nobody said it was easy, no one ever said it would be so hard (levi)
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Sujet: nobody said it was easy, no one ever said it would be so hard (levi) Mer 17 Juin - 15:21
LEVI (ELYAS) HASTINGS
baby stay right here with me, 'cause I can't see you anymore, this ain't the way it's supposed to be, i feel I'm knocking on heaven's door
♣ nom : hastings, nom de son père, connu dans le monde du reportage et du journalisme. un nom dont il est fier car porté par un homme admirable selon lui ♣ prénom : levi, prénom biblique donné par sa mère qui est très croyante. son deuxième prénom, elyas, est hérité de son grand-père maternel décédé peu de temps avant sa naissance ♣ date de naissance : le trente et un décembre mille neuf cent quatre vingt ♣ âge : trente-cinq ans ♣ nationalité : sud-africaine car il est né ici, anglaise par son père et française par sa mère ♣ orientation sexuelle : hétérosexuel ♣ statut : marié ou plutôt séparé ces temps-ci, en fait, c'est compliqué ♣ métier/études : officier de police, travaille particulièrement à la brigade des stups. ♣ groupe : civilian ♣ avatar : tom hardy ♣ crédit : ta réponse ici
« ME, MYSELF AND I »
Parle nous un peu de toi ? Levi n'est pas un homme facile à comprendre, ni à cerner. Il est du genre discret, observateur jusqu'à ce que quelque chose lui déplaise et qu'il libère le fauve. L'impulsivité est ce qui le définirait le mieux. Il ne prend pas le temps de réfléchir et se laisse guider par ce qu'il ressent. Lorsque quelque chose ne va pas assez vite pour lui, lorsqu'on le fait tourner en bourrique en le prenant pour un con, le ton monte et les coups partent facilement. L'injustice lui donne envie de vomir, c'est sûrement pour cette raison qu'il est devenu flic. Il a ce côté justicier, protecteur caché derrière cette apparence de dur à cuire. Une fois qu'on le connaît bien, qu'on prend le temps de le comprendre, il n'est pas si aigri qu'il en à l'air. Son caractère peut-être difficile à supporter, mais il déteste se sentir seul, paradoxalement. Sa confiance est difficile à gagner, mais à partir du moment où vous l'avez, il est prêt à tout pour vous, même si cela doit lui nuire. Levi est un grand idéaliste, il croit que les choses peuvent changer en bien et il pense pouvoir y contribuer. Il essaye toujours de voir le bon côté des choses, il essaye de réparer avant de jeter, il essaye de trouver une solution avant d'abandonner. C'est sûrement la raison pour laquelle il ne veut pas laisser tomber son mariage, il pense qu'il reste quelque chose à sauver. Il manie le sarcasme et l'ironie à la perfection et aime en jouer. Derrière ce caractère insupportable et légèrement hautain, ce cache un homme qui a souffert, attachant, qui a juste besoin d'être épauler. Seul, il a tendance à se laisser couler, à partir en vrille. Il est difficile de le comprendre, même lui à du mal à se comprendre parfois. Outre ce caractère de vieux loup, il peut également se montrer taquin, joueur voire même charmeur, surtout envers la gente féminine.
Comptes-tu prolonger ton séjour parmi nous ? Il est né en Afrique du Sud, c'est son pays, sa terre. Il se sent appartenir à quelque chose ici. Il est très attaché à cet endroit, toute sa vie est écrite dans ces quartiers, dans cette savane, dans ces paysages. Jamais il n'a pensé à quitter ce pays, l'idée ne lui effleurera certainement jamais l'esprit. Toute sa vie se trouve ici et il ne s'imagine pas vivre ailleurs. Puis, il souhaite plus que tout que son enfant naisse ici.
