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 Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again.

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HabitantsMessage


Reed J. Trevelyan
Reed J. Trevelyan
LE PROVOCATEUR


♣ messages : 3456
♣ where are you : Johannesburg dans le centre ville, mais passe bien plus de temps au centre Giving for Africa que dans son appartement.
♣ âge : 35
♣ métier/études : Infirmier. Bénévole il aide cependant du mieux qu'il peut dans d'autres domaines si besoins est. Notamment dans le domaine juridique.


MessageSujet: Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again.   Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again. EmptyJeu 19 Mar - 18:36


REED (JAMIE) TREVELYAN

I know just what you're saying so please stop explaining. Don't tell me 'cause it hurts


nom : Trevelyan. Un nom inconnu ici sur ce continent, ce qui est un soulagement pour lui. Parce qu'il en aurait presque honte de ce nom, d'être un Trevelyan. ♣ prénom : Reed, Jamie. Simple, court et pas besoins de surnom. Ça lui va parfaitement. Il a échappé de justesse au Gidéon  quatrième du nom et de ce fait de l'appellation Junior. Merci à sa mère, pour une fois qu'elle a fait quelque chose de bien. ♣ date de naissance : 21 octobre 1988 ♣ âge : Vingt six ans ♣ nationalité : Américain, la grosse pomme. ♣ orientation sexuelle : Homosexuel ♣ statut : célibataire. Il n'a pas le temps de se consacrer à une relation amoureuse, et sans doute même pas l'envie non plus. ♣ métier/études : Infirmier. Il a également de très bonnes connaissances dans le domaine du droit, un héritage familiale dirons-nous. ♣ groupe : Volunteer ♣ avatar : Jack Falahee ♣ crédit : tumblr



« ME, MYSELF AND I »
♣️ Parles nous un peu de toi ? Les liens du sang auraient dû faire de lui un homme tout autre mais l’héritage qui coule dans ses veines n’a pas gangréné son cœur et son âme. Parce que Reed est un battant, que son entêtement n’a pas de limite et qu’il refuse de suivre le chemin tout tracé qu’on a dessiné à sa naissance. Chaque caractéristique qui définit sa famille et qu’il a fatalement héritée, il les a modelés à sa manière pour en faire sa force et sa différence. Rêvant de gagner la grandeur du cœur plutôt que la grandeur de la reconnaissance. Son ambition n’a rien à voir avec le prestige d’un magistrat haut placé ou d’un business en quête de plus de fortune. Non, elle est simple mais puissante, faisant entièrement partie de lui, habitant tout son être jusqu’à en devenir une véritable obsession. Reed ne souhaite qu’une seule et unique chose. Aider. Il donnerait corps et âme pour rendre à ce monde l’humanité et l’entraide qui autrefois faisaient l’Homme. Et son cœur de guerrier a combattu tous les obstacles qui se mettaient sur son chemin pour l’empêcher d’assouvir cette soif de venir en aide à son prochain. Reed a tenu tête, Reed n’a pas faiblit et Reed y est parvenu. Aujourd’hui, il savoure cette liberté à laquelle il s’accroche férocement. Il est le genre d’homme à donner de sa personne sans jamais rien demander en retour, allant jusqu’à l’épuisement, jusqu’à l’effondrement. Ne comptant pas son temps offert si généreusement au détriment de sa santé et de sa vie privée. Il ne pense pas à lui mais d’abord aux autres, à ceux qui en ont besoins, à  ceux que son cœur chérit. Cependant gentillesse ne veut pas dire pour autant bonne poire. Il a le cœur sur la main certes mais heurtez sa sensibilité et sa fierté et il vous le rendra bien. Si Reed peut aimer du  plus profond de son âme, la haine n’est jamais très loin lorsque la trahison est de mise, lorsque les coups bas s’acharnent, lorsqu’il est la cible de jugement trop appuyé et acharné sans preuve à l’appui. La rancune est alors tenace et destructrice. Au mieux, lors de ses bons jours, l’ignorance sera sa force. Au pire, habité d’une humeur massacrante, la provocation sera certainement sa faiblesse. Ne manquant pas de répartie, il refusera toujours de se taire jusqu’à obtenir le dernier mot. Parce qu’il est buté, et fier.
Reed est bien souvent  victime de jugement trop hâtif, l’arrogance apparente mais pourtant fausse en étant surement la cause. Ce côté hautain et fier qu’il dégage en font reculer plus d’un, il faut simplement apprendre à le connaître pour se rendre compte que ce n’est qu’une façade, dont il a dû mal à se détacher. Pendant presque toute son existence il s’est forgé cette carapace pour survivre dans le milieu où il est né, pour faire bonne figure dans la fausse aux lions. Dans ce monde de milliardaire où tous les coups sont permis pour abattre la concurrence. Si pendant un temps l’infirmier a mal vécu cet automatisme qu’ont les gens à le rejeter, il a cependant fini par s’y faire n’en retenant qu’une seule chose et qui lui convient : ces personnes qui le jugent simplement à cause de son apparence ne valent pas le coup de s’y intéresser et qu’il se porte finalement bien mieux sans eux dans sa vie. Il s’efforce cependant à faire tomber le masque du mieux qu’il peut, surtout depuis son arrivée au centre, ne souhaitant que laissé sa vie passé dans son pays d’origine. Ici, il démarre une nouvelle vie mais malgré toute la volonté du monde, il est difficile de se détacher de ce qu’on a toujours été. Comme ce côté séducteur et charmeur que Reed ne contrôle absolument pas et qu’il doit à ses mimiques faciales et ce sourire ravageur. Un sourire en coin qui en a fait tomber plus d’un. Et s’il a connaissance de son succès (même auprès des femmes mais là, ça lui fait ni chaud ni froid), le profit a plutôt été fructueux durant de longues années bien qu’il se soit nettement assagit depuis quelques mois. En somme, si Reed joue de sa séduction auprès de certains hommes pour assouvir ses besoins, il faut savoir que l’allumeur qu’il semble être n’est encore une fois qu’une apparence. C’est quelque chose qu’il ne contrôle pas. Pour être clair, il ne fait pas exprès.  
Pour finir (oui parce que là je me rends compte que j’écris un roman juste pour une question alors il faut que je me calme XD), Reed est un bosseur ne rechignant jamais à la tâche, même les plus ingrates. C’est un homme intelligent qui a toujours soif d’apprendre, d’améliorer ses connaissances. C’est un perfectionniste dans l’âme et lorsqu’il se lance dans un projet non seulement il s’y consacre jusqu’au bout mais il met également un point d’honneur à ce que tout soit parfait. Autant vous dire que l’échec est quelque chose qui l’insupporte, ce qui peut parfois le mettre dans des colères noires comme un enfant capricieux, allant jusqu’à passer ses nerfs involontairement sur la première personne qu’il croise.
 
