Declan le sexy a écrit:

S’il répondait du tac-au-tac, quelque chose l’intriguait beaucoup depuis qu’il avait accosté l’individu : ce dernier semblait l’aguicher depuis le début de la discussion. Ou du moins, c’est ce dont il avait l’impression. Ou alors peut-être qu’il se faisait tout simplement des films, parce qu’en fait ça l’aurait bien arrangé que ça soit le cas : il n’était clairement pas insensible au physique de l’américain et se voyait très bien finir la nuit avec lui si c’était possible.

Reed qui l'aguiche ? Je ne vois pas de quoi tu parles Ceci dit moi aussi je les voit bien finir la nuit ensemble

Declan qui m'a tué a écrit:

Sidéré, Declan haussa les sourcils de surprise plus pour lui-même qu’autre chose puisqu’il s’était retrouvé seul, avant de laisser un sourire amusé se loger sur ses lèvres. Deux choses : la première : il n’avait rien inventé, l’inconnu l’avait clairement allumé depuis le début de la discussion ; et la deuxième : il était hors de question qu’il s’en sorte comme ça. Sortant quelques billets de la poche arrière de son pantalon, il les déposa sur le comptoir à côté de leurs consommations avant de s’empresser de rejoindre l’américain devant le bar. Sans cérémonie – ça ne lui ressemblait pas –il voulait il prenait, pourquoi tourner autour du pot ? – il agrippa le bras de l’inconnu pour le forcer à se tourner vers lui avant de fermer les yeux et de fondre sur ses lèvres, posant ses mains de part et d’autre de son visage. Pourquoi n’avait-il pas fait ça avant ? il n’en avait aucune idée. Il l’embrassait comme s’il n’y avait pas de lendemains. C’était pressé et survolté, comme tout ce qu’il faisait. Ça lui ressemblait. Ses mains glissèrent jusque dans ses cheveux, prenant un malin plaisir à le décoiffer et ainsi briser l’image du trop parfait physique tiré à quatre épingles de l’individu.

Je peux mourir en paix

Maddie la mignonne a écrit:

Il rentrait dans son jeu et elle le remercierait pour cela. Ils ne se connaissaient pas depuis bien longtemps, mais ils se comprenaient déjà autant que cela était possible après si peu de temps. Reed était pour Magdaléna une totale évidence. Il avait ce petit quelque chose de particulier, ce petit quelque chose qui lui prouvait qu’elle pouvait avoir confiance en lui. Depuis le premier jour où elle l’avait rencontré, elle avait su qu’ils étaient faits pour être amis. Et à cet instant, alors qu’il faisait semblant d’être l’élu de son cœur pour la sauver d’un homme qui l’embêtait, il ne faisait que confirmer qu’elle avait raison de lui faire une confiance aveugle.

Trop d'amour

Maddie la coquine a écrit:

« Tu m’as démasquée, la seule raison pour laquelle je te fréquente c’est parce que je ne rêve que de t’embrasser. Et je dois avouer être plutôt satisfaite, tu embrasses très bien, on te l’a déjà dit ? »

Il a été élu Mister Kiss tu savais pas ?

Maddie qui me fait niaiser a écrit:

Evidemment, elle était forcée d’avouer que si Reed était un homme qui aimait les femmes, elle aurait pu être intéressée par lui. Mais si elle aimait tant passer du temps en sa compagnie, c’était pour sa personnalité. Sa gentillesse n’avait d’égal que son humour. Elle aimait cette façon qu’il avait de la couvrir de compliments, de lui faire prendre confiance en elle. Il était ce jeune homme en qui elle plaçait toute sa confiance. C’était le cas depuis qu’elle l’avait rencontré, depuis qu’elle l’avait trouvé en train de se déhancher dans sa salle de classe et qu’elle n’avait pu que s’en amuser. Reed était ce brin de folie, ce rayon de soleil qui illuminait sa vie quand elle se retrouvait en sa compagnie. Il était particulier. Il était spécial. Amicalement, il était fait pour elle, tout simplement. « Oh ça, c’est parce que tu es le seul mâle que je veux dans mon entourage »

Gngngn, c'est vraiment trop cute

Ces deux rp's vont me faire mourir, voilà

Le Cleed c'est trop la vie, je peux être votre présidente de ship ? Non parce que concrètement, vous me tuez un peu plus à chaque réponse et vous venez seulement de commencer

Ah c'est donc ça, c'est parce qu'il a été élu Mister Kiss qu'il a Maddy et Declan dans sa poche, je me disais aussi

Leon le mignon a écrit:

Ce genre de crime le touchait un peu trop près, lui rappelant le passe-temps de son père qui lui avait coûté si cher par le passé. Il avait depuis de nombreuses années développé une haine ardente pour les amateurs de ce sport barbare qu'était la chasse et le braconnage était encore bien pire à ses yeux. Il n'acceptait pas qu'on puisse venir troubler le calme de cet endroit qui était depuis longtemps devenu à ses yeux un véritable havre de paix. Il était dégoûté par ces hommes qui avaient violé la beauté de la réserve, prenant par la force de leurs armes un bout de ce qu'elle avait de plus précieux, ces animaux qui la rendaient magique aux yeux du guide et aux yeux de tous ceux qui venaient la visiter.

