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Pleins de beaux scénarios vous attendent, alors n'hésitez plus à aller les voir.

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 i'm not a jerk all the time, promised + felicity.

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Anonymous
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MessageSujet: i'm not a jerk all the time, promised + felicity.   i'm not a jerk all the time, promised + felicity. EmptyLun 20 Juil - 15:43

I'm not a jerk all the time, promised.
Maxime & Felicity

Quand il avait pris la décision de s'engager avec Giving for Africa, Maxime avait bien été conscient que ses journées allaient être radicalement différentes. Il y avait eu cette longue période de réflexion durant laquelle il avait considéré différents nouveaux modes de vie. Il aurait pu être engagé en tant qu'ingénieur dans un autre pays histoire de quand même changer d'air ou bien trouver un travail à Johannesburg et passer son temps libre au centre. Mais le fait était que Maxime se connaissait et ce n'était pas un changement d'environnement qui allait l'empêcher de retomber dans ses travers.

Un an plus tard il ne regrettait pas sa décision mais il admettait que certaines choses lui manquait. Il appréciait mettre la main à la pâte et agir sur les chantiers mais le côté technique et presque théorique qu'il y avait derrière restait son grand amour. C'est pourquoi il aimait de temps en temps s'échapper des bidonvilles pour aller voir Noah et lui déposer de la paperasse et parfois lui proposer ses idées pour améliorer les conditions de vie des habitants avec les moyens à leur disposition.

Quand il était sortit du bureau de Noah, sa montre avait indiqué cinq heures passés. La nuit n'allait pas tarder à tomber et la température extérieure devait avoisiner les 15 degrés. En France Maxime aurait pu avoir un sweat sur ses épaules mais en comparaison avec les chaleurs qu'il subissait ici en journée, le temps en ce moment même était bien plus qu'agréable.

Ses échanges avec Noah avaient tendance à le mettre de bonne humeur et Maxime aurait sans doute pu rentrer chez lui avec le sourire aux lèvres si ce n'était à un détail près.

"Et merde." Maxime souffla un long soupir en fixant son paquet de cigarettes vide. Une fouille de toutes ses poches ne lui retourna qu'un briquet, son porte-feuilles et un vieux ticket de caisse. Une image lui revint en tête. Sa main récupérant le dernier paquet de sa cartouche, son cerveau remarquant que c'était étrange qu'il n'en ait pas une d'avance et notant la nécessité d'en racheter une, son parcours depuis la veille et son non-passage par un bureau de tabac.

Il grogna face à son abscence de mémoire. Putain Max, t'abuses. Le nombre de bâtons de nicotine restant dans le paquet sur sa table de nuit pouvait honnêtement être un chiffre pris aléatoirement entre 1 et 10 alors il contempla la distance à son appartement à la distance au prochain endroit pouvant lui procurer des clopes et décida de tenter sa chance en rentrant chez lui.

Après un instant à marcher, il repéra une jeune femme en train de fumer contre un bâtiment qui -si ses souvenirs étaient bons- était associé à l'école du centre. Un sourire s'installa sur ses lèvres alors que Maxime approcha sa sauveuse. "Excusez-moi, vous auriez une cigarette ?"

Emi Burton
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Felicity Sparrow
Felicity Sparrow
LA VEUVE EPLOREE
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♣ métier/études : institutrice, au centre Giving for Africa, elle apprend aux enfants, et certains adultes, à lire et écrire.


MessageSujet: Re: i'm not a jerk all the time, promised + felicity.   i'm not a jerk all the time, promised + felicity. EmptyMar 28 Juil - 17:50





i'm not a jerk all the time, promised
maxime & felicity

Felicity ignorait si les journées lui semblaient être plus longues ici, ou dans son pays natal. La charge de travail n'était, bien sûr, pas la même. Son métier apportait plein de responsabilité : veiller au bien être des enfants, être pédagogue sans trop être sérieuse, savoir preuve de sévérité, mais aussi comprendre les enfants, même le plus silencieux du lot. En Angleterre, les élèves qu'elle avait eu l'habitude d'avoir venait tous plus ou moins d'un milieu moyen, voir souvent aisé. Ils étaient presque tous des enfants sans problèmes, ou quand ils en avaient leurs parents s'en chargeaient. Laissant aux instituteurs seulement la tâche des les instruire. Ici, à Giving for Africa, Felicity s'était retrouvée avec beaucoup plus de responsabilités, et surtout avec des enfants bien différents des petits anglais à qui elle apprenait les tables de multiplications. Pour la plupart d'entre eux, ils découvraient l'école seulement maintenant : analphabètes, mais curieux. Beaucoup, même après des mois de classe, restait méfiant à son égard, c'était comme si une barrière les empêchait de vraiment faire connaissance, d'apprendre à s'apprécier. Elle faisait preuve de patience, c'était presque un don chez elle. Et puis il y avait ces enfants, qui en dépit de peu qu'ils avaient dans leurs vies, avaient beaucoup à donner et avaient accueilli l'Anglaise à bras ouverts. Entre ces deux tempéraments différents, ces gosses à apprivoiser et cultiver, c'était un challenge qui l'occupait assez.