♣️ Pourquoi avoir posé tes valises en Afrique du Sud ? C’est ici sur ces terres, non loin de Johannesburg, que le jet privé de ses parents s’est écrasé sur les terres arides, il y a onze mois de cela. Reed n’avait jamais mis un seul pied dans ce pays malgré les nombreux voyages qu’il a pu faire autour du globe, jusqu’à ce fameux jour où il a foulé le sol africain pour venir récupérer le corps de ses défunts parents, où plutôt ce qu’il en restait. La paperasse avec le gouvernement étant plutôt longue pour avoir les autorisations de rapatriement des deux corps – une enquête était en court pour déterminer la cause du crash – l’infirmier a séjourné quelques jours dans la ville. Brûlant d’impatience de pouvoir rentrer chez lui, refoulant le trop plein d’émotions qui le submergeaient en pensant à la perte de son unique famille, Reed s’est alors occupé l’esprit en visitant les environs. Et il y a une seule chose pour définir ce qu’il a ressentis alors pour ce pays, de par les paysages grandioses qu’il lui offrait et le dépaysement total de sa vie habituelle, le jeune homme a eu un véritable coup de cœur pour Johannesburg et ses environs. Et plus encore, si ces terres lui avaient arraché ses parents, elles lui offraient quelque chose de bien plus important encore pour Reed. Elle lui donnait sa liberté. Lorsqu'il a dû repartir pour New-York, l'infirmier c'est alors fait une promesse. Il reviendrait. Et c’est ce qu’il a fait en laissant tout derrière lui pour venir s’installer à Johannesburg, il y a de cela trois semaines.

♣️ Pourquoi avoir choisi Giving For Africa pour faire ton bénévolat ? De retour à New-York, ses parents enterrés si pieds sous terre avec leurs ancêtres, Reed n’était focalisé que sur une seule chose avec une seule idée en tête, retourner sur les terres africaines. C’est en faisant des recherches sur la ville de Johannesburg et de ses environs que l’infirmier a pris connaissance du centre. Cet endroit représentait tout ce que Reed recherchait depuis tant d’années. Son métier d’infirmier lui plaisait mais ne le comblait pas totalement mais cette perspective d’offrir ses services à des personnes démunies était quelque chose qui ravivait la flamme dans son cœur. Cependant, les obligations familiales dont il devait se charger – comme la vente du cabinet d’avocats – ne lui ont pas permis de faire ses valises aussi rapidement qu’il l’avait souhaité. Alors durant les dix derniers mois, Reed a fait quelques allers-retours quand son emploi du temps le lui permettait afin de découvrir Giving For Africa, et d’aider à l’occasion durant ses séjours. Et chaque fois qu’il repartait pour son pays natal, le jeune homme ressentait un manque terrible qui le dévorait entièrement. Il est tombé amoureux de ce pays, et le centre comblait tous ses espoirs et ses rêves.

♣️ Quelles ont été tes premières impressions en arrivant sur place ? Reed est euphorique, il n’y a pas d’autre mot pour définir son état d’esprit à l’heure actuelle. C’est une nouvelle vie qui se présente à lui. Certes, l’inconnu peut paraître parfois effrayant, surtout face au choc des cultures. Le fossé étant assez conséquent lorsqu’on compare le milieu mondain dans lequel il vivait, et la pauvreté à laquelle on ne peut pas échapper quand on arrive dans un pays comme l’Afrique du Sud. Et s’il peut être difficile d’être confronté à une telle misère, l’infirmier n’en demeure pas moins convaincu que c’est ici qu’est sa place, et qu’il n’y a pas meilleur endroit pour pouvoir exprimer son besoins de solidarité, d’entraide. Le dépaysement est total, le changement est brutal. Mais c’est tout ce dont à besoins Reed pour se sentir pleinement vivant mais surtout utile.  

♣️ Comptes-tu prolonger ton séjour parmi nous ? Il a tout quitté pour venir poser ses valises à Johannesburg : son travail d’infirmier au NYU Medical Center, ses amis et ses souvenirs. Et tout ceci n’était pas un coup de tête, ni un caprice. Evidemment son cœur a eu raison de sa décision, mais Reed a tout de même mûrement réfléchit à ce brusque changement de vie. Mais après tout, il n’avait rien de trop important qui le retenait à New-York. Il ne saurait dire si son existence se prolongera pendant longtemps sur les terres africaines, mais on peut dire que c’est bien partit pour.