Leon est trop trop chou

Leon le chou a écrit:

Dès qu'il posa les yeux sur elle, alors qu'elle quittait elle aussi son lieu de travail accompagné d'un jeune garçon, son visage s'illumina d'un sourire. Alors qu'il avait été tendu depuis le matin, il sentit ses muscles se relâcher en l'apercevant. Il se sentait idiot à chaque fois, mais le simple fait de voir cette jolie institutrice fraîchement débarquée au centre avait toujours le même effet sur lui. Il l'avait remarquée dès son arrivée au centre, quelques semaines plus tôt. Ils s'étaient rencontrés de façon tout à fait anodine, le guide aidant la nouvelle bénévole à retrouver son chemin dans les dédales des couloirs du centre. Après qu'elle l'ait remercié pour son aide, il lui avait affirmé d'un ton blagueur qu'il ne faisait que son travail, après tout. Sa blague pourtant un peu niaise avait provoqué chez son interlocutrice un rire tout à fait adorable aux yeux du jeune sud-africain.

Je veux être présidente du Leonity

Leon le parfait a écrit:

La jeune enseignante était très jolie, il était impossible de prétendre que cela n'avait rien à voir avec l'attitude de Leon à son égard. Avec son visage rond aux traits d'enfants, sa carrure fragile, mais séduisante, et son regard toujours brillant, il ne se lassait jamais de la regarder. Elle était d'une grande beauté très naturelle, d'une simplicité presque émouvante. Il était certain qu'elle n'était pas totalement consciente de l'ampleur de sa magnificence . Mais ce n'était pas seulement cela. Il n'aurait pas pu l'expliquer, mais depuis qu'il l'avait rencontrée il ressentait le besoin de se rapprocher d'elle, d'apprendre à la connaître. Pourtant, chaque fois qu'il tentait de le faire, il ressentait un peu plus que cette envie n'était pas réciproque.

Trop de cuteness

Vos duos m'avaient manqué

Oh faut que lise la réponse de Leon à Felicity

Arabella la belle soeur de lolo a écrit:

Logan avait cette fâcheuse manie de revenir avec des plaies chaque jour et chaque fois qu'elle lui posait des questions, il les évitait. Elle était presque certaine qu'éventuellement, il lui dirait que c'est une histoire de zèbre enragé qui l'avait passer au tabac.

Naaaan, on a cité Leon avant moi ça m'apprendra à me balader la journée

J'ai eu deux rps trop cool à lire au réveil, dont l'un qui est parfait, parfait, parfait (no offense Dede, le tien aussi l'était)

Declan a écrit:

PS : gif non contractuel mais ça viendra

Rien que ça, j'ai rigolé et le gif est parfait, ce qu'ils sont beaux.

Declan a écrit:

A cette nouvelle, Declan avait dû user de tout son self-control pour ne pas griller sa couverture et descendre toute la vermine qu’il avait pu rencontrer. Cela l’avait mis dans une colère noire, d’autant plus qu’il n’avait eu que de vagues informations comme quoi une opération allait être lancée sans en savoir plus – et malgré les avertissements qu’il avait lancé à ses vrais supérieurs, tout cela n’avait servi à rien. Il s’était senti incroyablement inutile. Bien sûr, ce n’était que le début de sa mission. Mais Declan n’aimait pas les échecs.

Pauvre Declan, vivement qu'il les tue ces vilains En tout cas, vous êtes tellement cool de parler déjà de l'intrigues

Pedobear a écrit:

Le gamin ne voulait pas bouger. Declan finit par mettre sa main dans sa poche et en ressortir quelques bonbons à la menthe qu’il présenta à l’enfant. « Tu en veux ? » Une lueur s’était allumée dans le regard du garçon qui hésita quelques secondes avant de rafler les trois bonbons présents dans la main de Declan avant de les mettre dans sa poche tout aussi vite. Declan pouffa doucement avant de tendre de nouveau la main à l’enfant. « Tu viens ? »

Ce passage est étrange. Felicity va devoir apprendre à ses élèves de ne pas accepter de bonbons de la part d'inconnus, je crois

J'ai hâte de te répondre

Leon, le plus parfait a écrit:

Il n'acceptait pas qu'on puisse venir troubler le calme de cet endroit qui était depuis longtemps devenu à ses yeux un véritable havre de paix. Il était dégoûté par ces hommes qui avaient violé la beauté de la réserve, prenant par la force de leurs armes un bout de ce qu'elle avait de plus précieux, ces animaux qui la rendaient magique aux yeux du guide et aux yeux de tous ceux qui venaient la visiter. Les visites qu'il offrit au public ce jour-là furent d'ailleurs raccourcies, les lieux et ses habitants souffrant encore des derniers événements. Cela rajoutait encore plus à la mauvaise humeur du guide, qui détestait le fait de ne pas pouvoir montrer aux gens l'immensité de la beauté de ces lieux qu'il adorait exposer à tous.

Vivement qu'il fasse une visite privée à Felicity Mais pauvre Leon qui est tout fâché.

Leon, le plus beau a écrit:

Dès qu'il posa les yeux sur elle, alors qu'elle quittait elle aussi son lieu de travail accompagné d'un jeune garçon, son visage s'illumina d'un sourire. Alors qu'il avait été tendu depuis le matin, il sentit ses muscles se relâcher en l'apercevant. Il se sentait idiot à chaque fois, mais le simple fait de voir cette jolie institutrice fraîchement débarquée au centre avait toujours le même effet sur lui. Il l'avait remarquée dès son arrivée au centre, quelques semaines plus tôt.

