJANDRO ♣ Nothing behind me, everything ahead of me, as is ever so on the road   ♣ ALEJANDRO ♣ Nothing behind me, everything ahead of me, as is ever so on the road EmptyJeu 19 Mar - 11:19


ALEJANDRO AMOO REINA

petite citation trop cool.


nom : Reina, nom de famille très courant en Espagne ♣ prénom : Alejandro, Amoo ♣ date de naissance : 17 février 1990 ♣ âge : 25 ans ♣ nationalité : espagnole ♣ orientation sexuelle : hétéro ♣ statut : celibataire ♣ métier/études : volontaire, dans la médecine humaine. Anciennement étudiant en médecine, mais il a tout quitté il y a cinq ans ♣ groupe : volunteer ♣ avatar : Colton Haynes ♣ crédit : tumblr




« ME, MYSELF AND I »
♣️ Parles nous un peu de toi ? Je n'aime pas trop parler de moi. Je ne sais jamais quoi vous dire. Je préfère qu'on me découvre, au fur et à mesure, plutôt que raconter qui je suis. Je doute être très véridique dans mes propos. Je vous dirai volontiers que je n'ai aucun défaut, mais malheureusement, c'est faux. J'en ai un gros; je déteste faire ce qu'on me demande. Je veux dire par là, que si le medecin me demande quelque chose, je le ferai surement, parce que là, ce serait pour quelqu'un, pour un patient, pour un être humain qui en a besoin. Mais si quelqu'un me demande de parler moins fort, si quelqu'un me demande de me taire, si quelqu'un me demande de mettre les poubelles dehors, si quelqu'un me demande de faire une chose que je n'ai pas envie de faire, je ne le ferai pas. Je fais tout simplement ce que je veux, quand je veux. sauf pour Sio'. Je suis venu pour elle ici, mais c'est différent. Sio', elle peut presque tout avoir de moi. C'est une amie, presque devenue comme une petite soeur. Elle m'a demandé de venir ici, je suis venu -avec un peu de mal, je vous l'avoue, je ne lui cache d'ailleurs pas-.
Sinon, qu'est-ce que je peux vous dire d'autre? Je ne suis pas borné, je suis simplement têtu. Je n'ai pas peur de mourir. En fait, je n'ai quasiment peur de rien. Enfin, si, j'ai peur d'une chose, mais c'est tellement ridicule que je ne vous le dirai pas. ♣️ Pourquoi avoir posé tes valises en Afrique du Sud ? J'ai posé mes valises en Afrique du Sud, à cause de Siobhan. Je ne voulais pas au début. Il y a presque deux cent pays dans ce monde, et l'Afrique du Sud était en dernier sur ma liste. Mais pour Sio', c'est important de revenir, de voir, de visiter ce pays. Sa soeur, Anna, était bénévole ici. Elle y est morte. Sio' veut essayer de comprendre ce qui lui est arrivé. Elle veut essayer de tout savoir. Ca me fait peur, mais je n'ai pas le choix. Sio a tout fait pour moi, je ne pouvais pas la laisser venir seule ici. ♣️ Pourquoi avoir choisi Giving For Africa pour faire ton bénévolat ? A cause de Sio', encore une fois. Anna était bénévole ici. Elle a tenu à l'être aussi. Du coup, encore une fois, je l'ai suivi. On avait l'habitude du bénévolat. On en a déjà fait, et dans des conditions bien pires qu'ici. Et puis, je dois dire, j'aime bien. Je suis bénévole en médecine. Je remplis des papiers pour des medecins du centre, je fais attention au stock, et il m'arrive quelques fois de faire des petits soins (changer des pansements par exemple..). Ca me rappelle un petit peu mon ancienne vie; celle d'étudiant en médecine. ♣️ Quelles ont été tes premières impressions en arrivant sur place ? Ma toute première impression a été mauvaise. Je me suis dis "bon sang, qu'est-ce que je fous là?". Je n'avais vraiment aucune envie de poser mes pieds en Afrique du Sud. Mais l'acceuil qu'on nous a réservé m'a fait changer d'avis. J'adore Giving for Africa. Le personnel est tout simplement adorable, et la population aussi. Ils ont besoin de nous, ça se voit. Je compte bien m'investir à fond dans ce projet. ♣️ Comptes-tu prolonger ton séjour parmi nous ? Posez la question à Sio'. Je dépends d'elle.



