Cause my lips are starting to make a list Of all of the things that they seem to have missed Before the day that they met yours
♣ nom : McRowe, circoncit pour des besoins administratifs au cours du temps en Rowe- un nom lourd de sens, gorgé d'histoire - celle d'une famille ayant fui les campagnes écossaises pour rejoindre les promesses d'une vie meilleure. Mais au fond, qui en a quelque chose à foutre ? ♣ prénom : Barrett - prénom comme un autre. rien à ajouter. s'il existe quelques significations, il ne les connait pas et n'a pas envie de les connaître. ♣ date de naissance : un vingt cinq juin, à Hamilton, anus des états-unis, paumé dans l'état du Kansas. 208 habitants, à l'époque où il l'a quitté. un paradis de consanguinité sur terre. il veut bien vous servir de guide, au besoin. mais vous risqueriez de vous faire sacrément chier. ♣ âge : trente et un ans au compteur, le temps qui fuit sans que personne ne puisse rien y faire. se contenter de vivre, se contenter d'attendre qu'il affiche zéro, le compteur. ♣ nationalité : citoyen américain - fut un temps où il suintait le patriotisme. S'il n'a pas perdu ses valeurs, il accepte les dialogues, ne jure que par les débats. Il faut de tout pour faire un monde. même s'il peut se révéler connard de première lorsqu'il est contrarié♣ orientation sexuelle : les femmes, leurs guibolles qui invitent aux caresses, leurs regards mutins. Tout chez elles l'assassine. complètement vendu à leur volupté. hétérosexuel. ♣ statut : un mariage qui bat de l'aile parce que les regards se font pleins de reproches, les paroles toujours tranchantes, le fossé se creuse. L'incompréhension qui s'étend, le pourquoi, le comment. ils n'y comprennent rien et n'ont pas l'air de vouloir s'attarder dessus. ♣ métier/études : médecin militaire - il est la fierté des Rowe. Son engagement auprès de l'armée arrivé à sa fin, il a décidé de s'installer dans le coin. Il fait du bénévolat, entre autre. ♣ groupe :VOLUNTEER ♣ avatar : sam hunt ♣ crédit : s.h instagram
« ME, MYSELF AND I »
Parles nous un peu de toi ? Pas vraiment son genre de tergiverser, Barrett. Il apprécie généralement que sa parole soit d'or. Il apprécie surtout, qu'on écoute ce qu'il a à dire, qu'on applique ses directives. S'il est bienfaiteur, il est surtout chien enragé lorsqu'il s'agit de protéger sa famille. Tous ceux à qui il tient, in-extenso. Barrett, il est honorable, légèrement machiavélique lorsqu'il espère arriver à ses fins. Tant qu'il s'agit d'une décision qu'il considère comme « bonne ». Tant qu'il sait que c'est pour le bien de la masse, pour son bien, aussi, parce qu'il peut être un brin égoïste sans le vouloir. En amitié, il est celui qui apportera toujours de quoi se retourner la gueule, celui qui décrochera l'appel à trois heures du mat', débarquera le dimanche pour réparer l'évier. Loyal dans son genre, fidèle, dans son genre. Le genre aucune demi mesure, toutefois, fais-la moi à l'envers, j'oublie ton prénom. Jusqu'à ton existence. Parfaitement, il est le rancunier qui sait qu'il n'a rien d'un petit Jésus et qu'il ne tendra jamais l'autre joue pour se la faire baffer. Il est, c'est tout. A prendre ou à laisser. Il vous laisse toujours le choix. Pourquoi avoir posé tes valises en Afrique du Sud ? Les raisons sont diverses mais, en vérité, une seule rencontre aura eu raison de