« LET'S SPEAK ABOUT THE WRITER »
pseudo : dieu âge : dix-neuf ans ton personnage est : tout droit sorti de ma petite tête comment es-tu venu ici ? : bazzart tes impressions : je suis amoureuse de ce forum
Code:
[b]tom hardy[/b] levi hastings
Dernière édition par Levi Hastings le Mar 23 Juin - 11:03, édité 25 fois
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Sujet: Re: nobody said it was easy, no one ever said it would be so hard (levi) Mer 17 Juin - 15:23
do you recall, not long ago, we would walk on the
sidewalk, innocent, remember? all we did was care
for each other
"and after all, you're my wonderwall"
« Tu dois choisir, Levi. » Choisir entre rester en Afrique du Sud avec mon père ou partir en Nouvelle-Zélande avec ma mère. Du haut de mes dix ans, j'avais regardé tour à tour ma mère et mon père sans savoir quoi répondre à cette question. Quand j'y repense aujourd'hui, je me dis que ce n'est pas une question que l'on pose à un enfant. Comment ce dernier pourrait-il choisir entre ses deux parents ? N'étant qu'un enfant et ne comprenant pas réellement ce qu'il se passait, je ne parvenais pas à choisir. Alors pendant quelques années, je vivais six mois en Afrique du Sud et six mois en Nouvelle-Zélande. Puis au bout d'un certain temps, je choisissais de rester avec mon père n'appréciant pas vraiment l'homme que ma mère fréquentait. En grandissant, j'avais compris qu'il était celui qui souffrait le plus du divorce et je ne voulais pas quitter mon pays natal. Mon père étant reporter, je le suivais pour la plupart de ses voyages. J'admirais mon père, j'étais fier de ce qu'il accomplissait et je ne cessais d'être inspiré par la façon dont il gérait sa vie. Il n'avait pas laissé le divorce le détruire, il n'en avait jamais voulu à ma mère et nous étions même allés ensemble à son deuxième mariage. Il ne s'était jamais plains devant moi, n'avait jamais chercher à me liguer contre ma mère. Je lui vouais presque un culte. Quand je pensais à mon futur, je voulais être comme lui, réussir comme lui, être un bon père comme lui. Il était mon modèle.
Allongé sur le canapé, j'ouvrais brusquement les yeux en entendant un bruit sourd. Il me semblait que cela venait de l'étage, mais je n'étais pas sûr. Je ne perdais pas une seconde de plus à réfléchir, je me levais d'un bond et montais les escaliers en courant. Par instinct, je me dirigeais vers la chambre de mon père. Je poussais la porte et le voyais allongé à même le sol en sanglotant. Je m'accroupissais à côté de lui et l'aider à se redresser. « Je t'ai dit de m'appeler si tu avais besoin de quelque chose. » lui soufflais-je en secouant la tête. Je le calai contre son lit avant d'attraper le verre d'eau posé sur sa table de nuit et de lui proposer. Il grogna, mais s'empara tout de même du verre. Agenouillé devant lui, mon regard glissait sur son visage aux traits tirés et fatigués. Cela faisait maintenant un an qu'on lui avait diagnostiqué un cancer des os. Il arrivait que certains de ses membres se paralysent et l'empêche de se déplacer comme il le souhaiterait. J'avais refusé qu'une infirmière vienne s'occuper de lui, alors j'avais quitté l'armée que j'avais rejoint deux ans auparavant pour venir prendre soin de mon père. Il avait bien sûr râlé en disant que je foutais en l'air ma vie pour rien puisqu'il ne lui restait pas longtemps à vivre, mais je n'avais rien écouté. Je récupérai le verre et le reposai à sa place initiale. « Viens manger quelque chose. » déclarais-je en me levant pour l'aider à en faire de même. « Je peux me lever seul. » répondit-il sans me laisser le temps d'attraper son bras. Je faisais comme si je ne l'avais pas entendu et l'aidais à se relever. Après avoir passé son bras sur mes épaules, je l'entendais grogner en me disant que je n'écoutais rien. Je devais tenir ça de mon père. Je l'aidais à descendre les escaliers, non sans difficultés, et le faisais asseoir à la cuisine. Un silence régnait dans la pièce alors que je lui préparais quelque chose en vitesse. Je savais qu'il ne voulait pas que je le vois dans cet état, qu'il ne voulait pas que je vive avec lui et que je l'aide à faire ce qu'il n'arrivait plus à faire seul, mais je m'en voudrais bien trop de le laisser seul ici ou avec une inconnue. Je m'asseyais en face de lui et poussais l'assiette dans sa direction. Il me remerciait d'un léger sourire qui ne dura que quelques secondes, il ne devait pas trop me montrer qu'au fond, il était heureux que je sois ici avec lui. Alors qu'il commençait à manger, je prenais soin de poser sur la table les médicaments qu'il devait prendre pour la douleur. Puis, mon regard se plongeait dans le sien. Pendant un instant, nous restions comme ça, à nous regarder dans le blanc des yeux. Je ne supportais pas de le voir dans cet état, mais je ne pouvais rien faire de plus, à part attendre. Attendre que son corps ne supporte plus la maladie, que les médicaments ne fassent plus effet et que la douleur disparaisse. Je passais une main lasse sur mon visage fatigué avant de poser ma main sur son avant-bras. J'étais là et je serai là comme il l'avait été pour moi.