« LET'S SPEAK ABOUT THE WRITER »


♣️ pseudo : psychose mae ♣️ âge : vingt six années bien tassées  omg  ♣️ ton personnage est : un choupi d'amour qui sort de ma petite tête cutie   ♣️ comment es-tu venu ici ? : Mon petit doigt me l'a dit, donc  siffle ♣️ tes impressions : LOVE YOU  secs





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[b]jack falahee[/b] ♣️ reed j. trevelyan









Dernière édition par Reed J. Trevelyan le Jeu 26 Mar - 22:13, édité 18 fois
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Reed J. Trevelyan
Reed J. Trevelyan
LE PROVOCATEUR


♣ messages : 3456
♣ where are you : Johannesburg dans le centre ville, mais passe bien plus de temps au centre Giving for Africa que dans son appartement.
♣ âge : 35
♣ métier/études : Infirmier. Bénévole il aide cependant du mieux qu'il peut dans d'autres domaines si besoins est. Notamment dans le domaine juridique.


MessageSujet: Re: Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again.   Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again. EmptyJeu 19 Mar - 18:36

I'll keep on fighting and I'll keep on trying.

"And I know there’s a light in the dark. Open your eyes to the beauty inside of your body, your soul and your mind"






La famille Trevelyan, New York, ETATS-UNIS
La famille Trevelyan est corrompue. Leur sang est gangréné par cette soif de pouvoir et d’argent, et ce depuis plusieurs générations. Law’s Trevelyan est un cabinet d’avocats réputés qui sévit dans l’immensité de New York depuis le début des années 1900, améliorant au fil des années ses performances, fructifiant leurs affaires auprès de la haute société. Leurs principaux clients ? Des hommes politiques, des célébrités, des hommes d’affaires. A vrai dire la seule condition pour que Law’s Trevelyan accepte de défendre un cas, c’est le compte en banque de celui-ci. Peu importe que cette personne soit coupable ou non du moment qu’elle paye, c’est la règle n°1. Tout du moins en principe. Car au fil du temps la famille Trevelyan s’est rendu compte que défendre un certain type de personne, comme des voyous des bas quartiers pouvait être quelque chose de très utile. Si ces petits truands n’ont pas les moyens de payer des avocats de leur agence, ils ont cependant une utilité tout autre que Law’s Trevelyan se garde sous le coude pour le jour où leurs médiocres clients pourront régler leur dette d’une tout autre manière que par des billets de banque. En effet, ceux-ci se montrent très pratiques lorsqu’il s’agit de compromettre des enquêtes en cours lors d’un jugement, très serviable pour aider à corrompre un juré lorsque Law’s Trevelyan se rend compte que pour sauver son client – coupable certainement – les lois ne suffiront pas à l’empêcher de passer par la case prison.  La famille Trevelyan n’a pas de moral, prête à tout pour gagner un procès et perpétuer encore durant de longues années cette reconnaissance auprès de la haute société. Parce que des âmes pourries, il y en a à profusion que ce soit chez les politiciens, les businessman ou les célébrités et ils auront toujours besoins de ses avocats corrompus par cette soif de pouvoir et d’argent. Et si des enquêteurs ont souvent essayé de faire tomber le masque et de mettre fin à cette entreprise fructeuse, ils ont toujours échoué car Law’s Trevelyan prend toujours soin de ne jamais être directement lié ou qu’aucune preuve valable ne les inculpe dans leur tentative de corruption. Ils sont intelligents, ils sont puissants et le chantage est tellement aisé car tout le monde à quelque chose à cacher, même un haut juge. Et cela, les Trevelyan l’ont très bien compris.

Reed c’est la mauvaise graine. Reed c’est le vilain petit canard. Malgré le destin tout tracé à ses pieds, il a décidé de sortir du sentier battu. Contrairement à ses parents, c’est son cœur qui guide ses actes, s’autorisant de ressentir chaque émotion humaine qu’elle soit douloureuse ou non. Il a des principes moraux, une conscience qui bouillonne dans son esprit lui faisant se poser les bonnes questions. Le malheur des autres le touche, incapable alors de tourner le dos sans état d'âme. Des erreurs il en fait certainement, comme tout à chacun, mais il est de ceux qui s’en imprègnent pour devenir quelqu’un de meilleur. Pour ne pas avoir à répéter les mêmes fautes. Il apprend, évolue constamment en se remettant en question même s’il est toujours difficile d’admettre ses torts. Bien sûr, ce n’est pas un homme parfait, ne réagissant pas toujours de manière appropriée dans certaine situation, sans doute parce qu’il écoute un peu trop son cœur. Ses réactions sont bien souvent impulsives, parfois même irréfléchies et ce n’est qu’une fois le calme revenu que Reed prend conscience des choses, à tête reposée. Malgré ses efforts, il sait pertinemment que la perfection n’existe pas, encore moins chez lui. S’il cherche à être quelqu’un de bon, certaines parties de sa personnalité sont bien souvent plus fortes que la raison mais il essaie, c’est déjà bien non ? Il fait de son mieux, il s’accroche tellement fort à ce besoins d’être un homme de bien parce que au fond il redoute certainement d’être comme eux, les Trevelyan. Terrifié à l’idée d’être aussi pourri de l’intérieur, angoissé par ses gènes qui coulent dans ses veines et pourraient mettre à mal tout ce qu’il est aujourd’hui. Reed a tellement honte de sa famille et il est horrifié à l’idée que ce poison dans son sang le contamine.