toute appréhension. Une seule rencontre. Un vieil homme, des paroles sages. Cette décision n'a pas été une décision saluée de tous et, certainement pas saluée par sa femme qui le lui reproche encore. Il connaît les environs, ayant déjà eu une mission dans la région lorsqu'il était encore sous contrat avec l'armée. En ayant plus qu'assez d'être partout et à la fois nulle part, il a préféré s'installer dans un endroit où il était sûr de se sentir utile. En se souciant très peu de l'avis de sa famille, surtout pas de celui de celle qui partage sa vie. C'est sûrement pour cette raison que tout ce voyage a un arrière goût amer mais, Barrett, il a l'enthousiasme solide et, est persuadé que tout finira par rentrer dans l'ordre d'une manière ou d'une autre. Son implication dépasse toutes ses espérances et, il faut dire que la vie dans le coin lui paraît nettement plus agréable. Pourquoi avoir choisi Giving For Africa pour faire ton bénévolat ?Pourquoi pas ? Parce qu'il a prêté serment et que cela fait parti de son rôle propre de médecin de venir en aide à quiconque en aurait besoin. question suivante. La vérité est toute autre et peut-être que derrière toute cette détermination se cache une envie d'absolution, une envie d'éradiquer à jamais la culpabilité qui lui tord les tripes. toutes ces vies qu'il n'a pas pu sauver. se rattraper. Quelles ont été tes premières impressions en arrivant sur place ? Des « Il fait chaud ». « Putain de moustiques ». « Merveilleux, R.I.P mon brushing » planqués entre des « parfait, j'vais pouvoir travailler mon bronzage ». Ce sont les réflexions de son épouse. Pour sa part, il a trouvé l'endroit particulièrement inspirant, particulièrement avenant. Toute cette nature luxuriante, des paysages à couper l'souffle dignes des plus grands films, des plus grands romans. Puis à côté, les coins les plus délabrés de Johannesburg ne l'ont pas pour autant découragé. Tout ce qu'il faut retenir c'est que c'est vraiment pas l'genre à se plaindre. Il laisse ça à sa femme qui le fait avec maestro. Comptes-tu prolonger ton séjour parmi nous ? Ce n'est peut-être pas une utopie mais, il ne compte aller nulle part. Il reste. Fielleux comme il est, partir, abandonner, risquerait de foutre un coup conséquent à son honneur – son ego, surtout -. Il est tellement investi qu'il ne s'imagine pas larguer tous ces mois de dur labeur sur un coup de tête. Dire que l'idée ne lui a pas déjà traversé l'esprit serait un mensonge. Mais, y'a tellement de boulot, de réel boulot, tellement plus que les épidémies de gastro, de rhume qu'il rencontre plus que souvent au pays qu'il considère le coin comme un merveilleux réservoir à maladies qui l'enchante plus qu'il ne le contrarie.
« LET'S SPEAK ABOUT THE WRITER »
pseudo : pas de pseudo call me nellie âge : woaaaa - ça dépend du repère d'newton ton personnage est : un inventé comment es-tu venu ici ? : une opération du saint esprit tes impressions : perfection - j'aime le contexte, le design, tout btw : joyeuses pâques
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[b]sam hunt[/b] barrett lowe
Dernière édition par Barrett Rowe le Lun 20 Avr - 11:27, édité 11 fois
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Sujet: Re: where heaven waits Dim 5 Avr - 18:30
COME OVER
"Can you imagine the world if we only saw souls and not bodies?"
