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 LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle

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Leon De Blieck
Leon De Blieck
LE PETIT LION


♣ messages : 871
♣ where are you : un petit appartement dans le sud, il habite seul avec son chien Simba
♣ âge : 38
♣ métier/études : guide-safari sur la réserve


MessageSujet: LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle    LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle  EmptyJeu 19 Mar - 14:15


LEON DE BLIECK

The one excellent thing that can be learned from a lion is that whatever a man intends doing should be done by him with a whole-hearted and strenuous effort.


nom : De Blieck ♣ prénom : Leon ♣ date de naissance : 31 juillet 1985 ♣ âge : vingt-neuf ans ♣ nationalité : sud-africain ♣ orientation sexuelle : hétérosexuel ♣ statut : célibataire ♣ métier/études : guide pour les safaris sur la réserve ♣ groupe : volunteer (je crois) ♣ avatar : henry cavill ♣ crédit : ta réponse ici



« ME, MYSELF AND I »
♣️ Parles nous un peu de toi ?
On utilise souvent le mot mystérieux pour me décrire. C'est vrai que je ne suis pas du genre livre ouvert, à raconter ma vie au premier venu. Si je suis plutôt discret à propos de moi-même, c'est surtout parce que je n'ai pas l'impression que ma vie soit particulièrement intéressante. Donc, je n'aime pas beaucoup parler de moi-même, ou parler en général pour être honnête. Et je peux donner l'impression d'être solitaire, parce que c'est vrai que je passe beaucoup de temps seul et que j'aime bien me retrouver au beau milieu de la savane, loin de toute trace de civilisation. Mais je ne suis pas sauvage, la compagnie des autres me plaît la plupart du temps et je peux être un très bon vivant, surtout si ce n'est pas mon tour de payer la tournée...  Pour ce qui est des relations plus intimes, je ne suis pas du tout contre le concept, quoi que j'ai souvent une définition plus éphémère des relations que ce que mes compagnes recherchent... Mais c'est pour le bien des femmes qui partagent mon lit que je préfère mettre fin à la plupart de mes histoires de coeur avant qu'elles ne deviennent trop sérieuses. Avec les personnes les plus proches de moi, c'est-à-dire un nombre assez restreint de personnes, je suis extrêmement loyal. Je fais mon possible pour être un type bien, en donnant le plus possible autour de moi. Par contre, je vous conseille de ne pas faire quoi que ce soit qui pourrait me mettre à dos. J'ai la mauvaise manie d'être un peu trop rancunier et je pardonne très rarement les gens qui me font du mal.

♣️ Pourquoi avoir posé tes valises en Afrique du Sud ?
Vous expliquer pourquoi serait difficile, puisque ce n'est pas vraiment par choix que je me trouve en Afrique du Sud. J'y suis né et j'y ai vécu toute ma vie. J'ai souvent rêvé de parcourir le monde, surtout quand j'étais plus jeune, avant de comprendre que je ne faisais pas réellement partie des gens qui ont cette chance de découvrir tout ce que la Terre nous réserve. Quand j'étais plus jeune, je rêvais de visiter l'Europe, à cause de mes racines familiales, mais pas seulement. Le pays qui m'intéressait le plus, c'est l'Angleterre, et je pense que ça avait beaucoup à voir avec le fait que ma plus proche amie de l'époque, que je n'avais pourtant jamais rencontrée, y habitait. Aujourd'hui, je ne pense plus à quitter mon pays natal. Mon actuel m'a permis de découvrir les nombreux trésors qu'il renferme et je sais que je n'arriverais plus à mettre ces magnifiques territoires derrière moi, même si l'envie de laisser tous les mauvais souvenirs derrières m'a parfois traversé l'esprit.

♣️ Pourquoi avoir choisi Giving For Africa pour faire ton bénévolat ?
Encore quelque chose que je n'ai pas choisi. Enfin, pas au début. J'ai découvert le centre lorsqu'un juge m'a condamné à effectuer plusieurs centaines d'heures de travaux communautaires à l'âge de 17 ans. Étant donné que mon crime était lié avec la mission du centre, on a pensé que c'était une bonne idée de m'y envoyer pour que je paie ma dette à la société. Mais j'ai ensuite décidé de consacrer une grande partie de ma vie au centre, en prenant un poste permanent dès mes dix-huit ans. Au début, c'est vrai, j'étais surtout motivé par le fait que peu d'autres choix s'offraient à moi. Mais, petit à petit, en découvrant la mission du centre et, surtout, en découvrant le métier de guide-safari, j'ai développé une véritable passion pour mon lieu de travail.