C'est trop beau, c'est trop parfait. Et je veux citer tout le reste de la réponse

Leon que j'aime trop d'amour a écrit:

Mais avec Felicity, ça avait été différent depuis le début. Il y avait quelque chose chez elle qui lui avait tout de suite plu et qui lui avait donné l'envie de ne pas être cette personne qui était plutôt désagréable, selon la réputation qu'il avait depuis un moment au centre. La jeune enseignante était très jolie, il était impossible de prétendre que cela n'avait rien à voir avec l'attitude de Leon à son égard. Avec son visage rond aux traits d'enfants, sa carrure fragile, mais séduisante, et son regard toujours brillant, il ne se lassait jamais de la regarder. Elle était d'une grande beauté très naturelle, d'une simplicité presque émouvante. Il était certain qu'elle n'était pas totalement consciente de l'ampleur de sa magnificence . Mais ce n'était pas seulement cela. Il n'aurait pas pu l'expliquer, mais depuis qu'il l'avait rencontrée il ressentait le besoin de se rapprocher d'elle, d'apprendre à la connaître.

Quelle idiote, Felicity

C'et trop parfait Et je vais mourir en écrivant ma réponse

Parce que j'ai pas encore eu le temps de le faire, mais que ça le mérite tellement 

Leï, la tristounette a écrit:

Mais malgré la douceur pitoyable de l’image de Cooper qui lui faisait face, malgré toute la tendresse qu’elle éprouvait à cet instant de sa vie, elle avait peur. Peur qu’il ne revienne à la charge de nouveau, pour la démolir de ses mots plus que de ses poings, peur qu’elle ne se haïsse un peu plus. Elle aurait tout aussi bien pu lui claquer cette porte au nez, lui tourner le dos à jamais. Néanmoins, elle avait appris qu’on ne pouvait effacer des années de mariage, qu’on ne pouvait oublier ni le bien, ni le mal que l’être aimé vous inflige. 

Non mais vraiment, si je connaissais l'abruti qu'est ce Cooper   Le vilain ! 

Leïla la gentillesse incarnée a écrit:

Malgré le chemin épineux et douloureux qu’ils avaient traversé ensemble, malgré la peine qu’elle éprouvait à cet instant, Leïla s’étonnait à ressentir de la compassion et de la tendresse pour cet homme qui lui faisait face. Jadis, elle avait été habituée à l’entendre rire, tantôt lors de grands repas de famille, Cooper riait aux blagues de Cameron. Tantôt lorsqu’il se moquait d’elle et des ridules qu’elle affichait lorsqu’elle lisait un livre ou lorsqu’elle était plongé dans une série télévisée au point d’en oublier tout ce qui l’entourait.

Comme quoi il a pas toujours été un monstre   

Leïla, la réaliste a écrit:

Chaque fois il l’étouffait de sa douleur et plutôt que de plonger seul, il entrainait la métisse déjà au plus bas. Elle ne lui rejetait pas la faute, il souffrait, elle aussi. Ils ne pouvaient simplement plus s’aimer sans se faire mal. 

Mohhhh   

Leï', la parfaite a écrit:

« Cooper… » Soufflait-elle, maladroitement, gênée. « Tu es malade. Tu n’es pas fou, non tu es malade comme moi, la maladie c’est la perte de notre enfant, plus jamais rien ne sera pareille. Il ne suffit pas d’un mois pour te soigner, il ne suffit pas de t’accuser de tous les maux du monde, il ne suffira pas que tu arrêtes de boire. » Ses iris émeraudes s’ancrèrent dans celles océans de l’homme qui lui faisait face. La pitié transcendait l’homme en un regard. Leïla s’était rendu compte en partant, que bien qu’il lui manquait, ce n’était pas ce qu’il était à présent qui lui manquait. Non. Il s’agissait des souvenirs de l’homme qui l’avait séduite avec son humour et son code d’honneur. Il ne s’agissait plus de leur mariage, mais de ce qu’ils étaient devenus l’un et l’autre depuis la mort de leur enfant. C’était une blessure trop douloureuse, qui démangeait encore l’épiderme de la chirurgienne. « Tu sais le pire dans tout ça, c’est que je ne t’en ai jamais voulu pour ton absence, je ne t’en ai jamais voulu lorsque tu me frappais, la personne que je haïssais le plus c’était moi-même, la chirurgienne incapable de sauver son fils. Je m’étais dit que jamais plus je n’aurais la force de sauver un enfant. » Leïla soutenait toujours le regard de Cooper, et ce malgré la douleur que ses propres mots lui infligeaient à elle-même. Mais il le fallait, pour elle, pour lui. « On ne pourra plus jamais être ce couple qu’on était, qu’importe les efforts que tu pourras faire, je ne serais jamais plus cette femme pétillante et insouciante, tout comme tu ne seras plus jamais l’homme dont je suis tombée amoureuse. On est cassé Coop’ et on ne peut pas se réparer l’un et l’autre. » Leïla porta son regard sur la table en bois, souriant tristement face à cette vaste vérité qu’était leur relation. «Ça ne veut pas dire que je te hais où que je ne t’aime pas. Seulement que je ne pourrais plus être ta femme. Je ne sais même plus qui je suis lorsque je me regarde dans un miroir. » Les longues mèches ébènes de la brune s’étaient logés sur son visage, cachant cette douleur qui lui parcourait la peau. Et pourtant, elle ne pouvait nier, qu’elle était touchée, heureuse même de le revoir, de le voir en bonne santé, de sentir cette présence silencieuse qui lui faisait face. 

 


C'est tellement triste que Coop', il pas peut être enfin se rendre compte qu'il est plus un poison pour elle qu'autre chose 

Enfin bon, comme d'hab tes réponses sont tellement exquises, qu'on a envie d'en lire encore et encore 

mow t'es trop mignonne et c'est trop triste je confirme

Maxyne la non croyante de l'amour a écrit:

Elle n'était pas de nature romantique, elle n'était pas de ces filles qui foncent aveuglément vers ce qu'elles pensent être l'amour de leur vie. Non. Ça, elle laissait ça à Leïla. Leïla qui avait toujours cru en la lumière dans la noirceur, à la douceur dans la douleur, en l'amour avec un grand A. Celui qui ne disparaît pas avec le temps. Alors qu'elle, elle se contentait de collectionner les conquêtes d'une nuit, les relations s’en attachent, un semblant de sentiments qui n'en étaient pas.

