noah le pauvre choupinou a écrit:

Il n'y avait rien de rationnel dans ses propos, c'était simplement sa souffrance qui s'extériorisait de la pire des manières, contre le seul ennemi qu'il avait: Noah. Ils n'osaient pas l'avouer mais ils avaient tous les deux la même façon d'agir. De se comporter depuis la mort d'Anna. Ils avaient commis une unique erreur: aimer la même femme. Une femme qui avait causé leur perte. Certaines personnes avaient naïvement pensé que le drame suffirait à les rapprocher, c'était tout le contraire qui s'était produit. Le meurtre de la brune avait causé encore plus de dommages, il avait brisé toutes les fondations encore solides. Le semblant d'affection entre eux avait été détruit dès lors qu'Anna avait cessé de respirer.

Vilaine Anna

Genre Anna a choisit de crever elle fait chier tout le monde en fait ( je vais me cacher avant que Siobhan débarque )

Tout ça c'est de la faute d'Anna franchement

Franchement ? Franchement allez brûler en enfer tous les deux ! (bien sûr, je parle au nom de Siobhan envers Neavaeh parce que personne ne touche à ma fille )
Anna est une fille bien et vous l'avez tous brisés, vous êtes tous les méchants, nah !

Pas Joos

En vrac parce que je n'ai pas encore rattrapé toutes mes lectures ^^'

La tatie adorée de Euphie a écrit:

Pendant des années, Arabella avait eu l'impression d'être une étrangère dans la famille de sa sœur. Principalement parce qu'elles se voyaient qu'une fois par année, deux fois, si son train-train quotidien le lui permettait, bien que c'était relativement rare. Ses neveux étaient toujours plus qu'excités de la voir, comme si on leur avait donné une tonne de chocolat juste avant son arrivée. Malgré tout, jamais la rouquine n'avait eu la complicité qu'avait Fitz avec eux.

Topic avec Fitz

Euphie serait trop triste de savoir que sa tante pense ainsi ! Elle l'admire beaucoup et ça ne la dérange pas de ne pas l'avoir beaucoup vu auparavant (remarquez, Euphie n'aime pas les conversations, ça joue XD). Mais elle adore son parrain aussi <3

Toujours la tatie adorée de Euphie a écrit:

Arabella s’éloigna du père et de la fille, allant ranger ce que son neveu avait un jour appelé des instruments de torture dans sa mallette. C’était le souvenir d’une époque beaucoup plus lumineuse, d’une époque où les choses étaient moins compliquées. Priam n’était pas ce garçon rempli de colère, Euphemia n’était pas l’enfant froide qu’elle était aujourd’hui, Logan était l’homme au sourire charmeur qu’elle avait taquiné si souvent.

Topic avec Logan

Pour ce qui est de Priam c'est sûrement vrai, mais en ce qui concerne Euphemia, elle n'a jamais respiré la joie de vivre XD Cela dit, lors des réunions de famille, elle est sûrement plus chaleureuse que lorsqu'on la voit tous les jours ^^ (et pauvre petite Lyn qui a de la fièvre )

Le papounet chéri a écrit:

Redressant l’enfant de le creux de ses bras, le père de famille suivi le pas de la rouquine, la laissant faire comme chez elle. Après tout, elle l’était d’une certaine façon. En silence, il tira le petit couffin de la petite dernière, déposant ce dernier à côté de lui, il déposa Lyn en compagnie de sa peluche favorite. Néanmoins, ses doigts ne souhaitaient aucunement se délier de ceux de l’enfant. Ce fut la voix douce et fluette de la rouquine qui effaça le sourire paternel du soldat. « Où sont Euphie et Priam? » Une question anodine, simple. Blessante pour Logan. Il ignorait tout de ses enfants, le pire était certainement son fils, son seul fils, qui lui mentait jour après jour sans aucun remord. Son cœur se compacta violemment.