14.02.2011, Stan & Reed - Un appartement New-Yorkais, ETATS-UNIS
« Je t’aime » « Moi aussi… » murmure-t-il simplement en resserrant son étreinte autour du corps nu de son amant. Le visage enfoui dans son cou, Reed se laissait bercer par les battements de cœur de Stan qui se répercutait dans tout son être. Ses paupières étaient si lourdes, incapable alors de résister à l’appel de Morphée. « Tu ne l’as jamais dit » Le ton était incertain mais toutefois mêlé de reproche. Le corps contre lui semblait se tendre petit à petit, comme s’il redoutait le coup qui allait s’abattre sur lui. « De quoi tu parles ? » Soupira-t-il mollement avant d’étouffer un bâillement. L’idée d’entamer une conversation ne le faisait pas sauter au plafond, bien au contraire. Son seul désire à ce moment n’étant autre que de dormir, et récupérer le manque de sommeil qui se faisait de plus en plus lourd et de plus en plus dur à supporter. « Tu ne m’as jamais dit que tu m’aimais » « Qu’est-ce que tu racontes, je viens de te le dire ! » Sa voix était soudainement plus froide, irrité par les propos de son petit ami. Et quand celui-ci se détacha de l’emprise de son étreinte, l’infirmier sembla enfin vouloir obtempérer en ouvrant les yeux, posant alors un regard dur sur l’homme face à lui. Il put même percevoir son amant déglutir péniblement, comme si soudainement la crainte était plus forte que cette lubie qui lui empoisonnait l’esprit. « Non, Reed. Tu as juste répondu « moi aussi ». C’est ce que tu fais à chaque fois, quand tu n’utilises pas le sexe comme une arme pour esquiver d’avoir à me répondre. » Reed cligna des yeux à plusieurs reprise, comme interdit. Les propos de Stan le surprenaient mais plus encore il ne semblait pas les comprendre. Ou ne voulait-il pas les comprendre ? Rapidement, ses mains vinrent frotter son visage pour tenter de se débarrasser de cette fatigue qui l’engloutissait. « T’es sérieux ? Tu veux parler de ça maintenant ? Bordel Stan, il est 2h du matin et je suis crevé. Mon biper peut sonner d’un moment à l’autre et j’aimerais si possible pouvoir fermer les yeux et me reposer un minimum. Alors s’il te plait, on peut reparler de ça plus tard ? » Pour le coup, l’infirmier n’arrivait pas à contenir sa colère. La fatigue ne lui réussissait jamais bien longtemps, ses proches étant la plupart du temps les victimes de ses crises de nerfs. « C’est parce que je n’ai pas pu me libérer ce soir, pour la saint-valentin c’est ça ? Je t’ai déjà dit que j’étais désolé, d’accord ? Alors s’il te plait, lâches moi avec ça. » Brusquement, il bascula sur le côté tournant ainsi le dos à Stan. La colère empoisonnait son sang sans qu’il ne puisse la contrôler, parce qu’au fond son manque de sommeil n’était pas totalement responsable de son irritation. Au fond il savait que son amant avait raison, mais l’admettre lui était bien trop difficile. Si bien qu’il refusait d’affronter la vérité en s’en prenant injustement à lui. Son petit ami ne tarda d’ailleurs pas à réagir en conséquence, se redressant dans le lit avant de finalement se glisser hors des draps. « Et voilà comme à chaque fois que j’essaye d’avoir une conversation sincère et qui nous concerne, tu te braques ! Et évidemment tu as toujours de très bon prétexte pour te défiler ! Mais ça suffit maintenant, que tu le veuilles ou non, on doit parler » Lui aussi à présent était en colère, à juste titre. Reed arborait cet air boudeur, comme chaque fois qu’une situation lui échappait ou ne se déroulait pas comme il le souhaitait. Encore des soupirs, toujours des soupirs. Parfois, l’infirmier pouvait se comporter comme un enfant et ce malgré ses vingt-deux ans. Exaspéré, il consentit cependant à se redresser contre la tête de lit, en croisant les bras contre son torse. Un geste de plus exprimant son mécontentement mais surtout une manière se refermer sur lui-même, peu enclin à dévoiler quoi que ce soit. « Ok, tu veux parler ? Vas-y je t’en prie, exprimes toi. Dis-moi à quel point je suis un petit ami médiocre ! » Une fois de plus, il tenait des propos injustes se laissant simplement guider par son irritation, sa colère grondant perceptiblement dans tout son corps. Cette rage qui bouillonnait soudainement dans ses veines n’était qu’une manière à lui de se protéger, et de rester continuellement aveugle face à la situation. Méfiant, Reed eu un léger mouvement de recul lorsque son amant s’asseyait au bord du lit, tout près de lui, trop près de lui. « Ne déformes pas mes propos, je n’ai jamais dit que tu étais un mauvais petit ami. Je sais que tu fais de ton mieux, que tu fais des efforts et je comprends que ce soit difficile pour toi d’exprimer ces mots. Mais comprends aussi que c’est dur pour moi parce que je doute continuellement… je tiens tellement à toi tu sais, et j’ai peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas être suffisant pour toi. Et j’aimerais que de temps en temps, tu me rassures… je…. Je ne vais pas te forcer à dire que tu m’aimes, non. Mais si pour le moment tu t’en sens incapable est-ce que tu pourrais me le faire comprendre, autrement… ? »Stan semblait marcher sur des œufs, parce qu’il savait très bien à quel point la situation pouvait dégénérer si il ne prenait pas des précautions dans le discours qu’il tenait. Mais il avait beau essayer de prendre des gants, de parler de ce sujet indirectement sans le nommer précisément, Reed n’était pas dupe. Parce que cette discussion, n’était pas un premier essai. Les tentatives de son amant avaient été nombreuses mais vaines finalement. Pourtant celui-ci semblait s’acharner encore et encore, comme si à force de persuasion, à force d’insistance il espérait faire craquer l’infirmier mais Stan ne se rendait pas compte qu’en agissant de la sorte il repoussait le repoussait un peu plus dans ses retranchements. « Laisses-moi deviner ! Tu veux que je te parle de ma famille ? Tu veux que je te parle de mon enfance ? Du milieu dans lequel j’ai grandi et dans lequel je vis encore mais dont je te tiens à l’écart, c’est ça ? » Un rire nerveux lui échappa alors que ses poings se resserraient sur les draps. « Il n’y a rien à savoir Stan ! Tout ce que tu as à connaitre de moi, tu le sais déjà… le reste… ce n’est pas important d’accord ? » « Evidemment que si ! Parce que tout ce dont tu refuses de partager avec moi, ça fait partie de toi ! Et je veux faire partie de ta vie, totalement. Je veux connaître le pire comme le meilleur de toi. Je veux savoir où tu as grandis, si tu viens d’une famille nombreuse. Connaître tes amis d’enfance, et le nombre de cœur que tu as pu briser à l’école primaire. Je veux en savoir plus sur tes parents, et avoir les chances de les rencontr… » D’un geste violent, Reed repoussa les draps pour s’en extraire et descendre du lit sans se départir de cette colère qui le ronge. « Ca suffit ! » Gronda-t-il, d’une voix étrangement calme. Ses mains étaient toujours refermées, presque férocement au point de sentir ses ongles se planter dans sa chair. Il se contenait pour ne pas éclater parce qu’au fond il savait que sa colère ne devait pas déferler sur son amant. Il savait que cette colère ne lui était pas destinée, mais qu’elle ne visait que sa propre personne. Fermant doucement les yeux, Reed prit de grande inspiration afin d’essayer de faire le vide, et de se débarrasser de cette rage qui gangrène chacun de ses membres. « Ecoutes, ce que tu me demandes… je peux pas. S’il y a tant de mystère sur ma famille c’est pour une bonne raison, et rien ne vaut que je la divulgue. Ma famille… ce ne sont pas des gens biens, ce ne sont pas des gens sains. Et moins tu en sauras, mieux ce sera. Cette vie que je mène avec toi, avec nos amis… c’est la seule chose qu’ils ne peuvent pas contrôler tout simplement parce qu’ils ne savent pas. Mes études, mon job dans ce bar, notre relation… ça n’appartient qu’à moi, juste moi. C’est tout ce que j’ai  Stan, et je ne suis pas prêt à tout mettre en péril…. Je.. » Les vibrations de son biper sur la table de chevet le coupa net dans ses paroles, le regardant alors durant quelques secondes sans vraiment réagir avant de le saisir pour lire le code d'urgence inscrit sur le petit écran. « Je… désolé, faut que j’y aille » marmonna-t-il en enfilant rapidement sa tenue d’infirmier éparpillée un peu partout dans la chambre. Le soulagement détendait petit à petit ses muscles, parce qu’il avait l’opportunité de fuir son appartement, de fuir son petit ami, de fuir cette discussion qui le mettait mal à l’aise. Incertain, Reed posa son regard sur son amant, pouvant allant y lire la déception, le chagrin et la colère. Il ne disait pas un mot, mais sa posture distante et fermée ainsi que l’expression de son visage en disaient suffisamment pour que Reed comprenne le message. « On en reparle plus tard d’accord ? C’est une urgence j’ai pas le choix… je suis désolé » ajouta-t-il en déposant un rapide baiser sur les lèvres de son amant avant de quitter la chambre d’un pas rapide. Il mentait bien sûr, car il était clairement évident qu’il n’aborderait pas ce sujet épineux à nouveau, pas de son plein gré tout du moins.