Pauvre petite, elle connait bien sa BFF n'empêche

Elles ne sont pas BFF pour rien hein, c'est deux-là!

Bon je cite quand je réponds
Mais Cam, tu m'as tué dès le début.

Maïtia, mon bébé. a écrit:

Elle a le visage si triste. Je le sens tendue, anxieuse. A-t-elle peur ? Peur de moi ? Et de mes mots ? Elle devrait pourtant comprendre que rien ne blesse plus que le silence. Et si beaucoup s'accroche en se crachant des noms d'oiseaux ce n'est pas pour rien. Parce que tant qu'on crie tout va bien. Tant qu'on crie, il y a quelque chose qui reste. Il y a un lien. Tant qu'on crie, on aime. Et quand le silence résonne à nous tympans c'est pire que tout. Quand nos pensées ont écho dans notre crâne alors il faut s'accrocher. Parce que tout est perdu. Parce qu'il n'y a pas de réponse. Il n'y a pas de cris. Et pourtant, Dieu sait que ça serait tellement mieux. Un soulagement. Et moi, je ne cris pas. Pas encore du moins. Mais je ne suis pas silencieuse. Je lui offre tout mon mépris. Toute ma colère. Et ça me semble tellement mieux que rien. Que ce vide qu'elle nous a laissé. Sans jamais qu'on puisse le combler.

Désolée du DP mais il le faut

Fitz, le meilleur a écrit:

Mon regard glissait sur elle. Je mentirais si je disais que je n'étais pas rassuré de la voir, de constater qu'elle allait bien. Je mentirais si je disais qu'elle ne m'avait pas manqué. Mais ce serait mentir également de dire que revoir ce visage ne me faisait pas souffrir le martyr. Je n'avais jamais su contrôler mes émotions, comprendre ce que je ressentais. Une sorte de chaleur étouffante envahissait mon corps, je sentais comme un trou se former dans ma poitrine. Je pouvais presque dire que c'était douloureux comme une blessure physique le serait, mais c'était pire tout en étant indescriptible. Cette émotion, cette sensation m'angoissait. Ne pas pouvoir expliquer un phénomène, ne pas réussir à mettre des mots sur ce que je ressentais me perturbait. Il fallait que les choses soient logiques, démontrables, dénuées de sentiments, mais remplies de sens pour que je sois dans mon environnement. Parce que lorsque l'on ne comprend pas quelque chose, on y est soumis. On peut même en dépendre et cette idée m'effrayait. Devant Maïtia, j'avais fait bonne figure la rassurant en lui disant que l'on pouvait surmonter cet abandon. Je m'en étais presque persuadé, mais la page s'était avérée difficile à tourner. Shay était la seule femme en qui j'avais une confiance aveugle, la seule pour qui j'acceptais de faire face à mes sentiments, et elle était partie. Je m'étais senti seul, vide, trahi. C'était une période de ma vie que j'évitais d'aborder, repenser à elle était bien trop douloureux, mais tous les jours lorsque je voyais le visage de Maïtia, je voyais celui de Shay. Je n'arrivais pas à mettre de l'ordre dans ce que je ressentais. Je détestais Shay de m'avoir laissé seul, d'avoir abandonné notre fille, mais je ne pouvais m'empêcher de l'aimer pour tout ce qu'elle avait fait pour moi. Mon visage affichait une expression neutre ne laissant rien transparaître. Elle n'avait pas changé. Je prenais quelques secondes pour l'observer comme pour ancrer chaque trait de son visage dans mon esprit. Pourquoi revenait-elle maintenant, après huit longues années ? Qu'espérait-elle ? Que voulait-elle ? Autant de questions qui se bousculaient dans mon esprit sans que je parvienne à y répondre.

c'est affreux c'est l'homme de sa vie Fitz

Logan le romantique pas romantique a écrit:

Il porta son regard pendant quelques millisecondes sur son enfant apaisée par les médicaments. Ce fut la main qui s’était plongée dans la sienne qui le ramena jusqu’à Arabella du regard. Ses veines semblaient transporter des millions de fourmis tant ils pouvaient les sentir cogner, chauffer à travers sa peau rugueuse. Néanmoins, malgré cette sensation étrange qui fit battre son cœur, le veuf noua ses doigts dans ceux de sa belle-sœur, l’observant silencieusement. « Toi et moi, je crois que Lyanna aurait aimé cette version de nous. » Le regard triste de Logan se plissa légèrement, son cœur semblait vouloir se défaire de toutes attaches, sombrant dans les abîmes des souvenirs qu’il chérissait tout autant qu’il les maudissait. Brusquement, il attira la rouquine contre son torse, glissant son bras contre sa nuque. « Viens là. » Murmurait-il à son oreille, comme s’il s’agissait là de mots interdis, de gestes déplacés. Ses lèvres se posèrent sur la tempe droite de la rouquine. « Lyanna serait fière de toi, Arry’. » Dégosillait-il d’une voix étranglé d’émotion. Enlaçant un peu plus fort la jeune femme contre lui, il laissa tomber son menton contre l’épaule de la bénévole. « Elle ne le serait pas de moi. » Il serra son poing contre les reins de la rousse, étouffant un soupir frustré. « Toi non plus. J’ai tué quelqu’un Arabella. J’ai tué celui qui a tué ta sœur de mes propres mains. » Ses paupières fatiguées s’ouvrirent de nouveau, réalisant l’impact qu’aurait ses propos sur la rousse, réalisant la situation dans laquelle il était. Réalisant qu’elle ne poserait plus jamais ce regard attendris sur lui, presque admiratif. Le militaire se détacha de la femme, reculant sa masse contre le mur, ses yeux pétillants d’émotions cherchaient ceux de la rouquine. Les mots, les bribes de phrases qu’il s’était imaginé prononcer sombraient dans le mutisme. L’angoisse. L’agonie. Le jugement.

