maddy la parfaite a écrit:

Dans cette étreinte qu’elle lui offrait, elle rappelait à eux cette innocence qui les avait toujours unis, qui avait toujours tout rendu si naturel entre eux. Rien n’avait jamais été interdit, tout avait toujours semblé si naturel, si normal. Et à cet instant, tandis qu’ils s’enlaçaient en souvenir du bon vieux temps, elle avait cette même sensation que lorsqu’ils étaient enfants. Elle avait retrouvé cet ami en compagnie de qui elle se sentait si bien. De ses mains l’entourant, il lui donnait la sensation de la protéger, qu’elle était totalement en sécurité. Un doux sentiment de nostalgie l’envahit, tandis que les battements de son cœur reprenaient un rythme plus régulier, plus calme, son souffle s’apaisant à mesure que les secondes s’écoulaient. Elle se sentait bien ainsi et ce sentiment de plénitude l’envahissant la troublait.

maddy la nostalgique a écrit:

Aujourd’hui, il était là devant elle, en chair et en os et elle avait du mal à le réaliser. Il avait tellement changé et ce n’était pas seulement physiquement. Jamais avant, le Noah qu’elle connaissait n’aurait parlé comme ça à une jeune fille. Elle se souvenait de lui tel un gentleman de petite taille, qui la raccompagnait chez elle le soir après l’école et qui lui tenait la porte quand elle avait les mains pleines de livres. Il était ce petit être toujours poli et respectueux, ce petit garçon terriblement gentil auquel elle s’était attachée sans grande peine. Désormais, il semblait avoir un caractère bien plus prononcé, bien plus volcanique. Pourtant dès l’instant où il avait prononcé son nom, elle avait su que c’était lui. Il y avait toujours ce petit quelque chose dans son regard. Cette étincelle de joie et d’innocence qui semblait s’être atténuée avec les épreuves des années. Il avait toujours ce petit sourire moqueur qu’elle avait toujours tant aimé. Ces petits détails qui ne trahissaient pas ce qu’il avait été, quand bien même il était bien différent aujourd’hui. Elle l’avait retrouvé. Elle avait promis de revenir, mais c’est lui qui l’avait retrouvé. Ou le destin c’était peut-être joué d’eux, les remettants sur la même route pour qu’ils finissent à nouveau par s’entraider, comme ils le faisaient quand ils n’étaient que deux enfants. Il y avait tant de choses qu’elle aurait voulu dire, tant de choses qu’elle aurait voulu faire. Des années étaient passées et pourtant, elle était incapable de parler. Sous le choc, elle ne parvenait pas à prononcer le moindre mot, partagée entre la joie de le retrouver et la déception qu’il soit devenu cet homme qui lui avait balancé tant de mots blessants au visage. La joie prenait le dessus dans la lutte de son esprit, mais elle ne parvenait toujours pas à parler. Elle n’avait pas la moindre idée de ce qu’on était censé dire à quelqu’un que l’on n’avait pas vu depuis si longtemps. Ils n’étaient plus ces gamins se cachant dans les buissons pour manger du chocolat ou construisant des cabanes sous un bureau avec l’aide de couvertures. Aujourd’hui ils étaient des adultes, ils avaient une vie d’adulte.

maddy la mignonne avec reed a écrit:

Reed était pour Magdaléna une totale évidence. Il avait ce petit quelque chose de particulier, ce petit quelque chose qui lui prouvait qu’elle pouvait avoir confiance en lui. Depuis le premier jour où elle l’avait rencontré, elle avait su qu’ils étaient faits pour être amis.

c'est trop chou . Même si Noah est un peu jaloux il m'a dit

maxyne la chou a écrit:

Sa main glissa sur son torse jusqu’à ce qu’elle puisse venir pressée ses lèvres contre son propre poignet, incertaines, terroriser à l’idée qu’il puisse mal interpréter ses paroles. Ses doigts se crispèrent un peu plus contre les siens, sans le quitter du regard, inconsciente du fait que positionner ainsi, le jeune homme devait sentir chacune de ses courbes contre lui, inconsciente du supplice qu’elle pouvait lui faire ressentir. Elle était trop dévorée par la crainte de n’être rien d’autre qu’un jeu pour lui, un trophée bien brillant qu’il pourrait brandir devant ses amis, tout en étant assourdi par les battements chaotiques de son cœur qui ne semblait pas vouloir se calmer.