Topic avec Arabella

*sors les menottes* On va le dompter le Priam mwahahaha. Et à part ça => C'est triiiiiiiste

Tatie encore ! a écrit:

Elle ne se dégagea pas pour autant, du moins, pas sur le coup. Elle laissa l'information se fondre en elle sans bouger. Ce fut lui qui se dégagea en premier et elle laissa ses bras retomber le long de ses flancs comme si elle ignorait quoi en faire soudainement. Ses prunelles ne quittaient pas la silhouette du soldat, alors que son cerveau essayait de se remettre en marche. « Tu as.....? » Elle ferma les paupières, enfouit son visage dans ses mains avant de glisser ses dernières dans sa toison de feu. Elle ne savait pas comment réagir, quoi dire. Les mots restaient coincés dans sa gorge, une gorge qui se nouait petit à petit alors que des larmes naissaient derrière ses prunelles sans qu'elle ne sache pourquoi. Le meurtrier le méritait, c'était un fait, mais Logan ne pouvait pas se faire justice comme ça, il ne pouvait pas se noyer dans la violence. Mais ça, elle ne savait pas comment lui dire. Elle se contenta de secouer la tête en fermant les yeux, comme si chaque parcelle de son corps refusait la dure vérité.

Topic avec Logan

Noah <3 a écrit:

Jamais, il n'avait vu Joos si énervé. Ses traits étaient tirés sous l'effet de la colère, ses yeux étaient animés par une étrange lueur. « Tu m'expliques de quoi tu parles ? Oui je suis dégoûté de te voir mais ça s'arrête là. » Surpris de le voir ici, il haussa les sourcils avant d'entendre la fin de sa phrase et de comprendre. Il savait de quoi il était question: de l'incendie qui avait calciné l'habitation de Joos. Dès le début, n'ayant jamais caché son aversion envers son cousin, Noah avait été le suspect. Avec la facilité qu'il avait à s'énerver, à perdre le contrôle de lui-même, il avait tout du coupable idéal alors pour se sortir de ce pétrin dans lequel il s'embourbait, il n'avait trouvé qu'une solution: mentir. Un mensonge par omission qui le rendait aussi gris que des cendres. Comment pouvait-il lui expliquer de quoi il était réellement question ? Comment pouvait-il avouer la vérité sans apparaître comme le principal suspect ? Pourtant, il n'était pas responsable, ce n'était pas lui qui avait fait ça.

Topic avec Joos

Bon, Lucy va se faire toute petite et ne pas se mêler de tout ça. La psychologie a ses limites et les deux cousins sont vraiment trop furax l'un contre l'autre XD le topic est très fun à ce niveau d'ailleurs (même si je plains sincèrement les persos).

Noah avec mwa a écrit:

« C'est compliqué, très compliqué à expliquer. Mais libre à toi de continuer à le voir, je ne t'en voudrai pas si tu le fais ne t'inquiètes pas. Le problème est entre lui et moi, tout simplement, il n'y a pas besoin d'inclure d'autres personnes dans l'équation. » déclara-t-il avec un sourire sincère. Lucy n'était pas la première à fréquenter les deux hommes. Il y en avait eu des individus tentant d'apaiser les conflits entre les deux cousins, en prêchant la bonne parole chez l'un et chez l'autre. En vain. Ils n'avaient jamais réussi à les réconcilier, car il était impossible pour eux de passer outre tous les obstacles se tenant devant eux. Ils ne pouvaient plus redevenir proches.

Topic avec Lucy

En bref, l'Afrique du Sud risque de ne pas être assez grande pour tout ce petit monde

moww t'es trop mignonne Lucy de nous citer ♥
D'ailleurs promis je te réponds vite avec Logan avec les partiels je me suis laissée submerger de sujets T.T

L'Afrique du Sud est beaucoup trop petite pour Joos & Noah . Même si on a pitié d'eux, ce sujet est trop drôle en soi
Et Lucy a raison de ne pas s'en méler, elle risquerait de le regretter vu les deux cousins

noachou a écrit:

« Deux filles canons comme nous... Je crois qu'on va faire des ravages ce soir. » J'espérais bien, et j'espérais surtout en faire auprès d'elle, des ravages. Cette fille était... Spéciale. Drôle, mystérieuse et particulièrement attirante.