« LET'S SPEAK ABOUT THE WRITER »


♣️ pseudo : Nini ♣️ âge : trop vieille ♣️ ton personnage est : un inventé, mais j'ai été aidé :p  ♣️ comment es-tu venu ici ? : La faute en premier à Lina. Puis, c'est de la faute de Margot et Cam ! Very Happy  ♣️ tes impressions : j'adore déjà <3





Code:
[b]nom de la célébrité[/b] ♣️ Colton Haynes









Dernière édition par Alejandro A. Reina le Jeu 19 Mar - 14:02, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: ♣ ALEJANDRO ♣ Nothing behind me, everything ahead of me, as is ever so on the road   ♣ ALEJANDRO ♣ Nothing behind me, everything ahead of me, as is ever so on the road EmptyJeu 19 Mar - 11:19

Hit the road Jack and don't you come back no more, no more, no more, no more

"Nothing behind me, everything ahead of me, as is ever so on the road"






Ils me manquent. C'est atroce, ils me manquent tellement. C'est par vagues, c'est constant. Tout le temps, sans répits.

Ils étaient tous là, réunis dans ce salon. Sa grand-mère, Carolina, était assise à ses côtés. Elle pleurait toutes les larmes de son corps. Son petit corps, justement, était secoué de spasmes. Alejandro avait son bras autour de son épaule, et de sa main, il caressait sa mamie. Il essayait de la soutenir du mieux qu'il pouvait. Mais lui aussi était brisé. Ses yeux étaient rouges, sa tête était baissée. Il ne les écoutait plus. Il en avait assez entendu. Ses mots l'avaient cassé, brisé. Présumés morts. Officiellement, ils n'étaient plus de ce monde. Officiellement, ils les avaient quitté il y a plus d'un an. Tout devenait officiel. Alors que jusqu'à maintenant, ils avaient tout tenté, tout espéré. Alejandro en premier. Pendant un an, il s'était levé en se disant qu'ils allaient les retrouver. Il faisait tout pour essayer de vivre comme si, ils allaient revenir. Il achetait les céréales préférées de sa soeur. Il faisait le ménage avec le même nettoyant que sa mère aimait utiliser. Il nettoyait chaque semaine les maquettes d'avion que son père avait construit. Et surtout, il gardait son téléphone toujours sur lui, et décrochant en moins de trois secondes, espérant les entendre au bout du fil.
Mais un an était passé. Depuis cette terrible nuit du 3 Janvier 2009, où le Robin DR-400, transportant toute sa famille, avait disparu des écrans radars, Alejandro espérait.
L'avion de son père avait été retrouvé. En mille morceaux, dans l'Océan Atlantique, près des côtes françaises.
Mais sa famille était encore portée disparu.
Jusqu'à aujourd'hui.
Parce que la justice n'avait pas de nouvelles d'eux, et parce qu'il fallait faire quelque chose pour cette entreprise, ils étaient déclarés morts. Officiellement.

Il laissait les larmes couler sur ses joues. Il se moquait royalement de tout ce que ces gens venaient leur dire. Il ne comprenait pas comment, sans corps, on pouvait déclarer mort quelqu'un. Il ne comprenait pas comment, pour le bien d'une entreprise, on brisait l'espérance d'êtres humains. Il leur avait à peine dit au revoir lorsque ces gens étaient partis. Il était resté là, sur le canapé, son bras autour de sa grand-mère, tête basse. Il n'avait pas réagit quand sa tante lui avait dit quelques mots. Il n'avait pas répondu quand le téléphone avait sonné. Il était resté là, assis, perdu, déboussolé, bouleversé.
Sous son bras, il avait senti le corps de sa grand-mère se crisper de plus en plus. Un murmure était sorti de sa bouche, des mots presque inaudibles. « Ca va aller. » Ces mots ne voulaient rien dire. Ca n'ira plus jamais, il le savait. Mais il ne savait quoi lui dire d'autre. Il ne savait quels autres termes utiliser pour elle. Mais sa réponse le brisa plus que tout, plus que ces phrases prononcées juste avant par les gens venus leur annoncer la version officielle. Des mots qui allaient le gifler d'une violence incroyable. Des mots qui allaient le blesser, comme jamais il n'avait été blessé.  Des mots qui allaient lui faire mal. Des mots qui allait déchirer son coeur. Des mots qui allaient le bruler de l'intérieur. .« Non, ça n'ira pas. Tu ne peux pas comprendre, j'ai tout perdu dans cet accident moi. TOUT. »

Et moi? Je n'avais perdu personne dans cet accident? Et moi? Je vivais encore comme avant depuis cet accident? Et moi? Je ne pleurais jamais depuis cette date-là? Et moi, et moi? Elle ne pensait pas à moi. Elle ne pensait qu'à elle, et qu'à sa gueule. Elle était le centre de l'univers, elle était le nombril du monde. Elle était seule. Elle avait perdu une fille. Elle avait perdu un homme qui était comme son fils. Et elle avait perdu une petite-fille. Mais moi? Qui j'avais perdu moi?