Hanw pauvre Maxyne . Faut dire ça à Noah, il arrêtera ses défis avec Hylan

hylan le mignon a écrit:

Sentant les battements de son cœur accélérer encore davantage, Hylan prolongea son baiser avec un peu plus de fougue. Après quelques secondes d'échange, il prit même l'initiative de faire pivoter la jeune femme pour se placer au-dessus d'elle, et ainsi prendre le contrôle de la situation. En premier lieu, il mit cependant un terme à leur baiser en souriant légèrement, et en plantant son regard dans celui de Max. «Tu vois, tu es réveillée… et je suis toujours là. » Et elle était là aussi, prouvant du même coup au militaire que lui non plus n'était pas en train de rêver.

Hylan il est trop chou

Coop le déterminé a écrit:

Tout comme il avait été incapable de signer ces fameux papiers pour la demande de divorce. Oh bien sur il avait essayé, maintes et maintes fois mais dès que le bout du stylo entrait en contact avec la fine feuille blanche, ce dernier traversait la pièce avec toute la force que pouvait posséder son bras.

Coop le papa brisé a écrit:

il passa la majorité du vol, le regard posé sur cette photo d’eux trois. Leïla, William et lui. Tout trois souriant, enlacés, après avoir passée cette journée en famille au zoo, se souvenant même de la façon dont William avait réussi à caresser le lémurien sans qu’il ne prenne peur, lui seul d’ailleurs avait réussi. La dernière photo avant le drame. La dernière qu’il chérissait autant que sa propre vie. La dernière qui... Ses yeux se fermèrent sur ces images du passé qui allaient et venaient, et qui contrairement à toute attente lui firent plus de bien que de mal, l’apaisèrent même.

Williaaaaam

Coop' le mari indigne trop mignon de tristesse a écrit:

Jamais plus rien ne serait pareil, ça l’avait été dès la première fois où la paume de sa main était entrée en contact avec la peau frêle de sa femme. Il le savait, tout autant qu’elle. Pourtant, cela ne paraissait pas l’arrêter. Non, il ne devait pas lâcher. Ce fut d’abord sa main qui se tendit dans sa direction, lui présentant ce bouquet de fleurs cueillit à la va vite quelques minutes auparavant. La raison ? L’anniversaire de Leïla. Il n’avait pas plus l’oublier, et plus la date approchait, plus il se sentait incapable de rester chez lui à ruminer. Pas après avoir fait en sorte que chaque année soit meilleure que l’année précédente. « Pardonne moi, ce n’est pas la balade en montgolfière, ni même ce diner en haut de la Tour Eiffel à Paris, mais je ne me voyais pas arriver les mains vides. » Il lui adressa quand même un sourire, un sourire qu’il avait pourtant eu tellement l’habitude de lui faire auparavant. Il avait esquivé sa question, parce qu’il n’aurait certainement pas su y répondre. Elle lui manquait. Terriblement. Il ne s’en était pas aperçu, du moins pas à ce point là. Pas au point d’avoir autant de mal à respirer en la voyant si prêt de lui en restant pourtant totalement intouchable. Son regard, fuyant, se releva néanmoins pour venir attraper le sien. « Tu me manques Leï’. Constamment. » Les mots, il avaient du mal à traverser la barrière que formaient ses lèvres, et quand son être tout entier lui demandait de rentrer chez lui, son coeur lui espérait rester, ne serait ce qu’une seconde de plus. Une infime seconde. « J’ai essayé de signer. Chaque jour depuis ton départ j’ai essayé. Mais j’ai pas réussi. Pas si ça voulait dire t’abandonner pour de bon. Et je sais, je sais que j’ai pas été le mari modèle dont tu rêvais. » Ses lèvres se pincèrent, conscient que qu’importe le discours qu’il allait bien pouvoir lui tenir. Eux deux c’était bel et bien fini. Y’avait qu’à voir les mouvements du corps de sa femme pour en être certain. Tout son être donnait cette impression de vouloir se protégé d’un possible coup. « T’es pas la seule responsable Leïla. Si j’avais été ce père admirable, j’aurai préféré rentrer chez moi plutôt que taper des heures en plus au boulot. Mais je voulais tellement que vous soyez heureux. Je voulais... Je voulais que tu sois fière de moi. » Et pour la première fois depuis la mort de William, il se sentit être capable de ne pas reporter la faute sur sa femme. Il avançait, pas aussi rapidement que Leïla l’aurait voulu, ni lui, mais c’était un bon début. Un début qui pourtant ne le mènerait pas très loin. Sa main vint se loger dans ses cheveux de plus en plus long, comme à chaque fois que Cooper pouvait se sentir gêner. « Ecoute Leï’, je suis pas venu pour te crier tout mon désespoir, ni même t’accabler de notre malheur, je veux juste te montrer à quel point je suis désolé. Pour tout. Laisse moi un peu de temps. Un mois ? Un mois et je te promet qu’à la fin de ces trente jours, je signerai les papiers et je m'en irai pour de bon. Je ne serai alors plus qu’un mauvais souvenir pour toi. » Le pire était de constater la véracité de ces propos. Un mauvais souvenir. Il aurait tant aimé pouvoir être autre chose pour elle. Quelque chose de bon. Quelque chose dont on n’arrivait à lâcher tant cela ressemblait à une bouffée d’oxygène. Il espérait à un oui. Pas juste pour qu’il l’a laisse tranquille. Non mais bien un oui dans lequel elle croit en une rédemption possible pour lui. Si seulement...

Bon, ce passage m'a juste brisé le coeur pour Leïla et pour Coop tellement c'est triste, tellement c'est misérable et c'est quand même beau l'espoir

Maïtia T. Foxx a écrit:

OH PUTAIN OH PUTAIN OH PUTAIN        

Fitz, le plus parfait a écrit:

réalité, l'amour n'était qu'une illusion, un leurre ou du moins, l'homme n'aimait pas de la façon dont il l'entendait. Si j'avais aime Shay, c'était parce qu'elle ne me jugeait pas pour ce que j'étais ou pour ce que j'avais vécu, puisqu'elle comprenait. Elle aussi avait eu une enfance difficile, sa famille étant loin d'être parfaite, tout comme la mienne. Je n'en avais jamais parlé à personne, même pas à ma famille d'accueil, et pourtant avec elle, cela avait été si simple de me confier. J'étais tombé amoureux de cette femme forte qui avait traversé de nombreuses épreuves sans qu'elle les laisse l'abattre. Dans mon esprit, une femme forte comme elle n'abandonnait pas sa famille et pourtant, elle l'avait fait. Elle nous avait laissé tomber. Au départ, on se force à y croire, on se dit qu'elle finira par revenir. Puis au bout de quatre jours, j'avais abandonné cette idée. Je savais qu'elle ne reviendrait pas, mais j'avais compris. Lorsque l'on aime quelqu'un, on aime une vision que l'on se fait de cette personne. Ce sentiment n'était que pure illusion, car au final, on aime que soi. J'avais fini par comprendre qu'on était des putains de narcissiques au fond. On aime l'image que l'on se fait de cette personne parce qu'elle est bien pour nous, parce qu'elle fait ressortir le meilleur de nous-mêmes. Si l'on aime, c'est pour soi-même, pour se sentir mieux, pour se guérir. J'étais tombé amoureux de Shay parce qu'elle pouvait comprendre ce que j'avais vécu et que je la croyais capable de refermer les plaies de mon passé. Ce besoin si intense d'avoir quelqu'un qui puisse prendre soin de nous n'est qu'un mirage et on s'en rend compte lorsque cette personne change, lorsque l'on découvre réellement qui elle est. J'avais compris cela trois jours après son départ, j'avais compris que je n'avais jamais réellement connu Shay. Du moins, j'avais préféré faire semblant de ne pas connaître cette face là. Je recrachais la fumée de ma cigarette en fermant les yeux quelques secondes. Tout est plus simple lorsqu'on ne se fie pas à ses sentiments. Ne pas travailler n'était pas bon pour moi, elles me laissaient trop de temps pour réfléchir.