♣️ Quelles ont été tes premières impressions en arrivant sur place ?
Pour la première fois depuis de nombreuses années, je me suis senti à ma place. Cela va peut-être vous sembler idiot, mais depuis que j'y travaille, j'ai l'impression d'avoir retrouver le sens de l'expression « chez-soi ». Particulièrement lorsque je fais ce que j'aime le plus au monde: guider les excursions safari.

♣️ Comptes-tu prolonger ton séjour parmi nous ?
Après plus de dix ans au centre, je pense qu'on peut dire que je suis là pour rester. C'est une très grande partie de ma vie, maintenant. Certains vous diront même que je passe plus de temps dans la réserve et au centre que chez-moi, ce qui n'est pas totalement faux parfois. J'y suis très impliqué, je ne vois pas seulement le centre comme un boulot. C'est aussi un endroit où je peux rencontrer des gens merveilleux qui dédient leurs vies à des causes importantes, c'est un endroit où je peux, moi aussi, participer à des changements positifs dans la vie de ceux qui en ont besoin. C'est un peu ce qui m'a sauvé, je pense, et je n'ai pas l'intention de partir de si tôt.



« LET'S SPEAK ABOUT THE WRITER »


♣️ pseudo : heyjude ♣️ âge : 23 printemps  sad  ♣️ ton personnage est : une idée de Felicity  ♣️ comment es-tu venu ici ? : Felicity ne m'a pas du tout forcé à être ici, non non non.  ♣️ tes impressions : JE SUIS TROP TROP TROP TROP CONTENTE QU'IL OUVRE ENFIN  jump Je supporte l'idée à 100% depuis le début (d'ailleurs on m'a nommé cheerleader officielle, je m'en souviens  pompom )





Code:
[b]henry cavill[/b] ♣️ leon de blieck









Dernière édition par Leon De Blieck le Sam 25 Avr - 5:48, édité 10 fois
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Leon De Blieck
Leon De Blieck
LE PETIT LION


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♣ métier/études : guide-safari sur la réserve


MessageSujet: Re: LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle    LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle  EmptyJeu 19 Mar - 14:15

i've always buried my flaws deep beneath the ground

"there's a whole in my soul, i can't fill it"







Zoo de Johannesburg,
1992

Leon avait six ans. Comme tous les premiers vendredis du mois, il visitait le Zoo de Johannesburg avec sa maman. Son animal favori était depuis toujours le Lion. Et pas seulement parce qu'il s'agissait le surnom que sa maman lui donnait, « mon petit lion ». D'ailleurs, il insistait toujours pour que sa maman le laisse regarder un peu plus longtemps à travers le grillage qui donnait sur l'enclos du Roi de la Jungle.  Mais ce n'était pas seulement pour voir la majestueuse bête que Leon et sa maman visitait le Zoo chaque mois. Ils venaient aussi pour voir le papa de Leon. C'est à lui que le zoo appartenait. D'ailleurs, cela rendait jaloux la plupart des amis de Leon. Après tout, quel gamin de six ans ne rêverait pas d'un papa qui possède les animaux les plus exotiques de la planète ? Mais Leon n'était pas vraiment comme les garçons de son âge. D'abord, il le trouvait vilain, son papa, de garder son animal favori dans une grande cage. Ensuite, contrairement à la plupart des enfants de son âge, son père, il ne l'appellait pas « Papa ». Non, il utilisait toujours les mots « Monsieur de Blieck » pour s'adresser à lui et, à chaque fois, cela faisait sourire l'homme d'affaire.

Leon regardait son animal préféré tourner en rond dans le petit enclos sur lequel il régnait comme sur un domaine. Comme le lion, le jeune garçon se sentait trop à l'étroit. L'habit que sa mère le forçait toujours à mettre pour cette rencontre mensuelle n'aidait en rien à le faire se sentir à l'aise.  Sa maman, ressentant l'énervement de son jeune fils, s'agenouilla devant lui et desserra lègerement le noeud de sa cravate. Elle posa une main sous son menton et le forca à la regarder. Yeux dans les yeux, c'est comme s'il regardait dans un miroir tellement leurs regards étaient semblables. « Pourquoi je dois le voir encore ? J'ai pas envie » marmonna le garçon. « Parce qu'il est ta famille, Leon. Et c'est ce qu'il y a de plus important ». Et elle l'embrassa sur le front avant de le pousser doucement vers la porte qu'il voyait toujours dans ses mauvais rêves, celle où il était écrit en lettres dorées « W. De Blieck, Directeur général du zoo ».