Reed était épuisé, à bout de force. Encore une nuit de plus passé à l’hôpital. Une nuit de plus sacrifiée, un sommeil oublié, mais l’infirmier n’avait jamais eu de regret sur ce choix de vie, ce choix de carrière. Tout ce qu’il voulait à cet instant, c’était s’effondrer sur son lit pour rejoindre les bras de Morphée, et peut-être ceux de Stan. Vu l’heure avancé de la matinée, il n’était pas certains de le trouver encore chez lui. Il n’eut donc pas de surprise de rentrer dans un appartement vide de toute présence, et silencieux. Mais alors que ses pas le menaient directement jusqu’à sa chambre, quelque chose attira son attention en passant devant l’ilot centrale de sa cuisine. Une lettre.

Reed,

Cette lettre est certainement la preuve de ma grande lâcheté mais c’est le seul moyen que j’ai trouvé pour réussir à te dire ce que je ressens au fond de mon cœur mais surtout pour prendre la décision la plus difficile que j’ai jamais eu à prendre. Je sais pertinemment que je n’y parviendrais pas en t’ayant en face de moi. Parce que je t’aime, tu comprends ? Je t’aime. Et ce sentiment qui devrait me rendre heureux me fait finalement terriblement souffrir. Parce que je sais que cet amour n’est pas partagé, j’ai espéré pendant des mois que tu puisses ressentir la même chose mais soyons honnêtes, ça n’arrivera jamais n’est-ce pas ? Je sais que tu as de l’affection pour moi, que tu tiens à moi mais pas autant que je le voudrais. J’ai besoins de tellement plus, et je souffre de ne pouvoir vivre pleinement notre relation. J’aimerais pouvoir faire partie de ta vie, pleinement, entièrement mais tu ne me le permets pas. J’ignore pourquoi tu cherches à m’écarter de ton existence, comme tu le fais avec tout le monde. Ta vie en dehors de celle que je connais, est un mystère total. J’ai compris que ta famille était un point sensible et qu’elle est apparemment un fardeau à tes yeux mais j’aurais tant aimé que tu puisses avoir confiance en moi, que tu veuilles t’ouvrir à moi pour me confier tes troubles. Je t’aime et qu’importe ce que tu caches je l’aurais accepté, et je t’aurais soutenu. Mais de toute évidence, tu n’es pas prêt à franchir ce pas comme tu n’es pas prêt à aimer.
J’aurais voulu avoir la force de pouvoir rester à tes côtés mais cela aurait été en vain je le sais. J’ai fini d’espéré. Et j’en ai fini de t’attendre. Pardonnes-moi je t’en prie, d’être aussi lâche. Mais je ne reviendrais pas, et je te supplie de ne pas chercher à reprendre le contact. Fais le pour moi, s’il te plait. Je t’en supplie. Car je sais que je serais incapable de te repousser même si je sais que jamais je n’obtiendrais ce que je veux de toi. Epargnes moi la souffrance de t’aimer, s’il te plait.
J’espère qu’un jour une personne sera capable d’ouvrir ton cœur. Tu mérites d’être aimé comme tu mérites d’aimer. Je garderais en souvenirs chacun de ses précieux instants passés à tes côtés, et malgré la peine jamais je ne regretterais d’être tombé amoureux de toi.
Prends soin de toi, pardonnes-moi.
Stan.