Il était étrange, pour elle, de constater que même si elle était bien, ici, à Johannesburg, elle ressentait parfois le besoin de fumer. C'était une mauvaise habitude qui remontait jusqu'à ses études, quand lorsque ses examens la stressaient trop ou qu'une dispute avec Matthew la mettait hors d'elle, elle avait besoin d'une cigarette. Elle ne se considérait pourtant pas comme une fumeuse, c'était juste occasionnel. Sauf lorsque Matthew mourut. Elle avait alors une bonne raison d'en fumer plusieurs par semaines. Puis elle avait moins ressentie le besoin d'avoir une cigarette entre les doigts, d'inspirer le poisson.

Mais là, en finissant sa journée, elle en avait eu besoin. C'était étrange comme sentiment, elle se sentait juste nerveuse, et même une tasse de thé ne lui suffirait pas. C'est l'impression qu'elle avait. Alors, lorsque le dernier élève fut hors de vue, elle sortit un paquet à demi entamée de son sac. Il était plutôt abîmé, trahissant le nombre de mois durant lesquels il avait été oublié. Et presque à contre cœur – l'idée de craquer lui donnait l'impression d'être faible – elle alluma la cigarette coincée entre ses deux lèvres. Lors de sa troisième bouffée, crachant un nuage de fumée devant son visage, quelqu'un l’interrompit.

Elle tourna légèrement le visage et observa l'homme qui venait de lui poser une question. Elle le reconnut aussitôt. Après tout, comment oublier l'homme qui, peu de temps après votre arrivée, était venu nous incendier à cause d'une bêtise innocente d'un enfant ? Elle aurait aimé pouvoir répondre d'un ton sec « non », mais elle n'était pas de ce genre de personne. On l'avait élevée pour être une personne polie, et ça ne lui correspondait tout simplement pas de mentir. Elle ressortit son paquet et le tendit à l'homme. Elle ne connaissait pas même son nom, mais leur première rencontre lui laissait un mauvais souvenir de lui. Le Français – elle n'était pas certaine mais avait cru percevoir un accent – lui avait alors paru grossier, colérique et intolérant. Elle aurait voulu lui faire une remarque, mais à vrai dire lui n'avait pas semblé la reconnaître. Et Felicity n'était pas certaine de vouloir engager la conversation. Elle aurait pu le faire avec n'importe qui, mais pas lui. Non, elle n'était pas vraiment d'humeur, et la cigarette qu'elle fumait en était la preuve.



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Anonymous
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MessageSujet: Re: i'm not a jerk all the time, promised + felicity.   i'm not a jerk all the time, promised + felicity. EmptyJeu 30 Juil - 0:29

"Merci." Maxime attrapa une cigarette dans le paquet tendu devant lui puis fouilla de nouveau dans sa poche pour récupérer son briquet jusqu'ici dévoué d'utilité. Il porta le bâton de nicotine à sa bouche, inspirant une première fois pour l'allumer et expirant avec un sourire au coin des lèvres. Il aurait pu s'en aller directement mais quelque chose le fit rester et détailler rapidement sa sauveuse. La jeune femme n'avait pas l'air d'être dans un bon jour -ou un bon moment- et en soit, Maxime était probablement la dernière personne de Johannesburg à pouvoir la blâmer d'apparaître aussi froide si elle en ressentait le besoin. Il n'avait pas l'intention de la dévisager mais il ne pu s'empêcher de poser ses yeux sur celle qui semblait être une bénévole pour la détailler un peu plus. Elle avait des traits à qui un sourire aurait sans doute mieux été, au vu de sa tenue et de l'endroit où ils étaient il y avait de fortes chances qu'elle soit institutrice et en se basant sur son physique, elle devait avoir le même âge que Maxime. Un dernier regard sur le visage fermé de l'inconnue et la mémoire de l'ancien ingénieur vint enfin aider ce dernier à faire cliquer les choses dans son cerveau. L'inconnue n'était pas aussi inconnue que ça. A vrai dire, Maxime l'avait rencontré quatre mois plus tôt -le 2 février pour être exact- alors que le bénévole lui avait ramené un élève qu'il avait trouvé en train de traîner sur un chantier dans les bidonvilles. Il avait été odieux. Maxime pourrait sans doute forcer sa mémoire à rejouer la scène dans sa tête si il se concentrait mais il n'était pas très sûr d'en avoir envie. Il n'y avait plus de questions à se poser sur le pourquoi de l'attitude de la jeune femme. Peut-être avait-elle eu une mauvaise journée mais la présence de l'ancien ingénieur à ses côtés devait à elle seule suffire à lui donner envie d'afficher cette expression froide et fermée. Et c'était justifiée, ça, le français en était bien conscient.