   

Leïla la BFF trop parfaite a écrit:

En réalité, Leïla se demandait si ce soldat n’était qu’un homme parmi d’autres ou s’il avait réellement réussi à capturer le cœur de la brunette hyperactive. Dans le second cas, Leïla n’en serait qu’impressionné puisque même Cameron n’avait pas semblé être celui qui convenait à Maxyne. Et pourtant, l’africain était une personne exceptionnelle aux yeux de la chinoise, elle avait pris leur rupture avec une certaine incompréhension et n’en avait jamais su le fin mot. Maxyne évitait ce sujet en riant, disant qu’ils étaient plutôt amis qu’autre chose, des êtres incompatibles tout simplement et si Leïla y croyait, elle doutait cependant de détenir toute la vérité à ce sujet. Au fil des années elle avait fini par abandonner l’idée de découvrir le secret qui liait Maxyne et Cameron.

En somme, Leïla aime son frère de façon incestueuse

Leïla la peste a écrit:

Ses allusions à propos de la relation de Maxyne et d’Hylan n’avaient fait que provoquer le côté romantique refoulé de sa meilleure amie. Evidemment, Leïla n’était pas dupe, qu’importe avec quelle force et conviction Maxyne pouvait croiser ses bras et l’assassiner de regard, elle l’avait vu sous ses yeux. Cet amour naissant, fragile, fort et palpable. «Il n'est pas mon Hylan. Comme il n'est pas mon amoureux, Leïla. C'est un ami, c'est tout. » Leïla secoua son visage lentement, de droite à gauche, déposant le verre sur la table, son doigt se leva sous le nez de la brune en signe gestuelle de négation. Elle n’en croyait pas un mot. « Tu crois me faire avaler ça ?  Ça se voit comme le nez au milieu de la figure vous deux. Si ce n’est pas ton Hylan, tu es bien SA Maxyne crois-moi. » Soufflait-elle, croisant ses bras à son tour contre sa poitrine, imitant l’air juvénile et vexé de sa meilleure amie. Un sourire presque satisfait trônait sur les lèvres fines de la chinoise. Un sourire qui n’était visiblement pas pour réjouir sa meilleure amie, soudainement sur la défensive. « Ne prend pas tes rêves pour la réalité. C'est de moi qu'on parle, tu te souviens? La fille qui ignore la signification de «relation sérieuse». Désolée, ma vieille, ton côté romantique ne m'a pas encore affecté.» Leïla s’esclaffa, prenant un air théâtral en agitant ses mains sous son propre visage ? « Arrêtes de te voiler la face, tu gagneras du temps ma belle et mignonne Maxyne. Tu mérites une histoire d’amour qui finit bien et puis tu pourrais être ma preuve ! J’en suis presque jalouse. » La fin de sa phrase avait été soufflée naïvement du bout de ses lèvres, le cœur palpitant, elle songeait à ces nombreuses histoires d’amours qui façonnaient la littérature, le cinéma, la vie. En réalité, l’amour, celui qu’elle avait vécu, celui qu’elle connaissait, n’avait pas été beau, non. Il l’avait détruite de part en part.

.....

« Il va aller mieux d’ici quelque jour ne t’inquiètes pas, le plus difficile est passé, après quelques examens en fin de semaine, je devrais rapidement lui ôter ses points et votre vie sexuelle pourra reprendre son cours. Pas avant ! » Insistait-elle sévèrement, néanmoins dans l’éclat scintillant de ses iris, une petit touche de malice inondait l’assistante sociale de sous-entendus. Ce qui amusait particulièrement la jeune métisse.

Le dernier passage, je riais toute seule comme une idiote dans le bus La dame près de moi m'a prise pour une cinglée, elle a changer de place

Noah l'idéaliste a écrit:

D'une certaine façon, il faisait partie de ces orphelins victimes des massacres perpétués par la guerre, mais dans son malheur il n'était pas le plus malheureux. Il était même l'un des plus chanceux, il ne s'était pas retrouvé seul dans un établissement à son jeune âge sans aucun membre de sa famille pour le réconforter. Lors de la mort de ses parents, il était suffisamment vieux pour avancer, pour comprendre ce qui avait pu se produire, quelle perte venait de se produire dans son existence. Lorsqu'il se rendait à l'orphelinat et que ses yeux se posaient dans les prunelles de celles des petits êtres, il découvrait la même lueur que la sienne dans leurs iris. Cette lueur de douleur comme si leurs vies s'étaient écroulées aussi rapidement qu'un château de cartes. Comme si les nuages gris avaient envahi le ciel pour faire venir la nuit. Dans cette insoutenable vérité, Noah était l'un des leurs. Maxyne ne le savait pas, mais il voyait sur son visage qu'elle était aussi concernée que lui. Que dans ce combat contre l'absurdité, elle était à ses côtés et un grand sourire sincère vint naître sur ses lèvres. Il ne connaissait que très peu la jeune femme mais il était heureux de savoir que pour lutter contre l'injustice, il n'était pas seul. Que quelque part dans cet univers hostile, il y avait des âmes pures prêtes à tout pour faire revenir l'équilibre.