Nord de Johannesburg,
2002

Citation :
« Bonjour Felicity,

Je t'écris de ma nouvelle maison. Je devrais peut-être plutôt dire château. Je te jure que ma chambre est plus grande que l'appartement que je partageais avec ma mère. D'ailleurs, je voulais te remercier pour ta dernière lettre, elle m'a fait beaucoup de bien.  C'est une période difficile, mais j'avoue que de savoir que je peux toujours t'écrire, ça me remonte un peu le moral. Si on m'avait dit, lorsque mon professeur d'anglais nous a presenté ce projet de correspondance, que j'en ressortirais avec une amie si précieuse, je ne l'aurais pas cru.

Bien sûr, ma mère me manque, mais elle aurait voulu que je sois heureux sans elle, alors j'essaie de voir les points positifs. Peut-être que tout ça me permettra de me rapprocher de ce père que je n'ai jamais vraiment connu. Pour l'instant, tout est un peu étrange entre nous. Oh, surtout que j'ai découvert en emménageant que j'ai un frère aîné, il n'avait jamais cru bon de le mentionner. Il s'appelle Kristoff et il a 17 ans. Il est plutôt cool jusqu'à maintenant alors ça va.

Sinon, j'espère que de ton côté tout va pour le mieux. Surtout, j'espère que les idiots du lycée ne t'embêtent plus autant ou que tu as enfin décidé de leur montrer que tu peux être méchante toi aussi !

Je t'embrasse,
Leon. »

Leon resta un moment à fixer la lettre qu'il venait de finir d'écrire. Dernièrement, il avait l'impression d'être un peu trop lourd dans ses corresponsdances avec Felicity, mais elle était la seule personne à qui il pouvait vraiment se confier. Et encore, il ne lui disait pas tout. Il ne lui avait pas expliqué le sentiment d'étouffement qu'il ressentait depuis qu'il avait mis les pieds dans cette immense maison. L'impression de ne pas être à sa place qui le suivait partout. Son père n'avait jamais joué un rôle très important dans sa vie, il n'avait pas assumé sa paternité au début, feignant ne pas vouloir mettre en danger son mariage. Mais, pourtant, lorsque ce dernier avait pris fin, quelques années auparavant, Monsieur De Blieck n'avait pas cherché à renouer avec son fils illégitime. D'ailleurs, ils avaient été presque sans contact pendant un certain nombre d'années. Jusqu'à ce que la mère de Leon meure, d'un bête accident de la route, et que les services sociaux le confient à l'homme avec qui il ne partageait rien de plus que le sang qui coulait dans ses veines, un nom de famille et quelques traits héréditaires comme sa chevelure bouclée.

Quelque part dans la savane sud-africaine,
2003


Leon n'avait pas à se plaindre de la nouvelle vie que lui avait offerte son père. Surtout que ce dernier semblait se sentir encore reponsable d'avoir plus ou abandonné son jeune fils pendant la première partie de sa vie, et qu'en conséquence il faisait tout pour gagner son pardon et son amour. Pourtant, Leon refusait la plupart des opportunités que son nouveau statut de fils d'homme fortuné lui offrait. Cela causait certaines tensions avec son père, qui comprenait mal pourquoi son fils ne voulait pas de ce que lui-même considérait comme la chance de vivre une vie meilleure. C'est vrai, il était libre de mener la vie qu'il voulait maintenant. Avec le faible revenu de sa mère, il n'avait jamais pensé avoir la chance de poursuivre des études universitaires. Aujourd'hui, il pouvait choisir parmi les meilleures du pays, et même de l'étranger s'il le souhaitait. Pourtant, il avait insisté pour continuer à fréquenter le même lycée, au grand découragement de son père, qui comprenait mal pourquoi son fils refusait l'éducation d'élite qu'il lui offrait. Mais il aimait bien son école publique, ses meilleurs amis la fréquentait et, surtout, il n'avait pas envie de faire partie de cette bourgeoisie qu'il avait toujours méprisée. Surtout, il avait peur qu'un changement brusque de milieu scolaire nuise à ses résultats scolaires. Il prévoyait depuis un certain moment d'entreprendre des études de médecine, il n'avait donc aucune envie de risquer de faire chuter son dossier scolaire plutôt exemplaire en fréquentant une école réservée à l'élite du pays.