L’infirmier froissa la lettre entre ses mains avant de l’envoyer rageusement à travers la pièce. A cet instant, seul son orgueil dictait les émotions qui l’envahissaient. Il était un homme blessé, sa fierté s’en retrouvant piétiné sans ménagement. Plus encore un sentiment de trahison naissait petit à petit en lui. La lâcheté et l’abandon de son petit ami – ex petit ami à présent - était à son sens un acte de traîtrise alors que son orgueil grandissant le persuadait que la seule victime de cette rupture était lui-même. Aveuglé par sa colère, Reed était incapable de voir la vérité en face, incapable de s’avouer à lui-même la véracité de cette lettre, incapable finalement d’admettre que le fautif de toute cette histoire n’était autre que lui. Il ne pensait plus clairement, trop consumé par la rage qui bouillonnait dans ses veines. Un jour sans doute se rendra-t-il compte de sa bêtise et de son égoïsme. Un jour peut-être, la culpabilité le rongera de l’intérieur au point de s’interdire ce à quoi il méritait selon Stan. Un jour peut-être se pardonnera-t-il de ne pas l’avoir suffisamment aimé.

Octobre 2014, Law's Trevelyan, New York, ETATS-UNIS
Il suffit d’un coup de téléphone, d’un seul, pour chambouler toute une vie. Et c’est ce qui s’est produit dans l’existence de Reed, cinq mois plus tôt. Ses parents étaient morts brutalement, emportés par les flammes de l’avion écrasé sur le sol sableux de l’Afrique du Sud. Et si le chagrin l’avait en premier lieu envahi, une sensation nouvelle s’était pourtant infiltrer dans chaque pore de sa peau. Un vent de liberté qui tourbillonnait autour de lui, une tempête qui ravageait tout ce qui avait pu enchaîner Reed durant toute sa vie. Il n’y avait plus rien pour le retenir, plus rien pour l’empêcher de vivre et d’exaucer ses souhaits les plus chers. En perdant ses parents, son unique famille, Reed gagnait sa liberté et lui offrait les perspectives d’un avenir serein.