« Je suis enceinte, Levi. » Je n'en revenais pas. Cela devait être la deuxième fois qu'elle me le répétait, mais je n'arrivais pas à y croire. Nous allions être parents après toutes ces années difficiles, à essayer, à attendre, en vain. Toutes ces soirées passées à se disputer me semblaient déjà loin. Même l'aventure de Malia, que j'avais eu du mal à lui pardonner, m'apparaissait comme peu importante. Tout avait été compliqué entre Malia et moi, et ce depuis le début. Elle n'avait jamais vraiment accepté le métier que je faisais et ne comprenais pas la détermination que je pouvais y mettre. A maintes reprises, elle m'avait reproché d'être trop peu présent pour elle. Les choses ont empiré quand j'ai été choisi pour des missions sous couverture parmi les dealers de drogues du pays. Suite à ça, j'ai eu quelques soucis d'indépendance avec certaines substances. Nous ne cessions de nous disputer à propos de mes problèmes d'alcool et de drogues, puis comme si cela pouvait guérir notre couple, nous avions décidé d'avoir un enfant, pour tourner la page et commencer un nouveau chapitre. Comme maudits, nous n'arrivions pas à avoir cet enfant malgré les nombreux essais, cela consumait un peu plus notre couple. Malia a eu une aventure, je suis allé trouver le concerné chez lui pour lui faire comprendre son erreur et après ça, nous nous sommes éloignés un peu plus. Je passais mon temps au travail préférant rester dans dans les rues de Johannesburg à vadrouiller plutôt que de voir ce que j'avais construit avec elle s'écrouler. C'était comme si le sort s'acharnait sur nous, comme si nous n'étions pas fait pour être ensemble malgré tout ce que l'on ressentait l'un pour l'autre. Dès qu'une légère lumière faisait son apparition dans notre vie, l'obscurité s'empressait de la dévorer. Je levais les yeux vers elle passant ma main sur sa joue dans un geste doux. Depuis toujours, j'avais voulu avoir un enfant et je n'avais jamais pensé à fondé une famille avec une autre que Malia. Peut-être qu'enfin, la lumière réussissait à persister en luttant contre l'obscurité qui semblait faire partie intégrante de notre vie. Je m'avançai afin de la prendre dans mes bras en fermant les yeux pour savourer l'instant.