Un autre grand sujet de discorde entre le jeune De Blieck et son père était la chasse. Selon les dires de l'aîné, c'était un véritable rite de passage, chez les De Blieck, qui se partageaient l'amour de ce "sport" depuis plusieurs générations. Depuis qu'ils s'étaient établis en Afrique du Sud, presque 100 ans auparavant, les hommes de sa famille avaient pour tradition d'organiser plusieurs expéditions familiales dans les réserves privées du pays. D'ailleurs, la maison de son père regorgeait de trophées de chasse accumulées au fil des ans. La pièce maîtresse de la collection trônant dans le salon principal: un immense lion empaillé pour que celui qui l'avait lâchement tué puisse à jamais le conserver en souvenir.

Sur ce point, son père était intransigeant. Leon n'avait pas le choix d'accompagner le clan De Blieck lors des sorties de chasse. Mais il avait toujours refusé de tirer sur quelconque animal, ce qui lui attirait les moqueries de ses cousins et le désespoir de son père. Au cours d'une sortie de quelques jours dans la savane, son demi-frère Kristoff s'imisca dans sa tente un matin et lui proposa une petite sortie hors du campement pour admirer le levé du soleil. Kristoff, malgré ses airs de fils à papa qui a toujours eu tout ce qu'il désire, aimait bien défier l'autorité paternelle de temps à autre, ce qui plaisait bien à son jeune frère. Ils marchèrent pendant un moment, Leon profitant de la beauté et de la tranquilité du paysage. Si ces voyages lui avaient permis de découvrir que les crimes perpétrés contre les animaux le dégoûtaient, il s'était aussi découvert une passion pour la cette nature resplendissante qu'il ne connaissait pas avant, ayant rarement eu la chance de sortir des limites de l'agglomération de Johannesburg.  «T'as entendu ce bruit ?» murmura son frère en pointant l'arme qu'il avait apportée par précaution vers des bosquets, à quelques mètres d'eux. «C'est ton jour de chance petit frère. On va ramener une bête à Papa et lui faire croire que le petit Leon a enfin trouvé le courage d'appuyer sur la gachette». Puis, tout se déroula tellement vite. La détonation de la carabine résonna dans le silence de l'immense savane, avant que ne se fasse entendre un cri qui glaça les os du jeune homme. Un cri qui longtemps viendrait hanter ses longues nuits sans sommeil.

« Oh merde, oh merde, oh merde. Papa va nous tuer, il va nous tuer » lâcha son frère en trouvant l'homme qu'il venait de tirer par erreur. Leon avait couru vers les buissons en entendant les cris qui s'en échappaient et il faisait son possible pour aider leur pauvre victime. « Putain Kristoff, ne reste pas planté là, va chercher de l'aide ! » s'écria-t-il alors que ses doigts cherchaient à bloquer le jet de sang qui se déversait sans fin. « Restez avec moi M'sieur. Tout ira bien » tenta-t-il d'une voix qui ne semblait pas du tout convaincue, essayant d'ignorer le fait qu'un trou béant qui transperçait la poitrine de l'homme qu'il tentait de rassurer.


Palais de justice de Johannesburg,
2003


Leon porta sa main à son cou et défit légèrement le noeud de sa cravate. Il ne s'était jamais habitué à la sensation désagréable d'étouffement qu'il ressentait quand il en portait une. Peut-être parce qu'il en portait toujours une lors des pires moments de sa vie. Les rencontres avec son père quand il était gamin, les funérailles de sa mère et maintenant, son procès. Et de nombreuses années plus tard, chaque fois qu'il reporterait une cravate, il pourrait encore entendre le mot «coupable» résonner dans la salle d'audience.

Ce jour-là, le juge l'avait rendu coupable de l'homicide involontaire d'Edward Chamberlain, le pauvre homme qui était mort dans ses bras, et d'avoir voulu commettre des activités liées au braconnage.  En croisant le regard de son père à travers la petite salle d'audience, Leon se rappella les mots qu'il avait prononcé quelques semaines plus tôt. «Tu as pris la bonne décision Leon. Tout ira bien» lui avait-il lâchement promis après que le jeune Leon, peut-être un peu trop naïf, eut accepté le plan proposé par son père et son avocat. Comme il était encore mineur, il valait mieux que ce soit lui qui prenne le blâme pour l'accident de chasse dans lequel son frère avait tué un innocent. Kristoff étant majeur, il risquait une lourde peine de prison. À Leon, on avait promis une peine minimale. Quelques heures de bénévolat, et tout serait oublié.  Mais le juge en avait décidé autrement. En plus des centaines d'heures de travaux communautaires à effectuer dans une réserve pour animaux, afin qu'il ne soit plus jamais tenté de chasser, on l'envoyait en centre juvénile jusqu'à ce qu'il atteigne l'âge de la majorité.