Des coups à la porte sortirent le jeune homme de ses pensées, mettant alors un certain temps à refaire surface et se rappeler l’endroit où il se trouvait. Des frissons désagréables parcouraient son échine alors qu’un profond malaise l’envahissait en étant dans ce bureau, dans ce bâtiment qui le rebutait tant. Mais sa présence ici était inévitable s’il souhaitait mettre à bien ses projets auquel il aspire tant.« Monsieur, vous m’avez demandé ? ». Un homme d’âge mur, élégant et fière, avançait d’un pas sûr dans la pièce immense qui avait été le bureau de son paternel. Et Reed tiqua légèrement à l’appellation prononcé par celui-ci, ses doigts fins se crispant alors sur le rebord du bureau en bois. « Reed, appelez-moi Reed. « Monsieur » c’était pour mon père, d’accord ? Et en effet, j’aurais besoins de vous. Il faudrait mettre en place, le plus rapidement possible, la mise en vente du cabinet… » Il n’eut pas l’occasion de finir sa phrase que le conseiller financier de ses parents lui coupa la parole, son corps se raidissant perceptiblement à la mention de la vente des lieux. « Vous… vous voulez vendre Monsieur ? Mais, pourquoi ? L’entreprise vous appartient certes mais c’est l’héritage de votre famille. Et puis pourquoi vouloir vendre quand on sait les bénéfices que rapporte cette entreprise. Si je peux me permettre, je ne suis pas certain que vos défunts parents seraient d’accord. Bien sûr c’est votre décision, votre choix et je ferais ce que vous demandez Monsieur, Reed. Mais peut-être devriez-vous réfléchir avant de prendre une telle décision» Ces airs d’hypocrites commençaient sérieusement à taper sur le système de l’infirmier. S’il y avait bien une chose que celui-ci pouvait détester - en plus de Law’s Trevelyan – c’était bien ce genre de personne, prêt à cirer les pompes de n’importe qui du moment que cela leur était favorable. « Je n’ai jamais rien demandé ! J’ai jamais demandé à avoir cette vie, à avoir tout ce pognon ! Mes parents m’ont peut-être laissé faire les études que je souhaitais, mais ils n’ont pas cessé de dicter ma vie depuis ma naissance. Je me suis plié à toutes leurs exigences depuis toutes ses années, me cachant derrière des mensonges pour ne pas provoquer d’esclandres dans la presse à scandale, pour que la honte de s’abatte pas sur la famille, pour ne pas les décevoir. Parce que oui, je suis gay ! Un putain d’homosexuel ! Mais je n’ai jamais pu assumer pleinement ma véritable personnalité, pour eux ! Parce que je sais pertinemment le mal que ça leur aurait fait. Leur unique fils qui ne pourra jamais leur offrir de descendance et le nom de Trevelyan qui inévitablement mourra avec lui. Toute ma vie je me suis oublié, pour mes parents. Mais aujourd’hui c’est fini. Ils sont morts et à présent c’est à mon tour de vivre comme bon me semble. Plus personne ne me privera de ma vie. Alors c’est tout réfléchit, ma décision est belle et bien prise » S’emporta-t-il dans un débit de parole rapide, son ton montant crescendo tout comme cette colère que cet homme provoquait en lui. Sur le coup il ne prit même pas conscience de l’aveu qui avait échappé à ses lèvres et lorsqu’il en prit conscience, Reed se sentait soudainement soulagé d’avoir enfin avoué une vérité qu’il cachait depuis si longtemps. Un léger rire incontrôlable le saisit, alors qu’il se laissait aller contre le dossier du fauteuil, son regard planté vers le plafond. « Je les aimais, de tout mon cœur parce que malgré tout, ils étaient de bons parents. Mais je haïssais les personnes qu’ils étaient, ils n’étaient pas de bonnes personnes. Et vous n’en êtes pas une, chacun des employés de cette putain d’entreprise est pourri ! Il est hors de question pour moi d’être mêlé à tout ça, j’ai suffisamment honte de devoir porter le même nom. » Continua-t-il sur sa lancée, bien déterminé à révéler le fond de sa pensée à propos du cabinet d’avocats de ses parents. C’était libérateur, et ce qu’il avait finalement redouté n’était finalement qu’une source de soulagement, se sentant revivre soudainement.« Vous ne pouvez pas vendre Law’s Trevelyan. Votre famille c’est durement battue pour cette entreprise, et vous voulez la vendre comme ça ? A n’importe qui ? Vous ne pouvez pas laisser qui que ce soit salir la mémoire de vos parents, de vos ancêtres…. » Le poing de Reed s’abattait sur le bureau avant même de se rendre de compte, sursautant alors comme l’homme, surpris de son propre geste et de sa violence. Fronçant les sourcils, l’infirmier se leva pour contourner le table et venir se poster à côté de son interlocuteur. « Le nom de Trevelyan est salit depuis déjà bien longtemps, et ma famille s’en est chargée toute seule. Je ne suis pas comme eux, je ne l’ai jamais été et je ne le serais jamais. Law’s Trevelyan est à vendre, un point c’est tout. Vous n’avez pas à discuter mes ordres, l’entreprise m’appartient désormais et je suis libre d’en faire ce que je désire. Et tout ce que je souhaite c’est m’en débarrasser et pouvoir vivre la vie dont je rêve en tâchant d’oublier à quel point ma famille me fait honte, et à la culpabilité que je ressens en pensant à toutes les personnes innocentes qu’ils ont fait souffrir. Maintenant dégagez de ma vue et faites le nécessaire ! » Reed appuya ses paroles d’un geste de la main en direction de la porte, lui intimant de quitter le bureau rapidement. Le mépris habitait ses traits, un dédain destinait à cet homme tout aussi pourri de l’intérieur que ses parents l’avaient été. « Très bien Monsieur, à votre guise » Répondit le conseiller financier sur un ton froid avant de sortir rapidement de la pièce, laissant Reed seul avec ses espoirs et ses rêves qui s’offraient à lui. Un nouvel avenir proche qu’il espérait, naîtra sur les terres de l’Afrique du Sud.








Dernière édition par Reed J. Trevelyan le Jeu 26 Mar - 22:11, édité 14 fois
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Joos Van Pieters
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LE PETIT SINGE
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MessageSujet: Re: Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again.   Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again. EmptyJeu 19 Mar - 18:43

NIAAAAAA, tu es là toi angel En plus, en plus, en plus, tu as pris Jack. C'est genre mon nouveau crush omg enfin bref, que le dieu du rpg te bénisse pour ces choix monkey
J'ai hâte d'en découvrir plus sur ton personnage en tout cas I love you
Je te souhaite donc la bienvenue sur GFA pompom
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Felicity Sparrow
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MessageSujet: Re: Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again.   Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again. EmptyJeu 19 Mar - 19:18

DOUX JÉSUS COMME TU ES CANON coeur
Je suis contente de te voir sur notre bébé, et ce personnage promet d'être explosif. Réserve-moi un lien de la mort qui tue.
Et puis bienvenue et bon courage pour le reste de ta fiche cutie
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Noah L. Mansfield
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MessageSujet: Re: Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again.   Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again. EmptyVen 20 Mar - 0:17

DOUX JESUS JACK LE PARFAIT omg keur omg keur omg
Je sais déjà un peu comment va être ton perso alors j'ai trop trop trop hâte de lire tout ça omg ET puis la bouille de Jack est tellement cutie keur
J'ai vraiment hâte de te voir avec lui ! cutie
Par contre interdiction de toucher à Noah mon mignon siffle secret

Bienvenue chez nous keur
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Siobhan A. Villanueva
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MessageSujet: Re: Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again.   Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again. EmptyVen 20 Mar - 7:54

Et un beau gosse de plus crap siffle
Bienvenue à toi keur youhou
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Anonymous
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MessageSujet: Re: Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again.   Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again. EmptyVen 20 Mar - 12:41

Je ne connaissais pas tellement cette célébrité, mais en tout cas c'est un bon choix ! Bonne chance et bienvenue vivi
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Reed J. Trevelyan
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MessageSujet: Re: Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again.   Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again. EmptyVen 20 Mar - 13:15