A Hamilton, rien ne s'offre à vous. Aucune variété. Barrett grandit dans cette ville paumée au milieu de nulle part en sachant que les alternatives n'étaient malheureusement pas ce qui courrait les rues du coin. Il comprit bien assez tôt que c'était soit il poursuivait son rêve, soit il poursuivait celui de son père. Il fit son choix, il le fit , pour une fois, sans peser le pour, le contre, il préféra choisir sa propre voie. Il se fit égoïste, ingrat . Cela brisa certainement le cœur de son père, peut-être un petit peu plus celui d'sa mère,. Lorsqu'il quitta la ferme, il ne jeta aucun regard en arrière. Il était pleinement conscient qu'il laissait là, toute son enfance, qu'il tournait une page importante de sa vie. Il savait qu'il fallait parfois s'accorder quelques parenthèses et, cette parenthèse-ci, lui parut à l'époque plus que salutaire. Il rejoignit l'académie militaire de West point, à New York. C'est là qu'il suivit le plus gros de son cursus, déployé parfois au sein de bases implantées dans d'autres pays pour parfaire ses connaissances, notamment en Amérique du sud et en Afrique. Il échangea avec sa famille par téléphone, par mail. Surtout avec sa sœur. Son père ne lui pardonna pas son départ, il ne lui pardonna pas l'amertume du sentiment d'abandon pas plus qu'la méséstime de tout ce qu'il avait accompli pour lui offrir un héritage à perpétuer. Sa mère, elle, fut adoucie par les mois qui défilèrent à vitesse surnaturelle. C'était son rôle, peut-être, c'était son instinct, peut-être qui s'exprima bien plus qu'il ne l'aurait dû. Elle vint régulièrement lui rendre visite, les premières années. Apportant dans ses bagages les plats qu'elle cuisinait, des conserves, pour qu'il garde un souvenir impérissable d'Hamilton, du domaine des « Chênes verts ». Le souvenir demeura même s'il ne fut jamais réellement enclin à en parler. De déception, il devint fierté. C'était pas souvent qu'une ville comme Hamilton engendrait autre chose qu'un fermier, qu'un raté. S'il se considérait guère comme une exception, Barrett, il avait conscience d'avoir été chanceux. Chanceux d'avoir réussi les tests de passage, fielleux, d'avoir intégré l'armée de terre et d'y officier en tant que médecin . Quelques années après son départ, sa sœur de sept ans sa cadette suivit, vint s'installer à New York à son tour. Cela coïncida avec sa première mission de terrain dans les montagnes afghanes. La nouvelle ne fut pas accueillie avec optimisme. Des larmes furent essuyées, surtout de la part de sa mère et de sa sœur. Son père, lui, dont la colère ne s'était pas atténuée, ne lui accorda pas un seul regard.
Là-bas, il apprit bien plus qu'il ne l'avait fait en six années d'études, dans son centre de formation. La pratique vint ruiner la théorie. Il apprit, Barrett, la souffrance, la vraie. Il apprit à agir, à être rapide, il apprit qu'un clignement de paupières suffisait pour qu'une vie s'éteigne et ce, à jamais. Il comprit enfin pourquoi le caporal le narguait sans cesse, il comprit qu'avant Doshi, il n'avait strictement rien vu, rien vécu. Il n'avait rien vu, rien vécu, résidait là, le véritable problème. Une nuit, il fut enfin confronté à la mort après que leur convoi ait été attaqué par des insurgés à une centaine de kilomètres de la base de Jalalabad. S'il quittait rarement le camp, il comprit bien vite que sa place n'était pas dans une tente mais dans une jaguar 250. Pas ailleurs. S'il avait été plus rapide, le lieutenant Schultz aurait survécu. S'il n'avait pas oublié son kit de suture, il ne se serait pas vidé de son sang. Il aurait tenté le tout pour le tout et, peut-être que ç'aurait marché. Mais des lieutenants Schultz, il y en eut beaucoup plus, par la suite. Si Barrett devint impassible face à la mort, le visage de chaque soldat qu'il ne fut pas apte à sauver resta dans un coin de sa mémoire et revint le hanter, le soir venu. Il prit soin de rester attentif et, avec le temps, il réussit partiellement à améliorer sa technique. C'était devenue une obsession.
Lorsqu'il put enfin rallier le continent, il s'empressa d'aller voir sa sœur. Elle s'était installée dans un coin près de Bushwick, à Brooklyn. C'est ce jour là qu'il fit la connaissance de celle qui allait devenir, trois ans plus tard, sa femme. Il se trouva que celle à qui il avait tenu la porte, en pénétrant dans le hall, était colocataire de sa petite sœur. Et également celle qui allait lui en faire baver avant d'accepter de l'épouser. D'abord, ils ne s'étaient absolument pas plu, c'était ce qu'ils prétendaient chacun de leur côté. Ils ne rataient aucune occasion de se charrier l'un l'autre et , devenaient particulièrement jaloux lorsqu'ils apprenaient qu'ils avaient des « relations ». Elle n'était pas exactement le genre de fille dont sa mère aurait rêvé comme bru. Toujours très peu vêtue, à l'aise avec son corps, peut-être timide dans le fond mais, la première impression la concernant hurlait : matérialiste et superficielle. Ils apprirent à se faire confiance - ce ne fut pas de tout repos- et, ils finirent par reconnaître ce qui semblait complètement flagrant de tous. Ils sortirent ensemble durant plusieurs mois, rompirent à cause de la distance, renouèrent en se rendant compte qu'ils étaient moins malheureux lorsqu'ils étaient ensembles. Même si, leur éloignement n'avait de cesse de peser sur leur couple. Barrett fit sa demande, elle lui répondit sans même réfléchir. Peut-être qu'au fond, ils étaient l'un pour l'autre tout ce qu'ils avaient attendu jusque là. Son engagement tirait à sa fin, ils parlaient de fonder une famille dans le coin, Barrett était en Sierra Leone lorsqu'il fit la rencontre d'un représentant bossant pour une ONG, qui lui fit part de l'existence d'un institut d'aide nommé Giving for Africa basé pas loin de Johannesburg. Cette idée lui trotta dans la tête pendant plusieurs mois. Il prit l'initiative d'envoyer son CV pour un poste de cadre au sein du dispensaire. Évidemment, sans en informer celle qui partageait sa vie. Ce fut là une immense erreur et elle le lui fit clairement comprendre lorsqu'elle apprit ce qu'il avait fait derrière son dos.