J'espère bien

Maddy la vilaine a écrit:

Il n’avait plus grand-chose du Noah qu’elle avait connu et bien qu’elle ne l’avouerait pas, elle était quelque peu déçue. Elle craignait surtout qu’avec tous ces changements, ils ne parviendraient jamais à se retrouver. Qu’ils étaient devenus trop différents pour vivre cette belle amitié qu’ils avaient vécue par le passé. Qu’ils ne parviendraient pas à retrouver ce qu’ils avaient laissé derrière eux il y avait si longtemps maintenant. Elle n’avait jamais été du genre pessimiste, mais à cet instant, elle ne pouvait taire ces différentes questions qui passaient dans son esprit. Et si. Et si ces retrouvailles n’avaient finalement rien à avoir avec ce qu’elle avait voulu pendant toute son adolescence. Et si, même s’ils s’étaient physiquement retrouvés, ils n’arrivaient plus à se retrouver sentimentalement parlant ?

Mais euh mensonge il n'a pas tant changé que ça

Maddy la chou a écrit:

Son visage s’était soudain assombri et un voile de tristesse barrait ses prunelles. Malgré les années passées, elle était forcée de constater qu’elle parvenait toujours à lire sur son visage, que les expressions sur sa jolie bouille n’avaient pas de secrets pour elle. Et à cet instant, c’était la douleur d’un homme qu’elle pouvait lire sur ses traits, dans ses yeux. Elle comprit alors qu’il avait traversé des choses bien difficiles ces dernières années, des choses qui l’avaient changé, qui avaient volé son innocence. C’était probablement pour cette raison qu’il s’était comporté comme un con avec elle. La vie avait été une belle garce avec lui, l’avait bousculé et il avait appris à se protéger comme il le pouvait. Lui adressant un sourire timide, elle s’efforça de l’écouter, comme elle l’aurait fait des années plus tôt, quand ils n’étaient que deux enfants se confiants leurs craintes et leurs cauchemars.

Elle est trop mignonne avec lui Maddy

Logan qui va me faire pleurer a écrit:

La réaction du soldat, fut dans un instinct de protection de projeter son corps contre le mur, d’y prendre appuie afin de ne pas s’écrouler, de ne pas s’effondrer sous l’avalanche de souvenirs qui se projetaient sous ses yeux blafards. L’espace d’un instant, il n’osa pas trancher le silence, réduire cette distance qu’il pensait mériter. Ce fut elle, elle et cette voix bouleversée qui l’affligea de mille coups de couteau. « Tu as.....? » Le veuf releva son visage, observant les mains de la doctoresse qui venait d’engloutir son beau visage à la peau laiteuse. Le cœur du soldat se déchiquetait en morceau et pourtant dans un geste surréaliste, il s’approcha d’elle, en douceur. Entourant ses mains sur les siennes, il la força à le regarder, ancrant ses pupilles azures dans celles de la rouquine. Et ça faisait mal. Atrocement mal. Et pourtant, les battements assourdissants que lui infligeait son muscle cardiaque lui hurlait de parler, de noyer ce verre pilé qui se trouvait bloqué dans le creux de sa gorge. « Arabella. Je ne voulais pas faire ça, je ne veux pas te faire souffrir, mais s’il te plaît, haïs moi, insultes moi, traite moi d’assassin, mais ne fais pas ça… » Cette voix rauque qui émanait de lui, qui s’infiltrait au milieu de cette barbe grise implorait cette femme, il l’implorait, il la suppliait de ne pas lui tourner le dos. «  J’ai besoin de toi…j’ai besoin que tu comprennes pourquoi je ne serais plus jamais moi… » Etouffé, cette voix rauque fit échos une dernière fois dans un « pitié » pitoyable, lamentable, tandis que sa tête tomba lourdement sur l’épaule de la rouquine, un visage qu’elle pouvait choisir de rejeter, de fuir, ou d’accepter tel qu’il était dans sa beauté, dans sa monstruosité.

T'a fini de me faire chialer, oui?

Leïla la tristounette a écrit:

Leïla et Maxyne c’était une histoire qui datait de l’école maternelle et des couches culottes, des princesses aux pouvoirs magiques et des rêves inachevés de petites filles. Leïla avait toujours pensé connaître Maxyne autant qu’elle se connaissait elle-même, elle avait toujours vu en Maxyne une femme qui se refusait d’aimer les hommes. Sans doute à cause d’un père qu’elle avait trop idéalisé et qui l’avait brisé avec ses mensonges et ses crimes atroces. Leïla était frappée par l’ignorance qui s’était instaurée entre les deux jeunes femmes, particulièrement à cause d’elle-même et de la distance qu’elle avait mise entre le monde qui l’entourait et ce qu’elle était devenue. Une femme rongée par la culpabilité qui avait essayé de cacher les marques que lui infligeaient Cooper, à elle-même, à sa famille, à Maxyne et même à Cameron qu’elle aimait tant. Ainsi, face à ce soldat qui se languissait d’amour pour la jeune assistante sociale, Leïla comprenait ce qu’allait probablement ressentir la petite brune qui l’avait accompagnée toute son enfance lorsqu’elle apprendrait toute la vérité sur le chaos qu’était devenue sa propre vie depuis la mort de son fils. Cette pensée lui était douloureuse, aussi douloureuse qu’une opération à cœur ouvert sans anesthésie.