Puis, mes pensées s'envolaient vers Nea. Depuis quelques mois, nous nous étions éloignés avec Malia alors qu'avec Nea, nous nous étions rapprochés. Elle était ma coéquipière et une amie d'enfance, nous nous connaissions depuis des années et nous ne nous étions jamais quitté de vue. Au milieu de mon mariage désastreux, elle m'était apparue comme un nouveau souffle, elle semblait être celle qui pouvait recoller les morceaux alors que j'étais en instance de divorce avec ma femme. Un caractère bien trempé, une femme forte qui sait ce qu'elle veut et comment elle veut, qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et qui cache une certaine douceur derrière cette carapace de fer. Tout reprenait de la couleur à mes yeux, la vie reprenait un certain goût et pas celui amer qui ne quittait plus ma bouche depuis des années. Puis, les choses sont allées plus loin entre nous. Des draps partagés et les problèmes de mon mariage disparaissaient le temps d'un instant. Nea m'apparaissait comme la possibilité d'un nouveau départ, de construire quelque chose de solide sur les ruines que j'étais. Elle était une libération, une délivrance. Tout était plus clair dans mon esprit. Peut-être n'étais-je pas fait pour être avec Malia, et tous les signes étaient là pour me convaincre. Peut-être que Nea était celle avec qui tout fonctionnerait. Elle était très différente de Malia, mais j'étais prêt à accepter ces différences si elle pouvait me rendre meilleur. Je commençais à accepter la possibilité d'un divorce, je commençais à me faire mes raisons quant à tous les échecs de ma vie et c'est à ce moment-là que Malia m'apprit qu'elle était enceinte. Elle portait mon enfant, alors mon choix m'apparaissait comme une évidence. Encore une fois, je devais tenter d'arranger les choses avec Malia, les choses devaient fonctionner à présent, nous allions former une famille. Cet enfant pouvait être pour nous un nouveau départ nous permettant d'oublier le passé, les erreurs que nous avions pu faire, le mal que l'on avait pu faire à l'autre. Parce que finalement, c'était ça, depuis des années, nous nous détruisions petit à petit, nous nous consumions. Peut-être que cet enfant allait pouvoir guérir nos blessures. Je choisissais alors Malia plutôt que Nea ce qui me laissait un goût amer dans la bouche. Cela me faisait mal de la laisser, de ne pas lui laisser de chance, de ne pas nous laisser de chance, mais au lieu de ça d'en accorder encore une à ma femme. J'avais vu mes parents se déchirer dans leur divorce, j'avais vu mon père se battre seul dans la vie puis contre le cancer, alors que ma mère heureuse se remariait. Je m'étais toujours juré de tout essayer avec Malia avant de choisir de la quitter. Lorsque quelque chose se brise, se casse, je préférais essayer de le réparer plutôt que de le jeter.
Dernière édition par Levi Hastings le Mar 23 Juin - 16:49, édité 23 fois
Nelson S. Mangena
L'IDEALISTE
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Sujet: Re: nobody said it was easy, no one ever said it would be so hard (levi) Mer 17 Juin - 15:34
Ah officier de police . Du coup ça y est j'ai déjà une idée de lien, je te mpotte En tout cas Tom Hardy c'est un choix de la mort et absolument parfait, surtout qu'officier de police ça lui colle totalement je trouve . Il a la tête de l'emploi . Du Coldplay en titre, et le prénom Levi c'est parfait Je pense que ce DC va être super coool Je te re-souhaite la bienvenue parmi nous
Felicity Sparrow
LA VEUVE EPLOREE
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Sujet: Re: nobody said it was easy, no one ever said it would be so hard (levi) Mer 17 Juin - 17:21
Oooooh, j'aime ce métier, surtout avec une belle gueule pareille Je vais réfléchir à une idée avec Lilja, ça peut-être cool tout ça (surtout que je suis un peu à la ramasse niveau idées de liens pour elle ) J'ai vraiment hâte de découvrir Levi. Re-bienvenue et bon courage pour ta fiche
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Invité
Sujet: Re: nobody said it was easy, no one ever said it would be so hard (levi) Mer 17 Juin - 17:25
nelson : merci bien felicity: oh oui, un lien avec lilja, je veux merci en tout cas !
Reed J. Trevelyan
LE PROVOCATEUR
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Sujet: Re: nobody said it was easy, no one ever said it would be so hard (levi) Mer 17 Juin - 17:36
J'adore le choix d'avatar, en plus il colle parfaitement au métier je trouve aussi J'aime beaucoup le prénom Levi également Tout le pseudo en fait
Rebienvenue ? Tu es qui ? J'ai hâte d'en savoir plus sur ce personnage en tout cas Bon courage pour ta fiche
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Invité
Sujet: Re: nobody said it was easy, no one ever said it would be so hard (levi) Mer 17 Juin - 19:01
Bienvenue officiellement vu le métier et les origines du coco je pense que ça va être facile pour nous de nous trouver un lien Du coup si jamais l'envie te prends ma boite mp est ouverte
Joos Van Pieters
LE PETIT SINGE
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Sujet: Re: nobody said it was easy, no one ever said it would be so hard (levi) Mer 17 Juin - 20:34
Le prénom Levi est trop joli J'aime beaucoup Rebienvenue parmi nous J'espère que tu trouveras plein plein de lien et que celui que je t'ai proposé par mp va t'intéresser
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Sujet: Re: nobody said it was easy, no one ever said it would be so hard (levi) Mer 17 Juin - 22:23
reed : merci beaucoup ! haha, devine qui je suis j'aime tout ce mystère nea : merci ma belle on va peaufiner notre truc par mp t'inquiète joos : merci eh oui, le lien que tu me proposes est cool, on en parle par mp !