C'est pas un idéaliste Noah, peut-être un peu en fait

Maxyne la mignonne a écrit:

Leïla avait visé juste, trop juste, alors qu'elle ne les avait observés que quelques minutes la vieille. Elle venait de mettre des mots sur ce que Maxyne essayait de nier encore et encore. Elle ne pouvait pas aimer Hylan, elle le refusait. Elle refusait de lui donner ce pouvoir sur elle, bien qu'elle savait que c'était déjà trop tard. Son rythme cardiaque chaotique, ses mains moites, ses sourires trop faciles, sa tendance à rougir dès que l'on prononçait son nom, ça en disait suffisamment long comme ça. Pourtant, elle avait besoin de traiter ces informations elle-même, à son rythme ridiculement lent.

La pauvre chou

Sandro le parfait a écrit:

Allongé dans l'herbe fraîche, il profitait allègrement du silence et de la tranquillité incomparables du lieu. Ce n'était pas la première fois qu'il venait, aussi tôt dans la journée, aussi tard dans la nuit, afin de jouir de la quiétude et du répit qu'offrait le naturel des jardins. Presque chaque jour, il avait ce rituel bien à lui, passer une ou deux heures à cet endroit ou un autre, à regarder les animaux chahuter, se pourchasser, avant que la vie humaine ne reprenne le dessus sur sa propre vie, détruisant ce calme auquel il s'était habitué durant un court instant. Tous ses problèmes lui paraissaient alors futiles, comme s'ils n'avaient jamais eu la moindre importance pour lui. Des problèmes de jeunesse. Lointains. Ainsi détendu, il se surprenait à sourire, à rire, se sentant plus léger, comme jamais il ne s'était senti depuis ce terrible jour. C'était un sentiment d'allégresse auquel il n'était plus habitué, et qui était comme une drogue pour lui ; sur le coup, c'était jouissif. Mais après... tout lui revenait, ses souvenirs, sa douleur. Ces choses qui lui étaient devenues comme une partie de lui. Il ne s'imaginait plus vivre sans cette colère, sans cette rage, sans ce besoin de cogner quelque chose pour soulager cet incendie qui le consumait de l'intérieur, brûlant de plus en plus, jusqu'à prendre possession de son esprit, sans que Sandro ne puisse rien y faire. Une telle souffrance, laquelle il essayait en vain d'étouffer. Et ce lieu, si doux, si paisible, lui offrait un répit dont il avait besoin, pour se ressourcer. Faire le vide. Et respirer.

Vous êtes tous trop parfaits

Ma Maxyne t'es trop adorable de citer toutes ces parties

Maxyne la réaliste a écrit:

Leurs vies avaient changé et n'avaient pas toujours pris le chemin qu'elles auraient voulu. Au contraire, par moment, Maxyne avait l'impression que sa vie n'avait rien de celle qu'elle s'était imaginée plus jeune. Les dilemmes de la vie ne se résumaient plus à savoir si elle désirait se déguiser en Cendrillon ou en Chucky pour Halloween. C'était la preuve que grandir n'avait rien de sympathique, que c'était une honte en soi.

C'est tellement vrai!

Max la BFF la plus gentille du monde a écrit:

Émotionnel et désinvolte, un mélange qui était la base même de la personnalité de l'assistante sociale. Elle s'était souvent demandé comment deux personnalités aussi contradictoires que la sienne et celle de sa meilleure amie pouvaient coexister aussi bien. La doctoresse avait toujours été d'une nature plus calme, observant avant d'agir, dégageant une grâce digne d'une ballerine dans chacun de ses mouvements. Elle comprenait pourquoi Cameron était tombé amoureux de la femme qu'elle était devenue. Et par moment, elle se demandait comme la mère endeuillée faisait pour supporter son caractère explosif, ce côté hyperactif qui tranchait avec le sien. Puis, elle se souvenait que cela n'avait aucune importance. Que tout ce qui importait, c'était l'amitié qui les liait depuis si longtemps maintenant.

Maxyne l'amoureuse a écrit:

Elle avait dû mal à accorder sa confiance en la gent masculine. Avec Hylan, elle avait l'impression que ses certitudes s'écroulaient brusquement sans qu'elle ne puisse comprendre ce qui se passait autour d'elle. L'inquiétude monstre qu'elle avait ressenti lorsque son amie lui avait téléphoné la vieille en était ne preuve tangible. Elle avait pourtant fait son mieux pour cacher cette inquiétude derrière un masque de colère.

Maxyne la trop timide a écrit:

L'assistante sociale avait toujours été de nature un peu libertine, un peu frivole sur le sujet. Pourtant, lorsqu'elle imaginait ce que ce serait que de passer le pas avec Hylan, elle avait l'impression que chaque parcelle de sa peau s'enflammait. Soudainement, elle était la vierge à la fois nerveuse et impatiente de toucher le septième ciel dans les bras de l'homme de sa vie. Les yeux remplis de larmes, toussant encore légèrement et surtout le visage couleur pivoine, Maxyne secoua la tête de gauche à droite. «Notre... quoi?»Croassa-t-elle en observant le visage de son amie, dans l'espoir d'avoir mal entendu. Un espoir réduit à néant par l'expression malicieuse de Leïla. Cette dernière allait finir par l'achever avant la tombée de la nuit, c'était un fait. Puis, depuis quand était-elle devenue si pudique? La petite brune savait que dans d'autres circonstances, un simple sourire amusé aurait répondu à son amie, maintenant, elle bafouillait comme une idiote en essayant de retrouver contenance.