Elle connait trop bien Max, Leï! Et elle est trop triste, c'est pas humain ton truc! En plus, elle les imagines déjà avec des gamins et tout, non mais! On se calme, tu veux?!

Hylan le coquin a écrit:

« Pour le moment… je crois j'ai une meilleure idée. » murmura-t-il alors qu'un sourire étirait déjà le coin de ses lèvres. Lorsque le visage de Maxyne arriva à sa hauteur, le jeune homme lui offrit un baiser langoureux avant de se décaler légèrement sur le lit pour lui laisser la place de le rejoindre en soufflant un :  « Viens… » du bout des lèvres. Innocemment, se laissant porter par cette sorte de fièvre qui l'envahissait à chaque fois qu'il frôlait Maxyne, Hylan laissa glisser sa main libre sur la hanche de la jeune femme. Il profita alors de ce t-shirt bien trop grand pour elle pour insinuer ses doigts sur la peau douce et chaude de l'assistante sociale, provoquant du même coup une sorte de décharge électrique qui le fit frissonner de nouveau. Se délectant de ces sensations si agréables, de ce moment hors du temps qui lui rappelait leur tout premier baiser échangé au cœur du parc désert dans lequel il avait entrainé Maxyne, le militaire plongea son visage dans le coup de la jeune femme pour y déposer une myriades de baisers plus délicats les uns que les autres.

Coquin, va!

Sandro la guigne a écrit:

Un énième oiseau piaillant, ainsi posé sur une branche, deux-trois mètres au-dessus. Puis s'arrêtant brusquement de faire du bruit, tournant la tête de part et d'autre, et prenant soudainement son envol. Tout en lâchant une superbe déjection.
Qui atterrit tout droit sur l'épaule de Sandro.

Ce passage m'a juste fait trop rire, voilà voilà

Pauvre bébé Sandro a écrit:

Il ne s'imaginait plus vivre sans cette colère, sans cette rage, sans ce besoin de cogner quelque chose pour soulager cet incendie qui le consumait de l'intérieur, brûlant de plus en plus, jusqu'à prendre possession de son esprit, sans que Sandro ne puisse rien y faire. Une telle souffrance, laquelle il essayait en vain d'étouffer. Et ce lieu, si doux, si paisible, lui offrait un répit dont il avait besoin, pour se ressourcer. Faire le vide. Et respirer.

Trop de tristesse !
En tout cas j'aime beaucoup la plume de Sandro, et toute sa réponse est parfaite

Declan qui me brise le cœur a écrit:

On pouvait détruire avec des mots. Declan en avait fait l’expérience des années plus tôt et en avait souffert le reste de son existence, alors même qu’il avait été l’énonciateur de ces mots, celui qui blessa, celui qui brisa, celui qui tua. Dans le même temps, il avait perdu un ami et un frère. Et pourtant. Et pourtant, il n’était pas la victime dans cette histoire. Il était le bourreau. Un bourreau terrassé par les remords mais restant un bourreau. Il était celui à blâmer, non celui à plaindre.

Mais c'était qu'un gamin

Declan qui me brise le cœur bis a écrit:

Ce jour-là, alors que son moral était au plus bas et qu’une migraine carabinée lui vrillait la tête douloureusement, les yeux étaient présents devant ses yeux clos, le considérant gravement. Ils apparaissaient toujours lorsque ses remparts tremblaient, que sa détermination vacillait, que la vulnérabilité le submergeait un instant. Il était toujours extrêmement dur de les repousser de façon temporaire. Dans ces moments là, la culpabilité l’étouffait, et le dégoût qu’il éprouvait de lui-même était difficile supportable.