Ta plume Fitz, bordel de nom de diou

Je confirme juste

Maïtia, un vrai petit ange a écrit:

« T'es putain de culottée ! Qu'est-ce que tu fous là ? ». Mon ton est mauvais. Et je m'en fous. Je veux être méchante avec elle. J'en ai besoin. Je me fous de la blesser. Je ne lui ferais jamais autant de mal qu'elle en a fait à mon père. Qu'elle m'en a fait. Elle n'a que ce qu'elle mérite. Et sans lui laisser le temps de répondre, j'en rajoute. « T'as trouvé ta conscience dans la nuit ou ça se passe comment ? ». Pourvu qu'elle ne me parle pas de regret. Là je crois que je la gifle. Même si c'est Shay. Et qu'elle est théoriquement ma mère.

bon je crois que Shay peut retourner se cacher

Hanw, Felicity, tu es adorable, merci
Noah, tu es trop choupi Noah et Maddy sont trop parfaits franchement
Et il n'a pas le droit d'être jaloux de Reed, ce n'est pas de la faute de Maddy si Reed est parfait

Sinon le Maïta/Fitz, c'est la perfection omg Fitz tu écris tellement bien

Pardon, je dp, mais j'ai mourru alors je suis obligée

Declan le parfait a écrit:

Sans cérémonie – ça ne lui ressemblait pas –il voulait il prenait, pourquoi tourner autour du pot ? – il agrippa le bras de l’inconnu pour le forcer à se tourner vers lui avant de fermer les yeux et de fondre sur ses lèvres, posant ses mains de part et d’autre de son visage. Pourquoi n’avait-il pas fait ça avant ? il n’en avait aucune idée. Il l’embrassait comme s’il n’y avait pas de lendemains. C’était pressé et survolté, comme tout ce qu’il faisait. Ça lui ressemblait. Ses mains glissèrent jusque dans ses cheveux, prenant un malin plaisir à le décoiffer et ainsi briser l’image du trop parfait physique tiré à quatre épingles de l’individu.

Des bébés ! Des bébés !

Sexy Declan a écrit:

Lorsqu’il rompit le baiser, il observa l’américain avec un sourire entendu et un petit air fier. Enfin, il avait soufflé l’arrogance de ce petit prétentieux de gosse de riche. C’était jouissif. « Je devrais te raccompagner en effet. T’entrainer dans une ruelle sombre et te dépouiller de tous tes biens. » lâcha-t-il laconiquement.

Oui, oui, oui !

Declanouchouchou a écrit:

« Si monsieur veut bien m’indiquer la direction à prendre pour arriver à ses appartement »

J'aime que Maddy ne soit pas la seule à se foutre de la tronche de Reed

Oh (bon je suis aller corriger les fautes après, j'avais trop honte ) mais c'est trop gentil de me citer tes réponses sont trop parfaite, c'est dur d'être à la hauteur.

Au fond de moi j'ai le droit de vouloir que Shay et Fitz se remettent ensemble ?

La petite puce a écrit:

J'ai envie de détruire les murs. J'ai envie de hurler. Pourtant, je n'arrive lus à trouver les mots. Même face au miroir, je suis sans voix. J'ai besoin d'air. J'ai besoin de respirer. J'ai besoin d'y voir plus clair. Dois-je m'en vouloir de ne pas avoir couru dans ses bras ? De ne pas être reconnaissante qu'elle revienne ? Suis-je une mauvaise personne ? Suis-je une mauvaise fille ? Et pourquoi ai-je si mal ? Pourquoi mon cœur se serre si douloureusement dans ma poitrine ?