Vous êtes trop mignonne de me citer comme ça
J'ai trop rit avec Maxyne en mode chaste et prude

Je suis en retard dans plein de rps Et vous me donnez trop envie de me rattraper.

Je rattrape aussi mon retard

Fefe la mignonne a écrit:

La main de Paki dans la sienne lui rappela qu'elle aurait pu être la mère d'un enfant de cet âge, si seulement Matthew l'avait bien voulu. Felicity aurait toujours ce regret, elle le pressentait, de ne pas avoir eu d'enfant avec l'homme qu'elle aimait. Il avait refusé et ils en étaient resté là. Sûrement aurait-elle dû se battre pour combler ce désir, et tout aurait pu être différent.

La pauvre Fefe

Les plus parfaits a écrit:

Cette voix, elle l'a reconnue, car il semblait que même si elle faisait tout pour ne plus l'entendre, elle était toujours ancrée dans son esprit depuis leur première rencontre. Ce souvenir récent, datant de quelques semaines étira légèrement ses lèvres en un sourire. Il l'avait aidée à retrouver son chemin et il avait blagué. Elle avait ri, sincèrement, comme elle n'avait plus ri depuis si longtemps.

Felicity la chou a écrit:

Elle avait également remarqué la façon dont ses yeux bleus s'illuminaient les quelques fois où il avait ri en sa présence. Mais elle avait préféré faire comme si toutes ces petites choses n'étaient rien pour elle, il avait été plus facile d'ignorer que tout ça lui donnait également envie de sourire. Il lui avait semblé plus simple de tout simplement ignorer Leon.

Ship ship ship ship

T'es trop gentil, Nono

\"Shay" Nyang a écrit:

Désolée du DP mais il le faut

Fitz, le meilleur a écrit:

Mon regard glissait sur elle. Je mentirais si je disais que je n'étais pas rassuré de la voir, de constater qu'elle allait bien. Je mentirais si je disais qu'elle ne m'avait pas manqué. Mais ce serait mentir également de dire que revoir ce visage ne me faisait pas souffrir le martyr. Je n'avais jamais su contrôler mes émotions, comprendre ce que je ressentais. Une sorte de chaleur étouffante envahissait mon corps, je sentais comme un trou se former dans ma poitrine. Je pouvais presque dire que c'était douloureux comme une blessure physique le serait, mais c'était pire tout en étant indescriptible. Cette émotion, cette sensation m'angoissait. Ne pas pouvoir expliquer un phénomène, ne pas réussir à mettre des mots sur ce que je ressentais me perturbait. Il fallait que les choses soient logiques, démontrables, dénuées de sentiments, mais remplies de sens pour que je sois dans mon environnement. Parce que lorsque l'on ne comprend pas quelque chose, on y est soumis. On peut même en dépendre et cette idée m'effrayait. Devant Maïtia, j'avais fait bonne figure la rassurant en lui disant que l'on pouvait surmonter cet abandon. Je m'en étais presque persuadé, mais la page s'était avérée difficile à tourner. Shay était la seule femme en qui j'avais une confiance aveugle, la seule pour qui j'acceptais de faire face à mes sentiments, et elle était partie. Je m'étais senti seul, vide, trahi. C'était une période de ma vie que j'évitais d'aborder, repenser à elle était bien trop douloureux, mais tous les jours lorsque je voyais le visage de Maïtia, je voyais celui de Shay. Je n'arrivais pas à mettre de l'ordre dans ce que je ressentais. Je détestais Shay de m'avoir laissé seul, d'avoir abandonné notre fille, mais je ne pouvais m'empêcher de l'aimer pour tout ce qu'elle avait fait pour moi. Mon visage affichait une expression neutre ne laissant rien transparaître. Elle n'avait pas changé. Je prenais quelques secondes pour l'observer comme pour ancrer chaque trait de son visage dans mon esprit. Pourquoi revenait-elle maintenant, après huit longues années ? Qu'espérait-elle ? Que voulait-elle ? Autant de questions qui se bousculaient dans mon esprit sans que je parvienne à y répondre.

c'est affreux c'est l'homme de sa vie Fitz

merci, c'est la femme de sa vie aussi shay

arabella la magnifique a écrit:

Sans protester, elle laissa Logan l'attirer à lui, posa sa tête contre son torse alors que son bras encercla la taille de l'homme. Son odeur l'envahit, une odeur masculine qui se mélangeait à celle douce et sucrée du bébé qu'il avait eu dans les bras un peu plus tôt. Malgré elle, elle ferma les yeux lorsque les lèvres rêches du brun se posèrent sur sa tempe avec la délicatesse des ailes d'un papillon, comme si ce geste était interdit, que c'était un péché capital. Les mots s'infiltrèrent en elle, brûlant comme de l'acide, un poison qui faisait son chemin dans ses veines jusqu'à son cœur.

j'ai pas de mots pour décrire ta façon d'écrire

Declan le bad boy a écrit:

L’homme à l’origine de cet acte qu’il aurait autrement puni pour son insolence (c’était assez ironique quand on connaissait sa propre attitude à l’égard de la politesse) était un individu qu’il voulait dans son lit, et dont la réciproque semblait tout aussi vrai. Peut-être pouvait-il faire un effort. Et il pouvait clairement se venger plus tard. Sans compter que l’américain parvenait à rendre ce geste sensuel quand ce n’était clairement pas supposé l’être. Mais Declan soupçonnait l’homme de savoir flirter comme il respirait, et ce depuis longtemps. Et il pouvait deviner que cela n’était pas que flirter, au vu du baiser qu’ils avaient échangé. On ne l’avait que peu embrassé ainsi.