A. Declan Wolf
l'aventurier
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♣ métier/études : Chasseur de braconniers
Sujet: Re: nobody said it was easy, no one ever said it would be so hard (levi) Jeu 18 Juin - 18:03
Rebienvenuuuue
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Sujet: Re: nobody said it was easy, no one ever said it would be so hard (levi) Sam 20 Juin - 13:47
Le prénom et le titre de ta présentation Limite je te demande de m'épouser là
Bon courage pour ta fiiiiiiche
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Sujet: Re: nobody said it was easy, no one ever said it would be so hard (levi) Sam 20 Juin - 14:52
tom et puis le pseudo est juste top rebienvenue
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Sujet: Re: nobody said it was easy, no one ever said it would be so hard (levi) Sam 20 Juin - 23:29
Je te souhaite la bienvenue par ici !
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Sujet: Re: nobody said it was easy, no one ever said it would be so hard (levi) Lun 22 Juin - 19:35
Rebienvenue parmi nous Encore un pseudo parfait et un avatar parfait, ça va aller là ?
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Sujet: Re: nobody said it was easy, no one ever said it would be so hard (levi) Mar 23 Juin - 11:00
que de compliments, merci beaucoup mag, faut pas faire les choses à moitié
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Sujet: Re: nobody said it was easy, no one ever said it would be so hard (levi) Mar 23 Juin - 12:09
Tom Hardy, le titre, le pseudo
Bienvenu parmi nous
Felicity Sparrow
LA VEUVE EPLOREE
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♣ where are you : johannesburg, logée sur le centre.
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♣ métier/études : institutrice, au centre Giving for Africa, elle apprend aux enfants, et certains adultes, à lire et écrire.
Sujet: Re: nobody said it was easy, no one ever said it would be so hard (levi) Mar 23 Juin - 16:56
Mais elle est parfaite cette fiche Il va vraiment falloir que je réfléchisse à un lien, avec Lilja
Tu es validé
bienvenue sur
Giving for Africa
Bravo ! Tu as rejoint l'aventure Giving for Africa ! Maintenant que tu fais parti de l'équipe, peu importe ton groupe, voici quelques conseils pour commencer ton intégration :
Parce que c'est toujours mieux à plusieurs, commence par te créer une fiche de liens et de rps, n'hésite pas à poster dans celles des membres déjà présents pour trouver des idées.
N'oublie pas de recenser le métier de ton personnage, c'est à faire là.
Tu peux également inventer tes propres scénarios (ici) ou bien proposer des liens avec des personnages pré-définis (ici).
Pour te lancer dans le rpg et commencer dès maintenant à faire vivre ton personnage, tu peux aller poster dans la boîte à rps. Nous ferons au mieux pour te trouver un partenaire et une situation folle-dingue pour vos personnages. Ou tu peux directement faire une demande plus simple, ici.
Et pour finir, tu peux flooder car c'est toujours amusant, et surtout voter pour Giving for Africa : ici, tes votes sont très importants car ils permettront à de nouvelles personnes de nous rejoindre.
Tu es désormais prêt pour rejoindre le reste de l'équipe et découvrir les merveilles de la savane ! En espérant que tu t'y amuseras bien
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Sujet: Re: nobody said it was easy, no one ever said it would be so hard (levi) Mar 23 Juin - 16:57
merci nymeria bon, cool alors merci, et oui, faut qu'on se trouve un lien
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Sujet: Re: nobody said it was easy, no one ever said it would be so hard (levi)
nobody said it was easy, no one ever said it would be so hard (levi)
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