J'avais perdu mes proches les plus chères.
J'avais perdu ma mère; celle qui me couvrait de calins depuis que j'étais tout petit, celle qui me souriait tout le temps, même quand je faisais les pires conneries, celle qui nous concoctait de délicieux repas, celle qui nous amenait toujours partout avec elle, celle qui n'avait qu'un rêve en tête, que sa famille soit heureuse.
J'avais perdu mon père; celui qui travaillait comme un fou pour sa famille, celui qui bossait six jours sur sept pour nous, celui qui malgré toute sa charge dans l'entreprise était quand même là pour me dire de m'arrêter dans mes conneries, celui qui malgré tout ce temps passé loin de nous restait toujours à l'affût de nos sentiments et de nos mal-êtres.
J'avais perdu ma petite soeur; celle qui avait fait de moi le plus heureux des grands frères, celle qui était rentrée dans le monde de l'adolescence depuis peu, celle qui était capable de sortir des énormités aux parents pour éviter que je ne me fasse pincer, celle dont j'admirais, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept, le sourire.

J'avais perdu tout ceux-là. Comme ça. En une fraction de seconde.

Et elle osait dire que je ne pouvais pas comprendre? Elle osait me dire, droit dans les yeux, qu'elle était la seule à souffrir de cette absence? Il n'en avait pas fallut plus pour me mettre hors de moi. Je m'étais emporté. Je l'avais insulté. Je me suis levé, et je suis parti. Pour toujours.


Ne pleurez pas votre passé car il s'est enfui à jamais. Ne craignez pas votre avenir car il n'existe pas encore. Vivez votre présent et rendez le magnifique pour vous en souvenir à jamais.

Je ne serai surement pas parti si mon oncle avait été là, à ce moment-là. Il aurait réussi à trouver les mots, les bons mots pour me calmer, et me dire de rester. Mais, à cause de l'armée, il avait filé à l'autre bout du monde dans une guerre qui m'importait peu. Il ne restait que sa femme, ma tante, présente, que je ne supportais peu. Elle faisait tout pour moi, je le savais, mais elle n'était pas ma mère. Elle ne pourrait la remplacer.
Alors, j'ai fuit. J'ai fuit cette famille. Je ne leur donne aucune nouvelle. Je ne sais pas comment va ma grand-mère. Je ne sais pas comment va ma tante. Je ne sais pas comment va mon cousin. Je ne sais pas non plus comment va mon oncle. Je sais juste que lui a essayé de me retrouver. Mais je ne veux pas donner de nouvelles. Je veux vivre ma vie, ma nouvelle vie.
Il y a eu Alejandro gamin terrible, il y a eu Alejandro étudiant en médecine, et il y aura Alejandro le baroudeur.


Attablé dans le mini-espace de la caravane, Alejandro avait étalé devant lui la carte du monde. Il sirotait sa boisson, tout en épiant les pays sur la carte. Il repassa mentalement le chemin qu'ils avaient jusqu'ici parcourus. Ils avaient visité du pays. Il posa ses yeux sur la polynésie française; plus précisément sur haiti.

Haiti a été leur première destination. Ils avaient posé leurs bagages là-bas. Alej' se souvenait encore de leur fou-rire à l'aéroport. Ils pensaient alors vivre des jours heureux, les pieds dans l'eau, et les cheveux brillants sous le soleil. Il n'en fut rien. Le 12 Janvier 2010, ils étaient là-bas lorsque la terre avait tremblé. Dame Nature avait tout ravagé sur son passage. L'île n'était plus qu'une désolation. Des corps gisaient sous les gravas. Des enfants hurlaient de terreur. Des parents appelaient leurs gamins en criant. Des batiments énormes s'étaient effondrés. Il n'y avait plus que des ruines, des blessés, et des morts. Sio' et Alej' avaient passé plus d'une année là-bas, à tenter de les aider, à sortir des corps au début, et à aider à reconstruire après. Ce fut sans doute l'une des plus incroyable leçon de vie qu'ils ont vécu. Ce malheur avait ouvert les yeux du jeune adulte : il n'était pas le seul à souffrir, alors ils avaient tout fait, tout ce qui était en leur pouvoir, pour revoir un léger sourire sur les visages des tahitiens.