Reed, flirter ? mais d'où te sort cette idée franchement ? Il fait pas exprès
Et encore une conquête qui craque pour ses baisers

Declan qui me fait de la peine a écrit:

Declan était volage, et ne passait que peu de nuits chez lui-même si depuis le début de sa mission d’infiltration cela arrivait un peu plus souvent que lors des derniers mois, où, abandonné par ses deux chiens et un peu désabusé, il avait multiplié les conquêtes pour s’oublier dans des étreintes passionnées. Parce que oui, il était évident que Declan ne cherchait pas uniquement du plaisir mais bien un moyen comme un autre de noyer cette existence qui l’étouffait.

Le bébé

Declan qui se la raconte a écrit:

Parce qu’il était généreux, avec ses amants et ses amantes contrairement à ce qu’on pouvait penser de lui. Ce n’était pas pour rien qu’ils étaient nombreux à en redemander.

Et sinon ça va les chevilles ?

Et le reste m'a fait mourir

Spoiler:

Bref, tout est parfait en fait

La conclusion de Maxyne pour I can't help falling in love avec Hylan est parfaite, en tout point, trop d'amour pour vous deux

Et la réponse de Declan

Declan, le mignon a écrit:

Et il pouvait deviner que cela n’était pas que flirter, au vu du baiser qu’ils avaient échangé. On ne l’avait que peu embrassé ainsi. Cela ne le dérangeait pas, en soi. Au contraire. C’était agréable. L’homme pouvait bien faire de lui ce qu’il voulait.

Allez Reed, t'as carte blanche

Et le spoiler que tu as posté Reed justement : dad, dead, dead. Vous êtes trop canons.

Hylan le mignon a écrit:

« Tu vas trouver ça bizarre, mais j'ai pas vraiment envie de jouer… » lâcha-t-il sans plus d'explications, avant de froncer légèrement les sourcils et d'ajouter : « Enfin, si ! Mais pas avec ces filles-là… » Sa phrase resta en suspend quelques instants, puis Hylan baissa la tête comme pour cacher ce sourire un peu niais qui naissait sur ses lèvres. A cet instant précis, il se trouvait ridicule d'agir ainsi, à la manière d'un adolescent enamouré, alors qu'il s'était jusqu'ici contenté de guider Maxyne à travers le centre et à travers la ville. Pour elle, il ne devait être rien d'autre qu'une connaissance pour laquelle, il l'espérait, elle avait un peu de sympathie et sur laquelle elle comptait pour éviter de se perdre et pour gérer au mieux ses premières semaines à Giving For Africa. Et lui… il était tombé sous son charme sans comprendre ce qu'il lui arrivait, dès les premiers regards qu'ils avaient échangé. Depuis, il n'avait de cesse de penser à elle, et s'était même surpris à rêver d'elle au beau milieu de la nuit.

Hylan est trop choooou . Promis Noah ne va pas se moquer de son poto

Je suis obligée de faire un DP

Bébé Joos a écrit:

Depuis un an et demi, Noah n'a cessé de me punir, dès qu'il en avait l'occasion. Et là, il en était arrivé à la punition ultime. Bien sûr il a nié, bien sûr ce n'était pas lui, bien sûr il n'était même pas là. Et tout le monde l'a cru. Parce que Noah est gentil, Noah est drôle, Noah est séduisant. Noah ne ferait pas de mal à une mouche. Alors que Joos... Oui, Joos assassinerait sauvagement sa petite amie. Joos ne parle jamais. Joos passe ses journées auprès de ses primates. Ça doit bien cacher quelque chose n'est-ce pas ?

C'est tellement triste les cousins

Joos qui est en colère a écrit:

Mon ton est rempli d'ironie. Je rêve d'abîmer un peu sa sale gueule d'ange. Ainsi il ne sera plus aussi séduisant pour toutes les femmes du centre. Lui ne s'était pas gêné pour me refaire le portrait après qu'Anna l'ai quitté. À l'époque j'avais trouvé ça justifié donc je n'avais pas réagi, mais aujourd'hui je ne le laisserai pas s'en tirer comme ça.

Je crois qu'entre les deux cousins c'est tendu, je crois

Non ça va, Joos n'a pas du tout la haine

Noah L. Mansfield a écrit:

Je suis obligée de faire un DP

Bébé Joos a écrit:

Depuis un an et demi, Noah n'a cessé de me punir, dès qu'il en avait l'occasion. Et là, il en était arrivé à la punition ultime. Bien sûr il a nié, bien sûr ce n'était pas lui, bien sûr il n'était même pas là. Et tout le monde l'a cru. Parce que Noah est gentil, Noah est drôle, Noah est séduisant. Noah ne ferait pas de mal à une mouche. Alors que Joos... Oui, Joos assassinerait sauvagement sa petite amie. Joos ne parle jamais. Joos passe ses journées auprès de ses primates. Ça doit bien cacher quelque chose n'est-ce pas ?

C'est tellement triste les cousins

Joos qui est en colère a écrit:

Mon ton est rempli d'ironie. Je rêve d'abîmer un peu sa sale gueule d'ange. Ainsi il ne sera plus aussi séduisant pour toutes les femmes du centre. Lui ne s'était pas gêné pour me refaire le portrait après qu'Anna l'ai quitté. À l'époque j'avais trouvé ça justifié donc je n'avais pas réagi, mais aujourd'hui je ne le laisserai pas s'en tirer comme ça.

Je crois qu'entre les deux cousins c'est tendu, je crois

SIOBHAN EST PARTANTE POUR L'AIDER !