Centre pour jeunes délinquants de Johannesburg,
2004

Citation :
« Bonjour Felicity,

Il y a un moment que je n'ai pas eu de tes nouvelles. J'imagine que tu es bien occupée, maintenant que tu es une jeune Oxfordienne. Demain, j'aurai dix-huit ans. Et je serai libre, dans tous les sens du terme. Mon dossier sera épongé, et je pourrai enfin passer à autre chose. Enfin, je l'espère. Mon travailleur social a réussi à m'avoir un petit boulot avec le centre dont je t'ai déjà parlé, pour lequel j'ai fait des travaux communautaires. Ce n'est pas grand chose, mais je pense au moins que ça me permettra de vivre de manière autonome, ce qui est l'essentiel. Et qui sait, peut-être qu'un jour, moi aussi, je réussirai à me faire accepter à Oxford (haha). En attendant, si tu as envie d'un safari pas trop cher, je peux te faire un prix d'ami.

En espèrant que tu te portes bien,
Leon. »


Groupe de soutien des victimes de violence, centre-ville de Johannesburg,
2008

La vie d'adulte de Leon était relativement stable, si on la comparait à son enfance et à son adolescence. Il avait trouvé un boulot qui lui plaisait. Toujours employé de ce centre où on lui avait assigné des heures de travaux de communautaire quelques années auparavant, il s'était découvert une véritable passion pour la réserve faunique protégée par l'organisme. Il avait aussi trouvé une véritable famille, beaucoup plus loyale que les gens qui partageaient son sang. Le vieux gardien de l'endroit l'avait pris sous son aile et lui avait montré tout ce qu'il y avait à savoir sur l'endroit mythique. Depuis, il connaissait tellement bien l'endroit qu'il avait commencé à animer certaines des visites. Véritablement passionné par son métier, il y passait la majeure partie de son temps. Mis à part les mercredi soirs. Les mercredis soirs, il les passait toujours au même endroit, dans le sous-sol d'une église du centre-ville où se rencontrait un petit groupe de soutien. Il prenait toujours sa place habituelle, dans la dernière rangée de chaise, et écoutait les témoignages sans jamais prononcer un seul mot. Ce soir-là, une jolie brunette avait pris la parole pour la première fois. Timide, elle avait commencé à se confier d'une voix sanglotante. Mais le courage s'était emparé un peu plus d'elle et à chaque mot sa voix avait gagné en assurance. « Vous savez ce qui me dégoûte le plus ? C'est que le monstre qui a fait ça à mon père vient chaque mois déposer une somme d'argent dans notre boîte aux lettres. Comme si cet argent pouvait compenser pour ce qu'il a fait à ma famille ».  

À la fin de la soirée, la brunette le retrouva devant la machine à café. Leon leva timidement les yeux vers elle. En croisant son regard chocolat, son coeur rata un battement. « Alors, tu vas m'inviter à sortir un de ces jours ou alors tu vas te contenter de m'observer depuis le fond de la pièce ? ». L'audace de la jeune femme, dont il savait que le nom était Béatrice Chamberlain, le fit sourire. Et pendant un instant, il oublia que c'était lui, le monstre qui déposait chez elle, chaque mois, une enveloppe pleine de billets.


Maison de la famille Chamberlain,
2008

Leur relation demeura platonique pendant des mois, principalement parce que Leon se refusait à donner vie aux sentiments qui pourtant s'agitaient à l'intérieur de lui depuis la première fois qu'il avait posé les yeux sur Béatrice. Il n'avait jamais ressenti avec une telle force le besoin d'être avec une femme. Pourquoi fallait-il qu'elle soit la fille de l'homme qu'il avait été accusé d'avoir tuer ? Et, pour compliquer encore plus les choses, il semblait qu'elle les ressentait aussi, ces sentiments que Leon s'efforçait tellement à faire taire. Il était incapable d'aller plus loin avec elle, mais il était aussi incapable de se défaire d'elle. En même temps, plus il apprenait à la connaître et moins il avait envie de s'éloigner. Chaque excuse était bonne pour continuer à la voir. Après avoir visité la vieille maison qu'elle partageait avec sa mère, il avait décidé d'entreprendre divers petits travaux pour les aider à la retaper. Il avait réparé les bardeaux de la toiture, repeinturé la véranda. Ce soir-là, il s'affairait à solidier quelques unes des vieilles marches de l'escalier de bois. Alors qu'il rangeait ses outils, Béatrice se posta devant lui et lui tendit une bière bien froide. «Merci Leon. C'est vraiment gentil tout ce que tu fais pour ma mère et moi». «Ce n'est rien» souffla le jeune homme en guise de réponse, en haussant les épaules alors que ses joues rougissaient. Il porta la bière à ses lèvres et en pris une longue gorgée. Entre-temps, Béatrice s'était approchée et avait posé une main sur son bras, provoquant une vague de frissons dans tout son corps. «Ce n'est pas rien. Ma mère l'apprécie beaucoup. Et moi aussi.» Sur ces derniers mots, elle se hissa sur la pointe des pieds, tentant de réduire l'écart de grandeur entre eux, elle plaqua ses lèvres contre les siennes. Le geste, bien qu'infiniment agréable, fut rompu par Leon, qui la repoussa doucement. « Béatrice, il y a quelque chose que je dois te dire ».