Le bébé Faut venir voir Reed dans ce cas, il lui changera très vite les idées

Pff ce n'est que le début du rp Declan/Sandro, je sens que vous allez me tuer

Felicity Sparrow a écrit:

La conclusion de Maxyne pour I can't help falling in love avec Hylan est parfaite, en tout point, trop d'amour pour vous deux

J'avais pas vu, mais merci mon petit coeur! En plus, j'ai trop pensé à toi quand je l'ai écrite

Ma Bex d'amour a écrit:

Amusée, la jeune femme ne put s’empêcher de penser à Andrew. S’il avait été là, elle était certaine qu’ils auraient fait exactement la même chose. Ils se seraient éclipsés pour pouvoir discuter, pour faire une visite bien plus joyeuse, bras dessus bras dessous. A cet instant, elle se rendait compte à quel point il lui manquait. Soupirant, elle s’efforça de chasser cet homme de ses pensées, pour se concentrer sur le bon côté des choses.

Allez, faites des bébés!

Maaaw


Siobhan & Alejandro, ils vont faire de bêtises

la Bonnie de GFA a écrit:

Il faut dire que Siobhan avait tenu tête à son meilleur ami plus d'une fois pour ce qui était de venir ici, elle avait trop besoin de cette vérité. Aujourd'hui, c'était son carburant et son oxygène, la raison valable de rester en vie. Elle avait besoin de ça pour donner un sens à son existence, elle avait besoin de cela pour donner un sens à la mort d'Anna...

J'ai envie de la prendre dans mes bras et de lui faire un câlin

le Clyde de GFA a écrit:

Enfin lui, il s'en moquait. Sa vie n'avait plus d'importance. Qui irait pleurer sa mort? Plus personne. Mais pour Siobhan, c'était tout autre chose. Rien que pour ses parents, ils ne pouvaient prendre le risque. Ils avaient perdu une fille, tuée, ils ne pouvaient en perdre une deuxième. Et puis, lui, ne voulait pas perdre sa meilleure amie ; il tenait trop à elle.

Mais c'est trop triste et mignon à la fois. Je veux le même BFF.

J'aime trop de début de rp, j'ai hâte de lire la suite

Oh, merci Feli <3.

Non, non, Sio et Alej ne vont faire aucune bétise . Ce n'est pas de leur genre ça .

Les Bonnie & Clyde de GFA va falloir qu'ils se calment un peu là . D'ailleurs j'ai hâte de pouvoir interrompre la Bonnie

Becky la mignonne a écrit:

Perdue, elle l’était encore d’avantage de savoir son meilleur ami si loin d’elle. Depuis qu’elle le connaissait, Rebekah était tout bonnement incapable de faire quoi que ce soit sans en parler avec Andrew. Pourtant, c’était sans le consulter qu’elle avait sauté dans le premier avion pour Johannesburg et c’était par email qu’elle avait fini par lui annoncer son départ. Aujourd’hui plus que jamais, sa présence était nécessaire à ses côtés, pourtant il était bien loin d’elle. C’était son choix, évidemment, mais à chaque instant, quand les choses étaient difficiles à vivre pour elle, elle se demandait ce qu’il aurait pu lui dire, pour lui remonter le moral. Penser à Andrew était pour elle un excellent moyen de ne pas perdre la tête. Soupirant finalement, elle posa sa tasse à côté de l’évier et se retourna pour s’adresser à sa jeune sœur, qui l’avait suivie jusqu’à Johannesburg, sans qu’elle ne comprenne pourquoi, aujourd’hui encore, elle avait donné son accord pour cela.

. Les meilleurs choupis du monde
Par contre le Drew en moi n'approuve pas du tout le RP lancé par William

Fitz qui aime encore Shay a écrit:

La voir me semblait irréaliste. J'avais pourtant imaginé cet instant maintes et maintes fois, mais le vivre était bien différent. Mes pensées s'embrouillaient et se chamboulaient, je ne savais plus quoi penser, quoi dire ou encore quoi faire. Je restais planté devant elle à la regarder sans prononcer un mot. Je pensais avoir fini par accepter son départ, accepter le fait que je ne la reverrais plus, mais une fois mon regard plongé dans le sien, je me rendais compte que son absence avait crée un vide en moi. En réalité, ma vie avait continué à tourner autour d'elle. Je n'avais jamais cessé d'espérer qu'elle revienne, j'avais passé les huit dernières années à l'attendre. Elle avait été la seule à me faire sentir de la sorte. Avec elle, j'avais l'impression d'avoir de l'importance, d'être compris, de ne pas être juste ce gars qui erre sans savoir où il va tout en grommelant, mais d'être un peu plus. Rien n'avait jamais été simple pour elle.