Pourquoi tant de douleur

Maïtia la petite fav de Logan a écrit:

Et j'attends que Logan ouvre la porte. Et dès que c'est le cas, je fonds dans ses bras. J'ai besoin de me blottir contre lui. Même si ça le surprend sans doute un peu. « J'ai le droit d'avoir des pancakes ? ». C'est comme un code. Les pancakes de Logan, c'est le remède contre la morosité, la colère et la déprime. Les pancakes de Logan sont magiques.

Roh, c'est tellement mignon Logan il va plus se sentir, parce que Maïtia c'est la seule gamine qui l'aime

C'est trop gentil de me citer
Mais non, Logan est aimé par ses enfants c'est juste qu'ils avent pas trop comment le montrer (mais dans tous les cas, Maïtia, elle l'aime son tonton Logan )

Tonton et futur papa par alliance *jesors*

Moi je suis grave pour si je peux être demoiselle d'honneur

Je dois rattraper vos rps à vous

Mais pour le moment je meurs devant la réponse de Max à Hylan

Max a écrit:

« Je n'avais pas l'intention de partir. Comme tu n'as pas l'intention de m'oublier. » Elle releva légèrement la tête vers elle, observant son visage du jeune homme sans oser s'éloigner de lui pour autant. Elle n'osait pas le faire, de peur qu'il change d'idée, qu'il n'a plus envie d'avoir cette relation naissante avec elle, qu'il réalise que ce n'était qu'une erreur de plus. Lorsqu'elle bougea de nouveau, ce fut pour attraper les lèvres d'Hylan, l'embrassant avec plus de ferveur qu'elle ne l'aurait voulu, poussant le vice jusqu'à mordiller la lèvre du militaire. Celui-ci ne semblait pas s'en plaindre. Au contraire. Un rire lui échappa lorsqu'elle se retrouva sous lui, ses mains remontant le long de ses bras pour se nouer sur sa nuque. Max se perdit dans les prunelles océanes pendant de longues secondes alors que sa voix chatouillait ses oreilles, déclenchant des frissons sur son épiderme.

Tout est parfait, j'aurais tout voulu citer. Je suis amoureuse de vous deux

T'es trop chou Fefe
Et on voit l'intérêt de la relecture, y'a mille fautes dans ce tout petit bout

Sio la vilaine a écrit:

« Je vais tenter de fouiller dans le bureau de Noah. Je ne sais pas ce que j'imagine trouver, je le saurais quand je le verrai... c'est ce que disent tous les flics des séries bidons. ».

Ah bah bien . Noah ne mérite pas d'être accusé, mais alors Alej/Sio me font trop rire en mode enquêteurs

Ils vont découvrir la vérité un jour ou pas !!

Mais j'avoue qu'ils me font rire aussi . Fais gaffe à ce que tu caches dans le bureau

Si si ils vont découvrir la vérité
Noah ne cache rien de bizarre dans son bureau

ouiiii . Ce sont les James Bond africains

Vraiment?? Tant mieux pour lui alors

De toute façon il n'a pas tué Anna

On va découvrir des trucs grave dégueu en fait
Peut-être que quand ils auront trouver le coupable, Siobhan ira s'excuser. ou elle lui dir qui'il ne tenait qu'à lui d'être un peu moins suspect


Mais en vrai je suis ris aussi de la bêtise de Sio et Alej' en mode les experts

Noah n'est pas dégueu .
Ce serait bien oui .

D'ailleurs faut qu'on parle de tout ça bientôt, je te mpotterai

Oui je devais le faire aussi mais j'ai carboniser mon cerveau entre temps

M. Maxyne Jacobs a écrit:

T'es trop chou Fefe
Et on voit l'intérêt de la relecture, y'a mille fautes dans ce tout petit bout

J'étais tellement contente de lire tout ça que je n'ai même pas vu les fautes