Plus d'un après, ils étaient repartis. Les yeux de Alejandro se posèrent sur le Mexique. C'était leur deuxième étape. Ils avaient vécu comme des jeunes de leur âge. Ils avaient trouvé petits boulots sur petits boulots, et avaient participé à toutes les fêtes où on les invitait. Ils étaient heureux. Ils vivaient au jour le jour. Là-bas, les jeunes espagnols avaient été surpris de voir ce mélange culturel; ils retrouvaient, au Mexique, un peu de leur pays natal, un peu de l'Amérique, un peu de colombien, et même de l'africain et de l'asiatique. Ce pays était un pur mélange.

D'un doigt, Alejandro fit le trajet qu'ils avaient suivi, en avion, du Mexique jusqu'à l'Indonésie. Là-bas, ils avaient vécu un rêve éveillé. Des paysages à la diversité animale, les espagnols avaient été séduits. La seule chose dont il avait peur dans ce pays, c'était de la peine de mort. Lui qui avait du mal à respecter les règles s'était retrouvé tout bonnement assez sage dans ce pays. De toute façon, tout ce qu'il avait vu lui avait clouer le bec. Il était tombé amoureux de cet endroit, tout comme il était tombé amoureux de Tahiti et du Mexique juste avant.

Enfin, son regard se posa sur l'Australie, là où ils étaient encore. Ici, ils vivaient comme des babas cools, des étudiants, ou même des voyageurs. Avec leur argent, ils s'étaient payés une caravane et avait sillonné les routes de ce pays. Ils avaient presque tout vu. Des kangourous à la barrière de corail. De Sidney à Perth. Encore une fois, Alejandro aimait ce pays.

Mais il était temps de partir.

La porte s'ouvrit à cet instant même; Sio venait de rentrer. Il fut accueilli par son magnifique sourire dès qu'elle avait vu la carte posée sur la table.
Il la laissa ranger ses affaires, échangeant quelques mots, puis, elle vint se poser en face de lui. Sans regarder la carte, elle posa son regard dans ses yeux, et d'un ton ferme lui annonça. « Je veux aller en Afrique du Sud. » QUOI? Mauvaise réponse. Mauvaise idée. Mauvais choix. Hochant la tête négativement, Alejandro ne lâchait pas son regard. Il ne voulait pas. Il voulait bien tout, sauf ce pays. Il y avait presque deux cent pays dans ce monde, et Siobhan choisissait celui qu'il avait mis en dernier sur sa liste. « Non. » Il se releva alors. Il connaissait assez Sio' pour savoir qu'elle n'allait pas en rester là. Sio' était assez têtue. Ils se connaissaient depuis qu'ils étaient en couche-culottes. « J'en ai besoin. » Elle lui lançait ce regard qu'il avait justement voulu éviter. Ses petits yeux de chats le suppliaient. Puis, d'un ton décidé, elle ajouta. « Si tu ne veux pas, j'irai seule. » Quand elle était comme ça, Alejandro la détestait. Il la détestait parce qu'il n'arrivait pas à résister. Il ne pouvait que accepter. Alors, il soupira un grand coup, et murmura un imperceptible ok.

Je le sais que c'est une mauvaise idée. Je le sais d'avance. J'ai essayé de l'en dissuader, mais elle a gagné. Nous allons aller en Afrique du Sud. Nous allons poser nos valises là-bas. Je sais d'avance que ce sera dur, qu'elle ira peut-être plus mal que là, mais je ne peux pas lui résister plus longtemps. D'un, parce que je ne veux pas qu'elle y aille seule, c'est trop dangereux. De deux, parce que je peux la comprendre. Je donnerai cher pour comprendre, moi aussi, pourquoi je n'ai plus de famille. Je voudrais bien comprendre pourquoi l'avion s'est crashé. Je voudrais bien savoir pourquoi nous n'avons jamais retrouvé leurs corps. Alors, je peux bien comprendre que Sio' veut savoir ce qui est arrivé à sa soeur.
Je me souviens de son petit corps frêle secoué de tremblements que je serai dans mes bras. Je me souviens de son hurlement strident. Je me souviens de sa douleur à ce moment-là. Ce sera dur là-bas. Je le sais. C'est pour ça que j'accepte d'y aller; il lui faut quelqu'un sur qui compter. Il lui faut quelqu'un pour la protéger, et ce quelqu'un, ce sera moi.