Joos - Evidemment que je suis là, votre forum c'était trop de tentations, je ne pouvais pas résister omg cutie Jack est trop parfait, trop sexy... et c'est un véritable allumeur sur la plupart des gifs secret  en tout cas merci à toi, j'espère que mon personnage te plaira not here Pis faudra qu'on ait un lien ici fire

Felicity - Je me demande qui peut se cacher derrière cet avatar secret et c'est certains, on va se trouver un super lien, genre un truc super cool à la Daisy/Andrea oooh J'irais lire ta fichette pour découvrir ton personnage ouiii (d'ailleurs vous avez toutes écris des romans ahah ) J'espère que tu l'aimeras mon Reed, enfin c'est un choupi toute façon alors on peut que l'aimer ooh  
Merci en tout cas kiss

Noah - Jack est tellement parfait pour Reed cutie J'ai hâte que tu le découvres en tout cas, et que tu n'en seras pas déçue not here ooh
Pff. T'es vraiment pas drôle quoi Rolling Eyes Ca se passera très bien pour Noah tu verras siffle  Reed va se montrer très doux siffle cutie
Pour de vrai, il nous faudra un lien youhou Et merci choupette lick

Siobhan - Emma omg C'est un super choix ooh Merci à toi I love you

Quentyn - Mhihihi merci keur Et Theooo cute J'ai hâte d'être à dimanche pour voir la suite de Divergent youhou  bref Arrow
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Noah L. Mansfield
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MessageSujet: Re: Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again.   Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again. EmptyVen 20 Mar - 23:55

J'ai trop hâte de lire tout ça franchement secret. Je sens que ce sera trop drôle siffle
Ca suffit tout ça non mais Rolling Eyes. Noah ne sera pas le 4h de Reed non mais dis siffle. Même si je sens que ce sera drôle angel
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Anonymous
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MessageSujet: Re: Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again.   Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again. EmptyDim 22 Mar - 15:39

Le beau Jack youhou + le pseudo keur très bon choiix
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche cutie2
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Reed J. Trevelyan
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MessageSujet: Re: Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again.   Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again. EmptyDim 22 Mar - 15:42

Noah - J'essayerais de pas trop le brusquer ton Noah siffle secret

Hestia - Je te retourne le compliment lick Merci à toi keur
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MessageSujet: Re: Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again.   Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again. EmptyDim 22 Mar - 21:33

Oh tiens, la folle est dans le coin siffle Je suis vraiment contente de te voir ici, avec cet avatar parfait cutie Je propose qu'on fasse des bébés toi et moi, ils seront parfaits franchement siffle Enfin bref, bon courage pour la rédaction de ta fiche et il faudra vraiment qu'on se trouve un lien cool toutes les deux I love you
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Reed J. Trevelyan
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MessageSujet: Re: Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again.   Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again. EmptyDim 22 Mar - 23:46

T'es canon mais pas trop mon genre, il te manque quelque chose en dessous de la ceinture Arrow ahah mais on aura un super lien même si on repeuple pas le monde de bébés parfaits secret
Merci en tout cas choupinette lick I love you
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Noah L. Mansfield
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MessageSujet: Re: Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again.   Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again. EmptyJeu 26 Mar - 22:30

J'aime pas les parents de Reed fire fire. Heureusement qu'ils sont plus là Arrow. Et puis les passages avec Stan j'avais déjà lu et c'est trop triste snif sad. Pour la peine je vais ramener Nelson plus vite que prévu Arrow. Ou Noah va te faire un câlin je sais pas trop secret

Je te valide avec plaisir chou keur





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Bravo ! Tu as rejoint l'aventure Giving for Africa ! Maintenant que tu fais parti de l'équipe, peu importe ton groupe, voici quelques conseils pour commencer ton intégration :

♣️ Parce que c'est toujours mieux à plusieurs, commence par te créer une fiche de liens et de rps, n'hésite pas à poster dans celles des membres déjà présents pour trouver des idées.

♣️ N'oublie pas de recenser le métier de ton personnage, c'est à faire .

♣️ Tu peux également inventer tes propres scénarios (ici) ou bien proposer des liens avec des personnages pré-définis (ici).

♣️ Pour te lancer dans le rpg et commencer dès maintenant à faire vivre ton personnage, tu peux aller poster dans la boîte à rps. Nous ferons au mieux pour te trouver un partenaire et une situation folle-dingue pour vos personnages. Ou tu peux directement faire une demande plus simple, ici.

♣️ Et pour finir, tu peux flooder car c'est toujours amusant, et surtout voter pour Giving for Africa : ici, tes votes sont très importants car ils permettront à de nouvelles personnes de nous rejoindre.

Tu es désormais prêt pour rejoindre le reste de l'équipe et découvrir les merveilles de la savane ! En espérant que tu t'y amuseras bien  




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Reed J. Trevelyan
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MessageSujet: Re: Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again.   Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again. EmptyJeu 26 Mar - 22:39

Oh oui ramènes Nelson, ils pourront fêter la mort de ses parents qui n'est peut-être pas si accidentelle que ça Arrow copains Si je devais choisir, personnellement je prends les deux, Noah et Nelson secret mais ça risque de pas plaire à une certaine personne siffle

Merci en tout cas choupinette ooh keur kiss
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Noah L. Mansfield
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MessageSujet: Re: Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again.   Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again. EmptyJeu 26 Mar - 22:42

Ah bah bien eux deux ensemble franchement Arrow. Les deux pour le prix d'un, ça va tu t'embêtes pas secret
A plusieurs personnes même, peut-être reed
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MessageSujet: Re: Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again.   Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again. Empty

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Reed - I can see the change in me, makes me feel alive again.

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