« Je te suis, Barrett. Mais n'oses surtout pas croire que je le fais de gaieté d'coeur ». C'était ce qu'elle avait fini par lui balancer, en le pointant d'un doigt menaçant, après avoir fait la gueule pendant plus d'une semaine. Ils firent leurs bagages, mirent certaines de leurs possessions au garde-meuble et prirent l'avion. Les escales eurent raison de leurs nerfs, la première chose qu'ils firent lorsqu'il déposèrent bagage dans ce qui allait leur servir de maison fut de se disputer. Ils hurlèrent, par chance, y'avait pas de vaisselle à balancer, il se contenta d'éviter in extremis un pot de fleur qui alla se fracasser contre le mur, laissant là une tâche qui resta peut-être un mois avant que madame Rowe ne décide de la nettoyer. « J'en ai rien à foutre d'ton boulot, Rett. Pendant que toi, tu fais je ne sais quoi dans ton foutu dispensaire, moi, j'ai du mal à meubler mes journées». Le travail n'en finissait jamais, véridique. Il était bien trop occupé à soigner et, parfois même former quelques bénévoles en premiers soins. C'est comme ça qu'il avait fait la connaissance de Mansfield, fils. Bien trop accaparé par son métier pour s'appesantir sur les problèmes qui fissuraient sa relation. C'était à peine s'il adressait encore la parole à sa femme. Mais, au fond, plus rien n'avait été pareil depuis qu'elle avait fait sa première fausse couche. Et, il savait qu'elle lui en voulait. Qu'elle le blâmait pour ça. Mais , que pouvait-il y faire ? Rien. Rien. Il essayait tellement de sauver tout le monde, de se sauver, lui. Les petits états d'âmes de sa femme lui paraissaient tellement peu importants comparés au but qu'il s'était fixé. Et peut-être qu'il avait perdu une partie de son âme, dans les montagnes afghanes mais il n'était pas prêt de se l'avouer.
Dernière édition par Barrett Rowe le Lun 20 Avr - 11:58, édité 13 fois
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Sujet: Re: where heaven waits Dim 5 Avr - 18:32
La Belle gueule Bienvenue à toi En espérant que tu te plaise ici! Courage pour ta fichette!
Oh qu'il est beau Bienvenue & bon courage pour ta fichette
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Sujet: Re: where heaven waits Dim 5 Avr - 19:32
Je ne connaissais pas Sam, tiens. Je suis curieuse alors j'ai googlé. Il a une voix puta*nement divine. J'aime la façon dont tu écris.
Bienvenue parmi nous & courage pour ta fiche
Noah L. Mansfield
LE PETIT CON
♣ messages : 3987
♣ where are you : south africa
♣ métier/études : employé à plein temps à GFA, il fait tout sur le centre: la gestion des bénévoles mais aussi de l'aide à l'enseignement, au dispensaire, l'organisation de galas.