Il ne comprit jamais comment il avait su trouver les mots, mais il lui expliqua. Ce fut certainement la chose la plus difficile qu'il eut à avouer dans sa vie, surtout qu'il ne s'agissait pas de la vérité, mais il lui annonça qu'il le responsable de l'accident de son père. La réaction de Béatrice le troubla. Il ne lisait aucune once de tristesse sur ses jolis traits. « Tu le savais ? ». Elle hocha simplement la tête. « Je m'en doutais depuis un moment.» Les larmes s'étaient mises à rouler sur son joues. Leon ferma les yeux. Respira un bon coup. Puis se prépara à s'en aller, parce qu'il lui semblait que c'était la seule chose à faire. Mais elle le rattrappa avant qu'il ne franchisse la porte, elle s'interposa entre lui et la sortie, le bloquant de ce corps qu'il s'était empêché d'aimer depuis si longtemps, malgré lui. «Reste» souffla-t-elle, à bout de souffle, cherchant de nouveau à joindre leurs deux bouches.


Appartement de Leon, Sud de Johannesburg,
2011

Ils n'en reparlèrent jamais. Et pendant assez longtemps, ils arrivèrent à ignorer ce fantôme qui les hantait tous les deux. À de nombreuses reprises, il voulut lui dire la vraie vérité, celle qu'il n'avait jamais avoué à personne sauf peut-être sa correponsdante du lycée, des années auparavant. Il aurait aimé lui dire à elle, la femme qu'il aimait plus que tout, que ce n'était pas lui qui avait appuyé sur la gachette de l'arme qui avait tué son père. Mais il n'était pas certain que cette révélation aurait pu changer quoi que ce soit, sinon de courir le risque qu'elle ne le croit pas. Puis, de toute façon, le fait qu'il ne soit pas directement responsable de la mort de son père ne changeait pas que ce dernier été mort, devant ses yeux. Et ce simple fait le rendrait couple, à tout jamais, du plus grand drame dans la vie de celle qu'il voulait rendre heureuse. Pourtant, il lui sembla pendant un certain temps qu'elle arriverait réellement à mettre cet évènement de côté. Leon mit un certain temps avant de le croire, mais elle semblait réellement heureuse à ses côtés. Leur idylle se transforma en histoire plus sérieuse, les jours se transformèrent en mois, puis même en années. Évitant toujours les sujets délicats, ils vivaient au jour le jour, consumant avec intensité la passion de leur amour. Jusqu'à ce qu'elle lui annonce, environ trois ans après de le début de cette étrange liaison, qu'elle attendait son enfant. Leon fut d'abord surpris par cette nouvelle. Ils n'avaient jamais parlé d'un futur ensemble, c'était un de ces nombreux sujets qu'ils évitaient soigneusement. Mais ce bébé le rendait heureux. Il le voyait comme une nouvelle chance pour leur couple, la chance de devenir plus solide et de se tourner vers le futur. Sans hésiter une seconde de plus, convaincu que la force des sentiments qu'il ressentait pour elle suffirait à régler tous leurs problèmes, il lui demanda de l'épouser. Elle accepta et il se mit à croire en la possibilité d'un futur meilleur. Jusqu'à ce qu'un jour, en rentrant du travail, il trouve leur appartement vide et une note sur la table:

Citation :
«Leon,

Je suis tellement désolée de devoir écrire ces mots, et de devoir te rendre cette bague. J'ai essayé de m'y faire, mais je n'y arrive pas. Je ne peux pas t'épouser. Je ne peux pas mettre au monde cet enfant. Pas dans ces conditions, il ne mérite pas de naître au milieu de tout ça.