C'est trop chou mais trop triste

Logan qui me fait de la peine a écrit:

Le cœur du soldat se déchiquetait en morceau et pourtant dans un geste surréaliste, il s’approcha d’elle, en douceur. Entourant ses mains sur les siennes, il la força à le regarder, ancrant ses pupilles azures dans celles de la rouquine. Et ça faisait mal. Atrocement mal. Et pourtant, les battements assourdissants que lui infligeait son muscle cardiaque lui hurlait de parler, de noyer ce verre pilé qui se trouvait bloqué dans le creux de sa gorge. « Arabella. Je ne voulais pas faire ça, je ne veux pas te faire souffrir, mais s’il te plaît, haïs moi, insultes moi, traite moi d’assassin, mais ne fais pas ça… » Cette voix rauque qui émanait de lui, qui s’infiltrait au milieu de cette barbe grise implorait cette femme, il l’implorait, il la suppliait de ne pas lui tourner le dos. «  J’ai besoin de toi…j’ai besoin que tu comprennes pourquoi je ne serais plus jamais moi… » Etouffé, cette voix rauque fit échos une dernière fois dans un « pitié » pitoyable, lamentable, tandis que sa tête tomba lourdement sur l’épaule de la rouquine, un visage qu’elle pouvait choisir de rejeter, de fuir, ou d’accepter tel qu’il était dans sa beauté, dans sa monstruosité.

Le Logan/Bella c'est trop douloureux pour mon coeur

Noah L. Mansfield a écrit:

Les Bonnie & Clyde de GFA va falloir qu'ils se calment un peu là . D'ailleurs j'ai hâte de pouvoir interrompre la Bonnie

Pas touche à Bonnie !!

Leila la mignonne a écrit:

Lorsqu’on touche le désespoir du bout des doigts, rien ne peut sauver l’âme humaine. Du moins c’était ce que pensait la jeune Leïla, lorsqu’elle pensait à son fils, son mariage et sa carrière. Là-bas, loin de l’Afrique, lorsqu’elle dansait chaque nuit avec les poings de Cooper, elle croyait à juste titre que personne ne pourrait la sortir de son cercle infernal. Pour cela, pour qu’elle puisse accepter l’aide d’une personne qui ne saisissait pas ce qu’était la perte d’un enfant, il fallait qu’elle-même accepte le fait de n’être en aucun cas la fautive, la coupable, celle qui serait jugée et envoyée en enfer. Et puis, Cameron était arrivé, comme à son habitude, il avait réussi à la rassurer, la convaincre qu’elle méritait mieux, qu’un nouveau départ était possible. Que certes, elle ne pourrait complètement se remettre de la mort de son fils, mais qu’en tant qu’être humain, elle méritait un nouveau souffle. Il avait réussi à lui faire comprendre que rien ni personne ne pourrait plus la protéger d’elle-même et des autres que lui-même en était capable. Et lorsqu’elle posa le pied sur le sol chaleureux du continent aux lions, elle s’était demandé si au fond d’elle-même elle n’avait pas désiré sa présence. Si tout au fond de son cœur, ses sentiments paradoxales pour l’africain n’étaient pas réapparu en même temps qu’il l’avait fait sur le seuil de sa porte New-Yorkaise. L’amour qu’elle lui avait porté dans sa jeunesse, était quelque chose qu’elle cherchait à refouler, quelque chose qu’elle considérait comme honteux, déviant. Aimer son frère d’un amour désirable ne pouvait lui être autorisé. Si jadis, elle avait réussi à tourner la page, si sa vie et sa carrière l’avait mené loin des bras du métisse aux yeux couleurs océans, elle n’aurai su dire si aujourd’hui elle ne désirait pas plus qu’une simple relation fraternelle. La jalousie qui la secouait de part en part chaque fois qu’elle le croisait avec la jolie Lauren, jeune femme qu’elle-même appréciait, lui rappelait que le passé finissait toujours par venir vous hanter. Les sentiments ne sont pas de simples objets qu’on rejette et qu’on oublie, ils sont vivaces, sournois et aujourd’hui en était la preuve.