Sujet: Re: where heaven waits Dim 5 Avr - 19:51
Je connaissais Sam Hunt rapidement, merci Youtube mais en plus il a une belle gueule le monsieur . En plus médecin bénévole, je suis super heureuse d'en voir enfin un sur GFA, parce que c'est super important et c'est trop la classe . J'aime beaucoup ce que tu as écrit pour le moment, je sens que Barrett va avoir la classe Je te souhaite la bienvenue ici et si tu as besoin n'hésite surtout pas
Invité
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Sujet: Re: where heaven waits Dim 5 Avr - 21:16
merci beaucoup
Hestia
Carey - c'est bien d'être curieuse t'as vu ? Moi, j'suis ralove de sa voix. puis, pour de la country, ça passe très bien
Noah - enfin quelqu'un qui le connait tous ces compliments, ça m'touche j'espère que je serai à la hauteur
Invité
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Sujet: Re: where heaven waits Dim 5 Avr - 22:33
Bienvenue Bon courage pour ta fiche
Invité
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Sujet: Re: where heaven waits Dim 5 Avr - 22:34
Bienvenue !
Joos Van Pieters
LE PETIT SINGE
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♣ where are you : south africa.
♣ âge : 34
♣ métier/études : vétérinaire - affecté aux babouins.
Sujet: Re: where heaven waits Dim 5 Avr - 22:50
Sam Hunt, c'est un nom à retenir moi j'dis QUEL CANOOOOON j'approuve le choix d'avatar Je te souhaite la bienvenue sur GFA. J'espère que tu te plairas ici
Felicity Sparrow
LA VEUVE EPLOREE
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♣ where are you : johannesburg, logée sur le centre.
♣ âge : 38
♣ métier/études : institutrice, au centre Giving for Africa, elle apprend aux enfants, et certains adultes, à lire et écrire.
Sujet: Re: where heaven waits Dim 5 Avr - 22:52
Il est pas moche du tout lui Je connaissais de nom, ais du coup j'irais voir ce qu'il fait sur Youtube ! En tout cas bienvenue sur GFA, et bon courage pour ta fiche Si tu as des questions, n'hésite pas.
Invité
Invité
Sujet: Re: where heaven waits Lun 6 Avr - 12:11
Bienvenue parmi nous et bonne chance pour le reste de ta fiche ♥
Invité
Invité
Sujet: Re: where heaven waits Lun 6 Avr - 18:48
bienvenu sur GFA bon courage pour la fiche !
Invité
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Sujet: Re: where heaven waits Lun 6 Avr - 20:02
merci , sérieusement, vous me vendez trop de rêve
Felicity Sparrow
LA VEUVE EPLOREE
♣ messages : 3836
♣ where are you : johannesburg, logée sur le centre.
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♣ métier/études : institutrice, au centre Giving for Africa, elle apprend aux enfants, et certains adultes, à lire et écrire.
Sujet: Re: where heaven waits Lun 6 Avr - 21:12
gaaaaaah, je suis fan de ta fiche. Sa femme est pas cool, mais elle me fait rire
bienvenue sur
Giving for Africa
Bravo ! Tu as rejoint l'aventure Giving for Africa ! Maintenant que tu fais parti de l'équipe, peu importe ton groupe, voici quelques conseils pour commencer ton intégration :
Parce que c'est toujours mieux à plusieurs, commence par te créer une fiche de liens et de rps, n'hésite pas à poster dans celles des membres déjà présents pour trouver des idées.
N'oublie pas de recenser le métier de ton personnage, c'est à faire là.
Tu peux également inventer tes propres scénarios (ici) ou bien proposer des liens avec des personnages pré-définis (ici).
Pour te lancer dans le rpg et commencer dès maintenant à faire vivre ton personnage, tu peux aller poster dans la boîte à rps. Nous ferons au mieux pour te trouver un partenaire et une situation folle-dingue pour vos personnages. Ou tu peux directement faire une demande plus simple, ici.
Et pour finir, tu peux flooder car c'est toujours amusant, et surtout voter pour Giving for Africa : ici, tes votes sont très importants car ils permettront à de nouvelles personnes de nous rejoindre.
Tu es désormais prêt pour rejoindre le reste de l'équipe et découvrir les merveilles de la savane ! En espérant que tu t'y amuseras bien
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Sujet: Re: where heaven waits
where heaven waits
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