Béatrice »


Centre Giving For Africa,
2015

Les rumeurs couraient sur les raisons qui avaient rendu Leon De Blieck si aigri. On disait souvent à la blague que c'était parce qu'il avait passé trop de temps avec le vieil homme qui gardait la réserve. C'est vrai, il avait connu des jours meilleurs. Ou des années, peut-être. Il n'était pas reconnu pour sa jovialité au centre où il travaillait depuis bientôt 10 ans, même si on ne pouvait pas lui reprocher de ne pas bien faire son travail. Parce que quand il revêtait son uniforme de guide, quand il était temps de faire découvrir les merveilles de la réserve à des visiteurs avides d'apprendre, ses yeux glacés reprenaient vie. Dans la savane, Leon se sentait vivant et utile. Mais dès que l'uniforme était tombé, il retrouvait son marasme et, plus souvent qu'autrement, une bouteille contenant un quelconque liquide capable de lui faire oublier qui il était.











Dernière édition par Leon De Blieck le Sam 25 Avr - 5:31, édité 4 fois
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Leon De Blieck
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LE PETIT LION


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MessageSujet: Re: LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle    LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle  EmptyJeu 19 Mar - 14:16

+1 angel
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Felicity Sparrow
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LA VEUVE EPLOREE
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MessageSujet: Re: LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle    LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle  EmptyJeu 19 Mar - 14:24

coeur2 secret hugs2 cutie2 clap hugs :sex:
L'AMOUR DE MA VIIIIIIIIE (enfin futur)
Moi, je suis trop, trop, trop, trop, trop, trop, trop contente que tu sois là cute coeur Et j'ai trop hâte de lire ta fiche, mais bon de toute façon je sais qu'il est déjà parfait ce Leon parce que c'est le plus beaaaaaaaaau oooh
Et on fera des rps trop cool de la mort qui tue Cool
Plein d'amour sur toi coeur
Et puis bienvenue aussi cutie
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Joos Van Pieters
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LE PETIT SINGE
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MessageSujet: Re: LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle    LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle  EmptyJeu 19 Mar - 14:53

OHHHHH non mais Léon, j'aime trop ce prénom cherry Et puis bon, je suis trop ravie de te voir ici coeur
Bienvenue sur GFA hawai J'espère que vous allez nous faire plein de bébés avec Félicity parce que je vous ship troooooop cutie
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Siobhan A. Villanueva
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MessageSujet: Re: LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle    LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle  EmptyJeu 19 Mar - 14:55

C'est dingue comme c'est toujours la faute de quelqu'un, pour tout le monde secret
Bienvenue par ici coeur2
(cela dit, tu pouvais pas ne pas t'inscrire et résister à tant d'amour cutie2 )
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Noah L. Mansfield
Noah L. Mansfield
LE PETIT CON
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MessageSujet: Re: LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle    LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle  EmptyJeu 19 Mar - 16:05

HEEEEEEEEEEEEENRRRRRRY LE PARFAIT omg. Bon je vais éviter de baver ou je vais me faire taper par une folle Rolling Eyes. Je suis trop contente que tu sois venue c'est tellement cooool omg. Et puis toi et la folle ensemble pour un nouveau ship ça sent le sadisme la cuteness et la perfection keur. J'ai hâte d'en savoir plus sur ce peeso keur.
Et evidemment je veux un lien I love you. Pleins de poutous et bienvenue keur
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Felicity Sparrow
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LA VEUVE EPLOREE
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MessageSujet: Re: LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle    LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle  EmptySam 21 Mar - 15:28

Je vais flooder, pardon, mais c'est juste parce qu'on dit des mensonges à mon sujet snif

Siobhan A. Villanueva a écrit:
C'est dingue comme c'est toujours la faute de quelqu'un, pour tout le monde secret
Bienvenue par ici coeur2
(cela dit, tu pouvais pas ne pas t'inscrire et résister à tant d'amour cutie2 )

Ce n'est pas du tout de ma faute angel mais celle de mes idées, c'est différent.