Tout ce passage

Ooooh, mais j'avais pas vu que j'étais citée ! C'est trop, trop, trop,trop, trop,trop,trop mignon d'ailleurs faut que je rattrape tout mon retard dans vos sujets

Bébé Reed a écrit:

S’il y avait une chose que Reed aimait par-dessus tout chez ce bout de femme, c’était son rire. A vrai dire, c’était la tout première chose qu’il avait entendu lors de leur rencontre alors qu’elle se moquait ouvertement de lui. Il était tombé amoureux de ce rire mélodieux, ne souhaitant que l’entendre encore et encore. Et être responsable de ce son adorable ne le rendait que plus fière. Il ne souhait que le bonheur et la joie pour son amie, et pouvoir lui apporter lui gonflait le cœur.

Mhaw, trop de choupitude

Reed le tombeur a écrit:

« Personne pour nous faire de l’ombre. Et puis dans cette robe tu es absolument sublime, c’est plutôt moi qui vais me pavaner la tête haute à tes côtés. Ils vous tous crever de jalousie » ajouta-t-il avec un sourire espiègle bien qu’il pensait tout à fait chacune de ses paroles. Magdaléna était plus qu’une belle femme, elle était dotée de mensurations parfaites qui faisait tourner les têtes des hommes.

Reed qui parle du Cleed l'air de rien a écrit:

« Oh si ! Il y a bien une chose qui s’est passé dans ma vie il y quelques jours. J’ai rencontré le plus joli petit cul qu’il m’ait été donné de voir, et tu sais quoi ? Je n’ai pas seulement fais que mâter » souffla-t-il comme un secret, un sourire satisfait et coquin plaqué sur le visage. Juste une pensée pour cet inconnu avec lequel il avait partagé un moment charnel lui donnait chaud. Cette délicieuse sensation de chaleur l’envahissant alors que des images refaisaient surface dans sa tête, mais il chassa aussi rapidement que possible ces pensées incongrues en rougissant légèrement, comme si Maddie avait pu le prendre sur le fait.

Mourir, mourir, mourir

C'est qu'il l'aime sa petite Maddie d'amour
Mwaahaha je savais que tu réagirais sur cette phrase C'est vrai qu'elle est canon quoi, même si elle est pas assez poilu à son goût
Et j'ai parlé du Cleed ? Moi ? Où ça ? je ne vois pas du tout de quoi tu parles Ca pourrait être quelqu'un d'autre ce joli petit cul, comme je sais pas... Noah

Je suis contente si ma réponse te plait en tout cas choupinette

Le Cleed ça devient chaud

Reed a écrit:

Une douce chaleur commençait à naître dans son bas ventre alors que les caresses de son amant éveillaient tous les sens de l’infirmier. Il se laissait aller contre le mur qui l’empêchait de s’effondrer, la tête légèrement penchée en arrière et les lèvres entrouvertes. Plus il restait à la merci de ce délicieux plaisir qu’il lui offrait et plus le brasier s’étendait dans tout son être. Il brulait littéralement de désir ne faisant que raviver son besoin de lui. Son souffle erratique courait contre la peau de l’autre homme, juste sous l’oreille là où un instant plutôt Reed y avait déposé des baisers brûlants, sa langue goûtant à cette peau qui l’enivrait.

Dede a écrit:

Il y avait quelque chose d’étrangement fort, dans cette union. Quelque chose de profondément intense, de destructeur mais aussi de fondateur. Pourtant, il n’y avait rien de très beau ou de très ordonné. C’était chaotique, décousu, pressé, et presque étouffant, comme s’il y avait urgence, crainte, panique. Que ça aille trop vite ou pas assez, que ce soit trop ou trop peu, une erreur comme une bénédiction, quelque chose d’implacable et d’inaltérable.

Vous me tuez, c'est trop parfait

Je rattrape doucement mon retard dans vos rps, les gars. J'ai trop à lire, vous écrivez trop (mais continuez comme ça )

T'es choupi Feli merci

(et chaud? je vois pas de quoi tu parles )

Je sais pas, ça doit être le temps ici qui me donne chaud