Quand il n'était pas de bonne humeur, Maxime avait tendance à se refermer sur lui-même et à ne pas dire un mot. Alors clairement sa compagnie était plutôt pitoyable et désagréable mais au moins il gardait sa bouche fermée. Le jour où il avait rencontré l'institutrice constituait une solide exception. Il n'était pas le plus bel exemple d'homme en terme de personnalité et il le savait. Il entendait encore son père le lui répéter quand il était adolescent. Max, c'est déjà un joli premier pas d'assumer ton sale caractère mais il va finir par te jouer des tours si tu fais pas attention. Il n'avait jamais été s'excuser auprès de l'institutrice, plus par honte qu'autre chose. Il avait moins peur d'affronter des hommes d'affaires capables de lui lancer des chaises à la figure (ce qui en soit n'était arrivé qu'une fois mais sur le coup ça avait été surprenant) que d'aller s'expliquer auprès d'une jeune femme qui ne lui avait strictement rien fait et que lui avait agressé. Ce fait seul en disait long sur sa personne. L'homme ordinairement sûr de lui se sentait gêné et il était certain que ça pouvait partiellement se lire sur son visage. Il ne savait pas exactement par où commencer et il lui fallu un moment pour se reconcentrer. Il porta à sa bouche la cigarette qu'il avait négligé au cours de sa réflexion. Maxime aurait été incapable de dire combien de temps s'était écoulé depuis qu'il avait remercié l'institutrice. Probablement un peu trop même si il pourrait sans doute encore s'en sortir avec un Merci encore, je vous souhaite une bonne soirée. Mais il n'était plus l'homme qu'il était deux ans auparavant, il se devait de rester.

Ils s'étaient clairement tous les deux reconnus et ce serait sans doute presque insultant de vérifier qu'elle était bien la personne à laquelle il pensait. L'institutrice n'avait pas non plus besoin de savoir qu'il ne l'aurait probablement pas abordé si il l'avait reconnu plus tôt, le français avait fait preuve d'assez de lâcheté comme ça. En tant qu'adulte affirmé, il eut au moins la décence de regarder la bénévole dans les yeux quand il lui adressa de nouveau la parole. "Je vous dois des excuses." Bonjour Captain Obvious, on continue. "Je… Je suis peut-être pas conscient du mal que j'ai pu vous faire mais je sais que j'étais aucunement en droit de vous traiter ainsi." Il aurait sans doute pu présenter ses propos de façon à améliorer quelque peu l'image que l'institutrice avait de lui mais il était bien trop honnête pour ça. Il allait finir par se tirer une balle dans le pied si il continuait de parler mais le risque était à prendre. "J'étais pas dans le bon état d'esprit à cause de quelque chose qu'avait rien à voir avec vous ou le petit. J'aurais du laisser le gosse à un collègue et descendre un paquet de cigarettes en évitant de croiser la population humaine. La dernière des choses à faire c'était de vous déverser ma colère dessus. Je suis désolé." Et ces derniers propos ressemblaient bien trop à des essais de justifications à son goût mais c'était trop tard pour revenir en arrière. Il était à deux doigts de lui promettre qu'il n'allait pas recommencer mais c'était la limite à ne pas franchir pour ne pas avoir l'impression d'avoir douze ans et d'être l'un des élèves de l'institutrice. Il espérait qu'au moins le petit garçon qu'il avait ramené avait profité de ses cours et n'avait pas été difficile avec la bénévole. Mais il était encore bien trop tôt dans la conversation pour faire une remarque de la sorte. Il avait besoin de se faire pardonner, pas traiter de mec qui ne savait pas prendre les choses au sérieux.
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Felicity Sparrow
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MessageSujet: Re: i'm not a jerk all the time, promised + felicity.   i'm not a jerk all the time, promised + felicity. EmptyDim 9 Aoû - 11:06





i'm not a jerk all the time, promised
maxime & felicity

Elle avait oublié de quand datait sa dernière cigarette, et elle se sentait presque honteuse d'avoir craqué si facilement. Mais ces sentiments étaient un cercle vicieux qui, au final, lui donnait encore plus envie de porter le fin bâton de nicotine à ses lèvres. La dernière remontait sûrement à l'enterrement de Matthew, ou peut-être avant d'embarquer pour ce nouvel endroit ; elle en savait vraiment rien. Elle recracha la fumée en entrouvrant légèrement ses lèvres, et pensa qu'il n'était plus vraiment important de savoir à quel moment elle avait pu fumer pour la dernière fumée. Et finalement, elle ne sut vraiment s'il était utile pour elle de s'empoisonner, car elle ne sentait pas vraiment de différence. Il aurait été mieux de rentrer chez elle, et de se contenter d'un thé avant de dormir. Pourquoi n'avait-elle pas fait ça ? Elle haussa les épaules stupidement, comme pour se répondre elle-même qu'elle n'en savait rien. Mais maintenant que la cigarette était allumée et d'un tiers consommé, il lui semblait que la gâcher ne changerait vraiment rien à son état. Felicity décida donc de la terminer, seule, et ensuite elle rentrerait.