(mais bon pour la parenthèse, tu as raison cute )

Noah L. Mansfield a écrit:
HEEEEEEEEEEEEENRRRRRRY LE PARFAIT omg. Bon je vais éviter de baver ou je vais me faire taper par une folle Rolling Eyes. Je suis trop contente que tu sois venue c'est tellement cooool omg. Et puis toi et la folle ensemble pour un nouveau ship ça sent le sadisme la cuteness et la perfection keur. J'ai hâte d'en savoir plus sur ce peeso keur.
Et evidemment je veux un lien I love you. Pleins de poutous et bienvenue keur

Je ne suis pas folle boude Et encore moins sadique, mais la cuteness et la perfection, oui cutie (mais sinon, oui, tu vas te faire taper gnaa)


Bon, j'en profite pour t'envoyer des bisous d'encouragement pour ta fiche : cutie2 hugs2 hugs secs coeur2 pompom
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MessageSujet: Re: LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle    LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle  EmptyDim 22 Mar - 21:44

TOI ! cutie Encore un choix d'avatar parfait et je suis sûre que tu vas encore beaucoup briser mon coeur, comme toujours siffle J'aime beaucoup beaucoup ton pseudo et ton avatar cutie Bref, j'ai hâte de lire tout ce que tu auras à écrire cutie
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MessageSujet: Re: LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle    LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle  EmptyDim 22 Mar - 22:25

Le métier parfait cute puis l'avatar est un choix de fifiou **
Bienvenue & bon courage pour ta fiche coeur
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Reed J. Trevelyan
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MessageSujet: Re: LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle    LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle  EmptyVen 27 Mar - 20:45

TOI TOI TOI TOI TOI TOI TOI youhou
Je te l'ai déjà dis mais le choix de prénom est trop parfait cutie Et puis Henry quoi... j'vais pas en dire plus, je ne voudrais pas m'attirer des ennuis avec une furie siffle ahah J'ai tellement trop hâte d'en savoir plus sur Leon omg Pis il est évident qu'on aura un lien, un truc trop keeeeewl quoi ooh copains

Bon courage pour ta fiche lick
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MessageSujet: Re: LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle    LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle  EmptySam 28 Mar - 22:59

Je n'ai qu'une seule chose à dire :

LEONITY POWER. panda
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Anonymous
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MessageSujet: Re: LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle    LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle  EmptyJeu 2 Avr - 18:15

Twaaaaaaaaaaa !!!!! snif snif snif oooh oooh ooh ooh Comment j'ai trop hâte de te lire de nouveau et surtout de voir ce que tu vas faire avec notre Felicity parce que je te vois avec personne d'autre ! x3

WELCOME !
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Anonymous
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MessageSujet: Re: LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle    LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle  EmptySam 4 Avr - 21:53

Bienvenue à toi I love you
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Felicity Sparrow
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MessageSujet: Re: LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle    LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle  EmptySam 25 Avr - 7:06

GNGNGNGNGNGNGNGN. Je trouve ça parfait (et puis les gifs bave) keur Mais elle est vilaine cette fille, elle est nulle et moche mad fuck Moi, je serai plus gentille angel
Bref, c'est parfait et je suis trop contente de pouvoir te... valider pompom



bienvenue sur

Giving for Africa



Bravo ! Tu as rejoint l'aventure Giving for Africa ! Maintenant que tu fais parti de l'équipe, peu importe ton groupe, voici quelques conseils pour commencer ton intégration :

♣️ Parce que c'est toujours mieux à plusieurs, commence par te créer une fiche de liens et de rps, n'hésite pas à poster dans celles des membres déjà présents pour trouver des idées.

♣️ N'oublie pas de recenser le métier de ton personnage, c'est à faire .

♣️ Tu peux également inventer tes propres scénarios (ici) ou bien proposer des liens avec des personnages pré-définis (ici).

♣️ Pour te lancer dans le rpg et commencer dès maintenant à faire vivre ton personnage, tu peux aller poster dans la boîte à rps. Nous ferons au mieux pour te trouver un partenaire et une situation folle-dingue pour vos personnages. Ou tu peux directement faire une demande plus simple, ici.

♣️ Et pour finir, tu peux flooder car c'est toujours amusant, et surtout voter pour Giving for Africa : ici, tes votes sont très importants car ils permettront à de nouvelles personnes de nous rejoindre.

Tu es désormais prêt pour rejoindre le reste de l'équipe et découvrir les merveilles de la savane ! En espérant que tu t'y amuseras bien






hug
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Leon De Blieck
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MessageSujet: Re: LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle    LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle  EmptySam 25 Avr - 7:15

J'espère bien que tu seras plus gentille, même si j'en doute franchement, je commence à bien te connaître avec tes idées de sadique omg stupid hug
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MessageSujet: Re: LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle    LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle  Empty

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LEON ◊ c'est dans la pénombre que la lumière est belle

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