Dernière édition par Alejandro A. Reina le Sam 2 Mai - 12:22, édité 2 fois
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Noah L. Mansfield
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LE PETIT CON
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MessageSujet: Re: ♣ ALEJANDRO ♣ Nothing behind me, everything ahead of me, as is ever so on the road   ♣ ALEJANDRO ♣ Nothing behind me, everything ahead of me, as is ever so on the road EmptyJeu 19 Mar - 11:25

Trop d'espagnols parmi nous déjà Arrow. Ça sent l'invasion ça secret.
Colton d'amour je l'aime omg keur. Il est tip top franchement cutie.
J'ai hâte d'en savoir plus sur le petit Alejandro en tout cas angel.
Et c'est toujours la faute des autres quand on s'inscrit sur un forum secret

Bienvenue ici en tout cas cutie
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Felicity Sparrow
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LA VEUVE EPLOREE
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MessageSujet: Re: ♣ ALEJANDRO ♣ Nothing behind me, everything ahead of me, as is ever so on the road   ♣ ALEJANDRO ♣ Nothing behind me, everything ahead of me, as is ever so on the road EmptyJeu 19 Mar - 11:54

Ton nom me donne envie de chanter du Lady Gaga youhou
Très bon choix d'avatar, ça fait un garçon en plus sur lequel baver ! J'ai hâte de lire ta fiche coeur
Et bienvenue ici, je suis sûre que tu ne regretteras pas d'avoir écouté Lina, Margot et Cam secret
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Joos Van Pieters
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MessageSujet: Re: ♣ ALEJANDRO ♣ Nothing behind me, everything ahead of me, as is ever so on the road   ♣ ALEJANDRO ♣ Nothing behind me, everything ahead of me, as is ever so on the road EmptyJeu 19 Mar - 12:43

L'homme dont Joos va être très très très jaloux dans un futur plus ou moins proche siffle
En tout cas, je suis très heureux que tu fasses partie de la fête lion ça va être trop colis monkey
Bienvenue parmi nous en tout cas sheep
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MessageSujet: Re: ♣ ALEJANDRO ♣ Nothing behind me, everything ahead of me, as is ever so on the road   ♣ ALEJANDRO ♣ Nothing behind me, everything ahead of me, as is ever so on the road EmptyJeu 19 Mar - 14:04

Noah : L'invasion??? siffle Penses-tu Very Happy
Mais je t'assure que là, c'est franchement de leur faute !! En tout cas, merciiiii Wink

felicity : Vas-y, chante, chante, chante !! Very Happy Merciiii aussi !!

joos : je ne vois pas du tout de quoi tu parles...  merci beaucoup de m'en avoir parlé <3


au passage, ma fiche est terminée Wink
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Felicity Sparrow
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MessageSujet: Re: ♣ ALEJANDRO ♣ Nothing behind me, everything ahead of me, as is ever so on the road   ♣ ALEJANDRO ♣ Nothing behind me, everything ahead of me, as is ever so on the road EmptyJeu 19 Mar - 14:20

Pauvre Alejandro snif ta fiche est parfaite, donc...



bienvenue sur

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Bravo ! Tu as rejoint l'aventure Giving for Africa ! Maintenant que tu fais parti de l'équipe, peu importe ton groupe, voici quelques conseils pour commencer ton intégration :

♣️ Parce que c'est toujours mieux à plusieurs, commence par te créer une fiche de liens et de rps, n'hésite pas à poster dans celles des membres déjà présents pour trouver des idées.

♣️ N'oublie pas de recenser le métier de ton personnage, c'est à faire .

♣️ Tu peux également inventer tes propres scénarios (ici) ou bien proposer des liens avec des personnages pré-définis (ici).

♣️ Pour te lancer dans le rpg et commencer dès maintenant à faire vivre ton personnage, tu peux aller poster dans la boîte à rps. Nous ferons au mieux pour te trouver un partenaire et une situation folle-dingue pour vos personnages. Ou tu peux directement faire une demande plus simple, ici.

♣️ Et pour finir, tu peux flooder car c'est toujours amusant, et surtout voter pour Giving for Africa : ici, tes votes sont très importants car ils permettront à de nouvelles personnes de nous rejoindre.

Tu es désormais prêt pour rejoindre le reste de l'équipe et découvrir les merveilles de la savane ! En espérant que tu t'y amuseras bien




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MessageSujet: Re: ♣ ALEJANDRO ♣ Nothing behind me, everything ahead of me, as is ever so on the road   ♣ ALEJANDRO ♣ Nothing behind me, everything ahead of me, as is ever so on the road Empty

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