Puis lorsqu'on lui demanda une de ses cigarettes, elle réprima de lever les yeux au ciel. Tout d'abord, juste par sa voix, elle n'avait pas reconnu l'homme qui l'avait interrompue. Ce ne fut que lorsqu'elle se tourna légèrement qu'elle vit à côté d'elle celui qui, un jour, l'avait engueulée pour si peu. Mais magnanime, elle lui offrit ce qu'il souhaitait, espérant qu'il poursuivrait son chemin. Il n'en fit de rien. Elle reporta son attention sur ce qu'il se passait devant elle : rien. Alors elle fixa un point, elle choisit une fissure sur un mur en face, et elle se fit la réflexion qu'elle avait une forme étrange. Felicity pouvait toujours sentir la présence de l'homme à ses côtés, lui aussi fumant en silence, sauf qu'elle avait également le sentiment qu'il ne regardait pas dans le vide mais que ses yeux étaient posés sur elle. Elle aurait aimé qu'il parte, qu'il se contente d'un « merci » et continue son chemin. Il n'en fit rien. Felicity repensa donc à leur première rencontre – l'avait-il au moins reconnue ? – et au même souhait que son esprit avait alors formulé : qu'il parte. Lorsqu'il s'était défoulé sur elle, pour la bêtise innocente d'un de ses élèves, elle s'était sentie mal à l'aise et incapable de répondre ; il en était de même alors qu'il fumait silencieusement à ses côtés. Peut-être devait-elle partir d'elle-même ? Oui, c'était ce qu'il y avait de mieux à faire, pensa-t-elle. Elle retira la cigarette de sa bouche et allait lui souhaiter platement une bonne soirée avant de se diriger vers son petit logis, mais il parla le premier.

Et elle fut surprise de ses mots. Elle fronça les sourcils en l'écoutant s'excuser. Felicity avait dû mal à croire ce qu'elle entendait : il s'excusait. Il l'avait donc reconnue et il était désolée. Elle porta doucement la cigarette à ses lèvres, tout en l'écoutant. Felicity n'était pas vraiment rancunière, et ce genre d'excuse était suffisante à ce qu'elle passe à autre chose. Elle fonctionnait avec les adultes, comme elle le faisait pour ses élèves : faute avouée, faute à moitié pardonnée. Elle ne connaissait de lui que la colère qu'il avait craché sur elle, il y avait quelques mois. Aujourd'hui, elle le découvrait différemment :un ton plus posé, des mots qui révélaient autre chose que du venin. Elle porta la cigarette dessus à sa lèvre et tira dessus, s'accordant quelques instants pour réfléchir à ce qu'elle pouvait répondre. Elle aurait très bien pu partir, comme elle l'avait d'abord décidé, ne lui laissant aucune seconde chance, mais elle se sentait déjà un peu mieux, comme si les excuses de l'homme avait un quelconque effet sur elle.

« Ce n'était rien. Enfin, je veux dire que c'est du passé, pas besoin de revenir là-dessus. Tout le monde peut avoir des mauvais jours... » lâcha-t-elle finalement, après un léger nuage de fumée. Elle-même savait très bien que certains jours n'étaient pas agréables pour elle, un en particulier était marqué. Et lorsque cette date arriverait pour la première fois, cette année, elle n'était pas encore certaine de savoir comment elle se sentirait. Elle n'était pas certaine de vouloir le découvrir. Felicity ignorait les raisons de ce mauvais jour pour l'inconnu, et elle ne comptait pas lui demander. Il s'agissait sûrement d'un événement trop personnel pour qu'il fusse dans et état ; et qui était-elle pour lui poser la question ? Alors elle soupira, et ajouta : « Mais des excuses, c'est bien. » Son on s'était radouci, comme celui qu'elle utilisait souvent avec des enfants. C'était inconscient. Elle se sentit alors plus ouverte à la discussion, et il était presque agréable de ne pas fumer en silence. Elle songea à ce qu'elle pouvait dire, et une seule chose lui traversa l'esprit. « Vous travaillez ici depuis longtemps ? » C'était sûrement la question la plus banale qu'elle posait à chaque fois qu'elle rencontrait quelqu'un dernièrement.



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